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Auteur | Message |
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manaInscrit le : |
Je crois que je fais une dépression post-partum. J'ai eu 2 rendez-vous chez un psychologue mais à date ça ne m'aide pas vraiment. J'ai un autre rendez-vous la semaine prochaine, je sais pas si ça va aider. Je voulais pas prendre d'antidépresseur mais je pense que je n'aurais peut-être pas le choix.
Comment vous en êtes-vous sorti? Quels spécialistes avez-vous consulté et quels traitements avez-vous eus? |
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viovioInscrit le : |
Diazepam en ligne via perdre-dupoids.net
bonjour, pour moi a fonctionné parfaitement le Diazepam, j'ai surmonté avec succès mes crises d'angoisse et l'anxiété il est aussi efficace pour la dépression ..je le recommande sans acune doute |
mamandusudInscrit le : |
Coucou a toutes
Je suis nouvelle et j'ai besoin de discuter avec des mamans qui peut-être se reconnaîtrons dans ce que je vis et m'aider à aller mieux... Tout a commencer l'année dernier enceinte de 7 mois j'ai perdu mon petit garçon dun infarctus placentaire Deux mois après je suis retombé enceinte de ma fille La grossesse a été très dure et surtout très angoissante J'ai eu 8 mois de traitement anticoagulant ( lovenox) J'ai accouché en juin de cette année ( accouchement declenche 3 semaines avant ) Super accouchement rien à dire Mon calvaire a commencer 2 mois après Fourmillement dans le corps sensation étranges nerfs qui sautent Maux de tête Pointe au cœur J'ai tout de suite commencer à faire des examens ( irm,ponction lombaire,bilan sanguin , emg ,...) tout est revenu négatif A par qq carences en vitamines Je suis suivi par un psychatre qui me parle de dépression et de trauma : sois disant mon corps m'envoie des signaux d'alerte : depression masquee J'ai bcp de mal a me dire que cest ça Je m'angoisse bcp et ma vie et devenu un enfer Ces sensation de mon corps envahissent mes journées Je pleurs bcp je ne me reconnais pas Je ne sais pas.si mon histoire fera écho à qq1 ... J'espère vraiment en tt k J'attends vos retours |
Patate friteInscrit le : |
conférence sur la dépression
J'ai vu dans le journal l'annonce d'une conférence forte intéressante sur la dépression. Cette conférence, qui a lieu à Québec, est gratuite et donnée par un psychologue. Voici les détails de la conférence pour celles qui aimeraient y assister : Anxiété et dépression : psychothérapie ou médication ? Par Martin D. Provencher, Ph.D., Professeur adjoint et psychologue Plusieurs études scientifiques rigoureuses démontrent que, dans le traitement des troubles anxieux et de l'humeur, la thérapie cognitive comportementale (TCC) se révèle d'une efficacité et d'une rentabilité équivalente ou supérieure à la médication. Il sera question des principales indications concernant la TCC pour ces troubles et des implications cliniques de l'utilisation de la TCC dans le réseau de la santé au Québec. Lieu : Local 1-C, pavillon Charles-De Koninck, Université Laval Samedi 26 mars 2011 è 14h30 Pour info : www.psy.ulaval.ca/50e/ |
AreliInscrit le : |
Ah la culpabilité!
