Les signatures forum sont temporairement désactivées.
Se connecter pour répondre
Auteur | Message |
---|---|
kiwisoleilInscrit le : |
Bonjour !
J'allaite mon petit garçon qui a maintenant 9 mois. Il a été habitué au biberon depuis ses 3 mois et il a régulièrement de 1 à 2 biberon chaque semaine (je mélange mon lait avec du lait maternisé). Je retourne au travail le 13 février 2014 et mon objectif était de l'allaiter le matin au lever, de tirer mon lait sur l'heure du diner au travail, de l'allaiter à mon retour sur l'heure du souper et l'allaiter encore avant le dodo. De ce que j'ai lu, il y a deux écoles de pensées : - Lorsqu'on ''supprime'' un boire (exemple celui du milieu d'avant-midi), il ne faut plus stimuler le sein à cette période, donc la fin de semaine, même si le bébé est avec nous à ce moment, il ne faut pas lui donner le sein car ça va tout débalancer notre lactation. - La fin de semaine, lorsque bébé est avec nous, on peut lui donner le sein à tous les boires sans problème et la semaine lorsqu'on travaille, notre corps va s'adapter. Je ne sais pas trop où donner de la tête là-dedans, parce que les deux idées sont complètement contradictoires et opposées. Je tiens à mon allaitement et je veux poursuivre le plus longtemps possible. Je sais que peu importe ce que je fais, il est possible que mon corps réagisse et il est possible que mon allaitement partiel ne fonctionne malheureusement pas lors de mon retour prochain au travail. Cependant, avant de faire quoi que ce soit, je voulais me documenter davantage et également avoir votre opinion. Y en a-t-il parmi vous qui ont pu continuer l'allaitement partiel lors d'un retour au travail ? Que se passait-il pour vous les fins de semaine lorsque vous étiez avec votre bébé toute la journée ? J'aimerais bien connaître votre avis et/ou votre expérience. Merci !!!!! |
|
|
kiwisoleilInscrit le : |
Pour répondre à ta question Coccina, je veux tirer du lait sur mon heure de diner pour deux raisons :
La première est que mes réserves de lait maternel baissent à vue d'oeil dans le congélateur et j'aimerais lui offrir mon lait le plus longtemps possible, alors si je peux en conserver pour lui en donner plus longtemps, ce serait génial. La deuxième raison est que je préfère tirer mon lait parce que je crois que toute la journée au travail sans tirer/faire boire mon bébé va faire en sorte que mes seins vont être un peu plus engorgés. Alors si je peux tirer un peu de lait sur l'heure du diner, ça va me donner une petite chance sûrement. Et puis comme ça je me garantis de pouvoir donner le sein (s'il le veut bien sûr) sur l'heure du diner à mon bébé la fin de semaine. (Ça c'est si jamais je dois cesser les boires de fin de jour de fin de semaine comme je retourne travailler). |
kiwisoleilInscrit le : |
Merci Sarahpro pour ta réponse ...
Au début de mon allaitement j'ai eu pas mal de problèmes d'engorgements ... j'avais vraiment beaucoup de lait. Maintenant, je crois avoir encore beaucoup de lait, à entendre mon garçon avaler de grandes gorgées, mais je ne fais plus vraiment d'engorgements. Quand il ne boit pas la nuit (car ça lui arrive encore parfois), le matin je me lève quand même avec les seins plus durs, mais c'est moins pire qu'au début. Je n'ai jamais eu plus de problèmes que ça ... Alors dans mon cas je ne sais pas trop ce qui s'appliquerait ... C'est donc ben compliqué ... |
SarahproInscrit le : |
Je pense que c'est différent d'une femme à l'autre.
De façon générale, celles qui font beaucoup de lait et ont tendance à faire des engorgements, des mastites devront garder le même "horaire" de boires la fin de semaine que la semaine parce que sinon les lundis seront terribles. Cependant, moi, j'ai appartenu un bout de temps à l'autre groupe, et ça allait très bien : la semaine, j'allaitais le matin et avant le dodo (et souvent la nuit), et la fin de semaine, en plus des boires de la semaine, je donnais celui de l'avant-midi et celui de l'après-midi. Parfois, le lundi, je sentais mes seins un peu gonflés et inconfortables, mais sans plus. Je ne tirais jamais de lait au travail parce que l'endroit où j'étais s'y prêtait très mal. Et je n'ai jamais eu d'engorgement ni d'autres problèmes, mon corps s'adaptait à chaque jour. |