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GalaInscrit le : |
Préoccupations en matiére de santé
La présente section porte sur les préoccupations en matière de santé attribuables à l'exposition au mercure chez l'adulte, la femme enceinte et l'enfant. L'exposition au mercure affecte surtout le système nerveux, le système cardiovasculaire, le système immunitaire et les reins. L'exposition foetale au mercure peut entraîner des troubles neurologiques du développement chez l'enfant. Les effets des différentes formes de mercure sur la santé sont abondamment documentés. Pour en apprendre davantage, l'Avis pour la santé publique relatif au mercure produit par l'Agency for Toxic Substances and Disease Registry est accessible sur le site Internet suivant (Version PDF - 151 ko - disponible en anglais seulement): http://www.atsdr.cdc.gov/toxprofiles/tp46-c1.pdf Q35. Comment se comporte le mercure élémentaire dans l'organisme et où s'accumule-t-il? Le mercure élémentaire pénètre dans l'organisme par absorption cutanée, par ingestion lorsqu'il est avalé ou par inhalation. L'absorption dépend de la voie d'exposition (inhalation, ingestion ou absorption cutanée). Quand la vapeur de mercure est inhalée, le site d'absorption primaire est le poumon. Environ 80 pourcent de la vapeur inhalée pénètre dans le système sanguin et est rapidement acheminée vers d'autres parties du corps, y compris le cerveau et les reins. Le mercure franchit aisément la barrière hémato-encéphalique et la barrière placentaire. Le mercure élémentaire présent dans le sang d'une femme enceinte peut être transmis au foetus. Si de petites quantités de mercure métallique sont ingérées suite au bris d'un thermomètre oral, l'organisme absorbera moins de 0,01 pourcent du mercure par l'estomac ou les intestins. Une maladie comme un ulcère saignant dans le tractus gastro-intestinal risque d'accroître le taux d'absorption dans le système sanguin. Une fois dans l'organisme, le mercure élémentaire peut demeurer pendant des semaines ou des mois. La plus grande partie du mercure s'accumule dans les reins et, dans une moindre mesure, dans le cerveau où il est transformé en mercure inorganique et peut persister longtemps. Il y a une plus grande quantité de mercure qui se dépose dans le cerveau après une exposition au mercure élémentaire qu'après une exposition au mercure inorganique. Q36. Comment se comporte le mercure inorganique dans l'organisme et où s'accumule-t-il? Les sels de mercure ou composés de mercure inorganique ne se vaporisent habituellement pas à température ambiante et, lorsque inhalés, ces composés ont moins de chance de pénétrer dans l'organisme aussi facilement que la vapeur de mercure métallique. Lorsque des composés de mercure inorganique sont ingérés, moins de dix pourcent est absorbé par le tractus intestinal; cependant, dans certaines conditions, comme dans le cas d'ulcères saignants, l'organisme peut absorber jusqu'à 40 pourcent du mercure par la lésion dans l'estomac et les intestins. Le mercure inorganique peut être absorbé par voie cutanée mais seule une faible quantité pénétrera dans l'organisme par comparaison à la quantité absorbée en cas d'ingestion. Le mercure inorganique absorbé s'accumule surtout dans les reins et ne franchit pas la barrière placentaire ou la barrière hémato-encéphalique aussi facilement que le mercure élémentaire ou le méthylmercure. Il s'accumule cependant dans les tissus placentaires. Chez la mère allaitante, une certaine quantité du mercure inorganique contenu dans son organisme sera transmise au nouveau-né lors de l'allaitement. Q 37. Comment se comporte le méthylmercure dans l'organisme et où s'accumule-t-il? Lorsque les poissons ou autres aliments contaminés au méthylmercure sont consommés, environ 95 pourcent du méthylmercure est absorbé par l'estomac et le tractus intestinal puis transmis dans le système sanguin et distribué partout dans l'organisme. Seules de petites quantités de méthylmercure peuvent être absorbées dans le système sanguin directement par voie cutanée mais d'autres formes de mercure organique (particulièrement le mercure diméthylé) peuvent rapidement pénétrer dans l'organisme par voie cutanée. Le méthylmercure franchit la barrière hémato-encéphalique et pénètre dans le cerveau. Chez la femme enceinte, le méthylmercure franchit aisément la barrière placentaire et pénètre dans le système sanguin du foetus, atteint son cerveau et d'autres tissus. Comme dans le cas du mercure inorganique, une partie du méthylmercure présent dans l'organisme de la femme allaitante contaminera le lait maternel. Le méthylmercure peut être transformé en mercure inorganique dans l'organisme. Lorsque cela se produit dans le cerveau, le mercure peut persister pendant de très longues périodes. Q38. Combien faut-il de temps à l'organisme pour éliminer le mercure (toutes les formes)? La plus grande partie du mercure élémentaire et inorganique et des composés de mercure inorganique est éliminée de l'organisme dans l'urine et les excréments sur une période qui varie entre plusieurs semaines et plusieurs mois, alors que les quantités moins importantes de vapeur de mercure absorbées sont éliminées plus rapidement de l'organisme par l'expiration et la sudation. La demi-vie dans l'organisme varie entre 29 et 60 jours, une moyenne de 42 jours dans le cas du mercure inorganique. Le méthylmercure est éliminé lentement sur une période qui s'étend sur plusieurs mois, surtout sous forme de mercure inorganique dans les excréments. Après l'exposition au méthylmercure, il faut entre 45 et 70 jours pour que les concentrations de méthylmercure dans le sang diminuent de moitié et un peu plus longtemps dans le reste du corps. Q 39. Quels sont les effets sur la santé