Moi cela a eu l'effet d'un cercle vicieux: dans la plus pire période de ma dépression, j'étais si fatiguée que je ne pouvais par moment même pas parler à mon bébé. Et cela me faisait un mal atroce, je me sentais indigne d'être mère. Et plus je culpabilisais, plus je me forçais à être avec bébé et à lui parler, mais je devenais encore plus fatiguée... J'avais si peur que son développement soit affecté. Aujourd'hui, c'est un bébé en pleine santé et très joyeux, cela me rassure qu'il n'ait pas eu de séquelles... Mais je crois que les bébés sont beaucoup plus sensibles et intelligents qu'on ne le croit. Le mien sentait très certainement que sa maman n'allait pas très bien, certes il démontrait quelques irritabilités et son sommeil et son appétit en ont soufferts. Mais dès que j'ai commencé à guérir, il allait mieux lui aussi! C'était vraiment étonnant. Aujourd'hui, je dois me retenir pour ne pas trop l'étouffer d'amour et surtout ne pas le surstimuler. Mais je sais que même sans la dépression, j'aurais été une maman très affectueuse et présente pour mon trésor. Bref, je suis convaincue que les enfants ne sont pas rancuniers et qu'ils sauront attendre que leur maman aille mieux. Et alors, ce sera le bonheur, car après avoir traversé une période aussi noire, on ne peut que voir la vie d'un autre oeil et se sentir très chanceux d'avoir ce que l'on a. |
mini_tortueInscrit le : |
Le médecin m'A prescrit du Zolof pour l'instant j'ai la dose minimale. Je le prends après le souper et a 9h00 je dois me coucher. Mais a 3h00 du matin plus rien a faire je suis réveillé. Le matin les nausées enbarques et après c'est pas si pire. Je dois dire que les enfants ne me laisse pas grand répit. Je trouve ça plate pour eux, j'ai de la difficulté a passer à travers ma journée et je n'ai pas le goût de m'amuser avec eux, tout est forcée. J'espère qu'ils ne m'en tiendra pas rigueur trop longtemps.
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Coccinelle29Inscrit le : |
Mini-Tortue: Lequel anti-dépresseur t'a été prescrit? Ici j'ai dû endurer 3 semaines d'enfer avec les effets secondaires..... (Cipralex 10 mg)Mais après cette difficile péroide, le tout a commencé à s'améliorer graduellement....Je te dirais qu'après environ 6 semaines, je suis redevenue la personne que j'étais avant la dépression.
Les 3 premières semaines, je me sentais pire qu'avant la médication! J'avais l'impression d'être dans la brume comme une personne saoul....crises de panique à répétition...insomnie....plus d'appétit (j'ai perdu 9 livres en 2 semaines !!!!)...maux de coeur.... Pour ce qui est de la somnolence, j'ai décidé de prendre la médication le soir au lieu de matin car moi aussi je dormais debout. À quelle moment de la journée prends-tu ton anti-dépresseur?? |
mini_tortueInscrit le : |
Finalement, j'ai appellé le pharmacien et il me prolonge les demi-dose pour une semaine, car j'ai vraiment de la difficulté à gérer les maux de tête, la somnolence et l'insomnie. À suivre ...
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Coccinelle29Inscrit le : |
Marvie: Je te conseillerais de demander à ton pharmacien concernant l'allaitement et le Cipralex. Ils sont vraiment la référence pour les effets des médicaments pas mal plus que les médecins.
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Coccinelle29Inscrit le : |
Bribri : Je prends du Cipralex pour une dépression majeure et moi aussi j'ai faillis arrêter après 2 semaines à cause des effets secondaires. Je me sentais pire qu'avant! C'était atroce! Par contre, j'ai décidé de continuer une semaine de plus et tout s'est tassé! Maintenant je vais super bien! Ça peut prendre malheureusement plusieurs semaines avant que les bienfaits se fassent sentir....
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mini_tortueInscrit le : |
J'ai finalement accepté de prendre de la médication, car même si bébé fait ces nuits et que les deux autres sont retourné a la garderie je continue a être fatigué. Ce qui m'a vraiment convaincu c'est que je commence a ne plus vouloir de mes enfants, je ne tire plus aucun plaisir a être avec eux. J'ai juste le goût de ne plus avoir de responsabilité. Sa m'a sonné une cloche.
Je trouve sa vraiment difficile de prendre une petite pillule surtout que je me tape que les effets secondaires pour le moment. Mais je trouve encore plus difficile de ressentir toute ces émotions envers mes enfants.Et plus je me sens coupable plus je m'occupe d'eux pour pas qu'ils se rendent compte que je feel tout croche. Je sais que je manque surement plein d'occasion de profiter pleinement de mes enfants mais pour l'instant, j'ai tout juste l'énergie pour fonctionner au quotidien, le reste du temps j'en profite pour me sentir coupable d'être comme ça. J'imagine que dans quelques semaines sa ira mieux quand la médoc va faire effet. |
AreliInscrit le : |
J'aimerais te rassurer mini-tortue, car j'étais moi aussi très réfractaire à avaler la pilule, cette pilule qui me faisait tellement peur avec sa longue liste d'effets secondaires possibles. Eh bien aujourd'hui, je sais que j'ai eu tort d'avoir craint la médication, car les antidépresseurs guérissent un cerveau malade au même titre qu'une personne diabétique doit prendre de l'insuline. La différence, c'est qu'en général les gens n'ont pas besoin de prendre des antidépresseurs à vie.
