heure de dodo interminable et en pleures

Ma fille de 2 ans et demi a une routine bien établie le soir avant d'aller au lit. Il y a le souper, apres on joue un peu, le bain puis le brossage de dents et le verre de lait. On donne des bis bonne nuit a tout le monde puis hop au lit. On a dernierement ajouté une petite histoire pour aider les mauvais reves un peu trop présents. Ca au moins ca semble fonctionner.
Mon problème réside en la période apres l'histoire ou ma fille doit normalement se coucher et s'endormir...cette deuxieme partie ne vient pas avant au minimum une heure apres son couché et c'est tres souvent accompagné de demande ou de chansons ou de jeux avec ses toutous qu'on lui enleve d'ailleurs apres avertissements si elle ne s'endort pas.
Elle fait pareil chaque soir...elle étire, elle étire et elle étire encore....
Ce qui occasionne donc que chaque soir elle se couche avec une situation négative en tete car elle a été punie ou elle est en crise parce qu'elle n'obtiens pas ce qu'elle veut.
On ne sait plus quoi faire pour rendre l'heure du dodo a nouveau plaisant et sans heurt(ou rarement).
J'ai besoin d'idée svp!
merci 

y a des bons articles ici pour t'aider a y voir plus clair ici

http://www.educatout.com/educ_brigitte_langevin/quand_sommeil_enfants_devient_enfer.htm

un petit bout tiré d'un article ici
http://www.educatout.com/educ_brigitte_langevin/dodo_cpe.htm



Aujourd'hui, certains adultes (éducatrices et parents) craignent qu'en étant autoritaires, l'enfant pense qu'il est mal aimé ou pire encore que l'enfant les aimera moins. Il est vrai qu'un enfant qui est grondé n'ira pas remercier ses parents ou son éducatrice, il réagira en frappant du pied, en faisant la tête, en pleurant... Pour éviter de devoir être encadrants et fermes, les adultes favorisent alors les sentiments au détriment de l'autorité. Être autoritaire n'est plus à la mode. Aussi, pour être dispensés d'agir avec fermeté, les parents aimeraient que les enfants acceptent les règles d'éducation (dans ce cas-ci de demeurer sur son matelas le temps de la sieste) et les intègrent eux-mêmes. Les résultats sont catastrophiques! Après l'avènement de l'enfant « roi », nous assistons maintenant à la naissance de l'enfant explosif : celui-ci ne se gène pas pour frapper parent, éducateur ou professeur lorsqu'on lui dit non!
 

Je te comprends, c'est la même chose avec mon garçon, qui a le même âge! Après avoir pris des conseils un peu partout, ce qui revient c'est de faire la routine, de l'avertir que tu ne reviendras pas, et de t'en aller. Si elle demande, pleure, crie, veut jouer, etc., tant pis, on n'y retourne pas! C'est un peu difficile à faire, mais pour l'avoir fait, ça a marché un bout de temps, pour moi. Il se mettait à pleurer, à demander 56 affaires. Il demande tant qu'on y retourne! Le premier soir que je l'ai laissé pleurer, ça a duré pas mal longtemps, et puis les autres soirs, plus rien!
Une autre technique est de t'assurer qu'elle est très calme lorsqu'elle se couche dans son lit, presqu'au point de s'endormir. Tu restes sur une chaise (ou dans le cadre de porte) jusqu'à temps qu'elle s'endorme (ou presque), en lui disant de ne plus parler. Si elle parle, tu lui dis que tu vas lui enlever ton toutou (comme vous faites déjà). Il semble qu'avec le temps, elle devrait associer son lit avec la tranquilité. Il ne faut pas qu'elle soit trop excitée dans son lit, ni qu'elle chante et jase. Il faut qu'elle arrête la machine, en quelque sorte!

Je sais que c'est pas facile!! Moi ça va plus ou moins bien selon les semaines. Il y a des passes où ça va très bien, et d'autres très mal, sans raison apparente. *soupir*...
Bonne chance!