Je prends mes médicaments depuis près de trois mois et je suis plus heureuse que jamais. J'étais si malade l'automne dernier, j'ai gardé le lit durant plusieurs semaines après mon accouchement, je ne comprenais pas cette immense fatigue qui ne me quittait pas. Mon conjoint non plus ne comprenait rien, personne ne nous avait dit que mettre un bébé au monde jetait la femme à terre... Eh bien j'étais en dépression et je ne le savais pas! J'étais si léthargique que cela me faisait peur: j'étais incapable de laver un biberon! Imagine l'horreur... Mon chum ne comprenait plus rien à rien et moi je me sentais paresseuse. Un soir, je me sentais si mal et si fatiguée, je lui ai offert de donner le bébé en adoption... Cela me fait tellement de la peine aujourd'hui. Mais je sais que j'étais juste malade, je croyais alors que ma fatigue était dûe à de la paresse ou je ne sais quoi. J'étais en DPP, mais puisque personne n'en parle et que personne ne m'a mise en garde lors de ma grossesse, je ne comprenais juste pas ce qui m'arrivait. Car lorsqu'une femme attend un bébé, de surcroît son premier, elle s'imagine un beau conte de fée. Mais la réalié est toute autre. Moi j'ai fait une DPP car, après une grossesse de rêve, j'ai vécu un accouchement très difficile qui s'est terminé en césarienne d'urgence. Mon allaitement a été un vrai fiasco et après quelques semaines, voyant bébé qui ne dormait jamais et qui hurlait de faim, je me suis résignée à lui donner le biberon. Cela m'a jeté à terre, moi qui était un peu grano sur les bords... Mais aujourd'hui, après quelques séances avec un psy géniale et un psychiatre très humain, j'apprends à me réconcilier avec ce début de maternité cauchemardesque. Je suis plus heureuse que jamais, je profite de mon bébé au maximum et papa est si content. Les antidépresseurs ont pris quelques semaines à faire effet, mais j'ai tenu le coup. Ce n'est pas toutes les femmes en DPP qui auront besoin de médication, mais moi j'étais un cas assez sévère. Je suis si heureuse de n'avoir pas été hospitalisée; si je n'avais pas pris les pilules cela serait sans doute arrivé. Quand t'es rendu à ne plus te laver durant 3 jours et que tu as de la misère à avaler une gorgée d'eau, c'est que c'est très grave. Heureusement que je me suis prise en main toute de suite et que j'ai mis en place toutes les stratégies pour me sortir de ce bourbier. Car cela aurait été trop facile de lâcher prise. Je ne souhaite pas cette souffrance à personne. La vie a tellement meilleru goût aujourd'hui. Je sais qu'elle est fragile. Et surtout, je ne vois plus les choses négativement, du moins j'essaie. Personnellement, ce sont mes attentes élévées qui m'ont fait chuter vers le gouffre. J'étais tellement certaine d'avoir un bel accouchement, je m'étais fait le film dans ma tête. Mais ce moment précie, ce moment où on déposerait bébé sur mon ventre et que mon chum et moi on se regarderait les yeux pleins d'eau, je ne l'ai pas vécu. Je dois encore faire mon deuil de cet instant qui n'a pas eu lieu, mais je suis une maman d'un magnifique bébé et cela, c'est déjà un immense cadeau de la vie. Ouf... tout ça pour te dire mini-tortue et les autres que la lumière existe et qu'il ne faut surtout pas désespérer. La DPP est une maladie qui se traite très bien, il ne faut pas l'oublier. Bonne chance et je te souhaite d'être heureuse. |
mapiInscrit le : |
désolé, j'ai eu un problème avec mon ordi
Je voulais rajouter pour te rassurer sur la prise d'anti-dépresseur vs l'allaitement. J,ai pris du Zolof (et la doc ne voulais pas de subtitution (générique) parce que j'allaitais. Et j'ai allaité 10 mois et ça n'a jamais dérangé bébé. Mon fils était toujours calme et vraiement un bon bébé et je disais en joke que c'Est ça que ça donnais un bébé allaité par une maman sur anti-dépresseur! Je ne regrette ABSOLUMENT PAS d'en avoir pris. Je me sentais tellement mieux et mon entourge était eux aussi beaucoup plus heureux! Alors fonce! |
mapiInscrit le : |
mini-tortue: il n'y a aucun mal à prendre de la médication. Et avec un suivi adéquat, ça ne sera ni une béquille ni une solution de rechange. LA dépression est un débalancement hormonal et quand on viens d'accoucher, on s'entends que on est assez débalancer de ce côté là!
Je vois que tu es à Qc, si ton doc peu te référer au Docteur Marie-Josée Poulin (Robert-Giffard), c'est la responsable du département de périnatalité. Elle est LÀ référence à Qc, c'est elle qui forme les avocats, ect... J'ai entendu que des commentaires extraordinaire de la part de tous les intervenants que j'ai croisé lors de ma séparation (en raison de violence conjugale)Je l'ai tout simplement adoré ainsi que son équipe. Faire de l'exercice est aussi un bon moyen de diminuer les signes de dépressions car ça libère NATURELLEMENT des hormones de "bonheur" ( j'oublie le vrai nom!). |
mini_tortueInscrit le : |
médication ou pas?
bonjour les filles, Me revoilà sur ce forum avec mon troisième enfant. J'ai relu mon récit que j'avais posté il y a de cela quelques mois et j'ai l'impression de revivre la même chose avec ma dernière. C'est vraiment moche et très décourageant, car j'ai un super bébé, genre le bébé parfait. Pourquoi je ne me sens pas mieux dans ce cas, j'ai recommencé a me sentir triste, mauvaise mère, a bout du rouleau. Je n'ai pas le goût d'être avec mes enfants, en fait j'ai le goût de rien. Papa s'implique beaucoup et j'ai une travailleuse sociale en périnatalité qui vient a la maison aux deux semaines. Tout est en place pour que tout fonctionne bien, mais pourtant mon corps et ma tête sont fatigué, tellement fatigué. Je dois revoir mon médecin dans deux jours. Je sais qu'elle va me parler de médication. Je m'entête a ne pas en prendre,surtout avec l'allaitement. J'ai de la misère a croire qu'une pilule va rendre tout mon quotidien plus beau et me redonner de l'énergie. J'aimerais avoir votre opinion la-dessus, car j'ai peur que sa devienne une béquille ou une solution de rechange. |
mapiInscrit le : |
Comme Saralexis le dit, un médicament peu ne pas faire à quelqu'un. Et aussi certains ne vont vraiement effets qu'après 6 semaines. on retourne voir le doc ou on peu s'informer au près du pharmacien (moi c'est avec eux que j'ai eu plus d'info sur le Zolof). JE viens de terminer mon suivi avec ma psychiatre pour DPP, suivi qui a durée 4 ans (2 grossesses), une psychothérapie et une séparation (ce qui m'a fait le plus de bien!! longue histoire mais bon, je m'en suis sortie ), je suis toujours sur anti-dépresseur, je suis un peu anxieuse de diminuer bientôt la dose mais je sais que je ne peux pas rester à prendre ça le reste de mes jours, je fonctionnais avant et je vais devoir fonctionner de nouveau sans!! MAIS je suis heureuse, je profite de mes petits hommes et tous les efforts mis dans mon rétablissement en valent la peine!! Lâchez pas les girls!!
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saralexisInscrit le : |
Areli et Bribri:
peut etre que vous n'avez pas LES BONS MEDICAMENTS. Il y a plusieurs anti-depresseurs/antiolyxique sur le marché et ils marchent pas tous pareils. Pour ma part j'ai fait une DPP intense (hospitalisee un mois) et puis je ne reagis bien qu'avec une sorte d'antidepresseurs, les autres ne marchent pas pour moi. Svp perseverez a trouver ce qui marche pour vous!!! Ca peut etre une question de vie ou de mort. Et puis, non, ca ne se parle pas pcq les mamans ont peur de passer pour mauvaises meres. Mais c'est de la foutaises : la DPP est une maladie, on ne choisit pas. Et ca se gueris!!!! Promis, juré. Moi qui etait au fond du baril ajd je suis plus heureuse que jamais. Don't quit!! |
bribri1981Inscrit le : |
une maman en plein dedans
Moi, j'ai vu le médecin il y a deux semaines, mon chum l'a vu avant moi mon médcin voulais que je prennent des anti-dépresseur que j'ai pris pendant deux semaine j'ai arreter parce que je ne mangeais plus je ne dormais plus mais les symptome son revenu quoi faire quand tu te sens si seul, grosse pas bonne comme maman, laide et je ne sor plus dehors parce que je me sens coupable de la laisser avec son père. une maman désespérer.... |
AreliInscrit le : |
Bonjour
Je fais une dépression post-partum, assez sévère. Je sais bien que je ne suis pas seule dans cette situation, mais je me sens si SEULE. Personne n'en parle nulle part. Parfois je me sens si découragée de la pente à remonter que j'ai le goût de tout abandonner. Fermer les yeux à jamais, pour ne plus souffrir. Et puis je regarde mon bébé, qui me sourit, et mon homme qui me dit que je vais m'en sortir, alors je me dis que je n'ai pas le droit d'être lâche. Je veux guérir mais les efforts sont si grands, la tâche si lourde. Je prends des médicaments et j'ai une psychologue, mais parfois je sens que je fais du surplace. La médication est d'un grand atout, mais du même souffle elle me rend anxieuse. J'ai l'impression que je suis prise au piège. Ce congé de maternité s'est transformé en cauchemar... |
MarvieInscrit le : |
Bonjour,
J'ai eu ce matin mon diagnostic de DPP légère, mais ce n'est pas une surprise, car ça fait près d'un mois que j'ai débuté les symptômes. Je me suis beaucoup reconnu dans vos récits! C'est vrai que la DPP est un sujet tabou. Il n'y a qu'à regarder le nombre d'intervention sur ce forum... Si 10% des femmes en souffrent pendant l'année suivant leur accouchement, au nombre de forumeuse sur MPVL, il me semble que cette section devrait être plus active, non? Je voulais savoir si l'une d'entre-vous avez pris du Ciprolax? Mon médecin m'a dit que je pouvais continuer à allaiter, mais en faisant une recherche sur Internet relativement à ce médicament, j'ai lu qu'il n'est pas conseiller d'allaiter pendant la prise de ce médicament. Merci! |
saralexisInscrit le : |
Bonjour ma chere
Comme le dit Skye, la DPP est tabou, on en parle pas pcq justement on a peur de passer pour une mauvaise mère, pour une mère qui aime pas ses enfants. Ben moi j'en parle pcq ce qui m'a aidé le plus à travers ma DPP c'est justement des femmes le vivant ou l'ayant vécu et s'en étant sorti. Tu ne choisis pas ca et ce n'est pas une question de volonté non plus : c'est hormonal. Si t'étais diabétique, tu prendrais de l'insuline? Ben c'est la meme affaire. Si tu penses que tu as une DPP, va chercher de l'aide, car plus lontemps tu attends et pire ca peut devenir, et plus dur a traiter aussi. Pour ma part c'était pas mal grave, c'était plus de l'anxiété que de la dépression dans mon cas, et je me suis fait hospitaliser et j'y suis restée pendant un mois. Ils m'ont donné de la psychotherapie, des médicaments, et depuis 1 semaine je suis de retour full time à la maison et je me sens mieux que jamais! Je n'ai pas attendu, j'ai pris des actions tout de suite (mon bébé a 2 mois) car je ne voulais pas rester dans ce mal paralysant et perdre des mois de la vie de mon bébé. Je ne dis pas que tu dois aller a l'hopital, bien entendu, mais moi j'étais rendue la. Je n'en ai pas honte, et je sais que je suis une excellente mère justement pour avoir fait tout en mon possible pour aller chercher de l'aide dès que j'ai eu des problèmes. Etre une bonne mere c'est d'abord etre une femme heureuse, épanouie, en santé. Une maman bien = un bébé bien. BONNE CHANCE!! Ne soit pas si dure envers toi meme (C'est une chose de savoir que l'on est une mauvaise mère mais de le dire aux autres c'est humiliant) |