et les symptômes de l'exposition au mercure inorganique chez l'adulte? L'intoxication aiguë à la suite d'une exposition aux vapeurs de mercure à forte concentration (plus de 1 mg/m3) sur une courte période risque d'entraîner une grave irritation des voies respiratoires, la pneumonite, l'oedème pulmonaire et d'autres symptômes de maladies pulmonaires. Le mercure peut atteindre le cerveau, le système nerveux, les reins et les poumons, et dans certains cas, il peut provoquer le coma ou la mort. Certaines personnes ont éprouvé des tremblements, des difficultés à coordonner les mouvements des pieds ou des mains, des troubles de l'équilibre, un engourdissement ou des sensations de picotement à l'extrémité des doigts. Après une exposition chronique à de faibles concentrations de vapeur de mercure (50 à 100 µg/m3), il peut y avoir un délai avant l'apparition d'effets nocifs sur le système nerveux central, les reins et la glande thyroïde et ceux-ci risquent d'être plus subtils. Il est difficile de distinguer les symptômes d'intoxication au mercure de ceux d'autres aliments de consommation courante. Les symptômes comprennent des tremblements, des faiblesses musculaires, des dépressions, des changements de personnalité, des pertes de mémoire à court terme chez l'adulte, des éruptions cutanées, particulièrement des rougeurs et une desquamation des mains et des pieds chez l'enfant. L'intoxication aiguë aux sels de mercure inorganique est rare, sauf dans les cas d'ingestion accidentelle. Les reins sont les premiers organes touchés. L'exposition professionnelle chronique aux sels de mercure entraîne des répercussions sur le système nerveux central semblables à celles associées à l'exposition aux vapeurs de mercure élémentaire. Q40. Quels sont les effets sur la santé et les symptômes de l'exposition au méthylmercure chez l'adulte? Une vaste gamme d'effets nocifs sur la santé ont été observés chez l'adulte après une exposition au méthylmercure, et il semble que la gravité dépende en grande partie de l'importance de la dose et de la durée d'exposition. D'importantes lésions neurologiques, voire la mort ont été constatées après une exposition à des concentrations très élevées lors d'épisodes d'intoxication qui ont eu lieu à Minamata, Japon et en Iraq. Le méthylmercure risque également de causer des lésions à d'autres organes. Des effets observés à l'étape d'exposition la plus précoce comprennent la paresthésie (engourdissement ou sensation de picotement) aux extrémités des mains et des pieds, des malaises ou une vision embrouillée. Ces effets peuvent dégénérer en ataxie (incapacité de coordonner les mouvements musculaires), en dysarthrie (troubles d'élocution), en perte de l'ouïe et en diminution du champ visuel. L'intoxication au méthylmercure est caractérisée par une période de latence entre l'exposition et l'apparition des symptômes. La période de latence varie d'un à plusieurs mois, selon la dose et la durée d'exposition. Au Nunavik, l'exposition au mercure est chronique (exposition à de faibles concentrations sur une période prolongée) et, jusqu'à maintenant, aucun de ces symptômes n'a été signalé. On soupçonne le sélénium et les acides gras oméga-3, tous deux présents chez les poissons et les mammifères marins, de contrebalancer jusqu'à un certain point les effets nuisibles du méthylmercure. Q41. Quels sont les types de traitement disponibles pour éliminer le mercure du sang? Si le niveau de mercure détecté dans le sang ou l'urine est élevé, un médecin peut prescrire un agent de chélation qui lie les ions de mercure entre eux. Le mercure et l'agent de chélation sont ensuite éliminés de l'organisme par excrétion. Si aucun agent de chélation n'est utilisé, l'organisme réussit quand même à éliminer le mercure par excrétion, mais plus lentement. La demi-vie de l'excrétion (délai pour qu'une quantité donnée de mercure soit réduite de moitié dans l'organisme) du mercure à l'état métallique est de 33,1 jours. Un certain nombre d'agents de chélation qui se fixent au mercure sont disponibles et peuvent accélérer l'excrétion jusqu'à trois fois. Comme dans le cas de tout autre médicament, les agents de chélation risquent d'entraîner des effets secondaires. Q42. Dois-je me préoccuper des concentrations de mercure dans l'eau potable? Au Canada, les niveaux de mercure dans l'eau potable sont habituellement bien en deçà de la concentration maximale acceptable (CMA) de 0,001 milligramme par litre (Santé Canada, Directives de qualité pour l'eau potable). Bien que les niveaux de mercure soient élevés dans certaines sources d'eau, en raison de dépôts naturels de mercure ou de la pollution, l'exposition par ingestion de l'eau ne présente en règle générale aucun problème. Dans les cas où les niveaux de mercure sont jugés trop élevés, il existe des technologies de traitement efficaces des réserves d'eau privées et municipales. |
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CharloudelidouInscrit le : |
Je vois ca qu'il est controversé! J'ai juste eu le temps de lire l'article sur Wikipedia (ouiii je suis une fervente de Wikipedia!). Le problème c'est de trouver des sources véritablement non partisanes.
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CharloudelidouInscrit le : |
mais dans ce cas (et je suis encore en train de rechercher ce M. Wakefield alors c'est purement une hypothèse 'sur le coup', c'est attraper la rougeole point qui pourrait être lié a l'autisme. Le virus de la rougeole ne mute pas (c'est pour ca que d'habitude ca ne prend qu'une seul inoculation a vie) donc la souche du vaccin est la même qui existe encore de nos jours.
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CharloudelidouInscrit le : |
Joa_22 a écrit Charloudidoudelidou a écrit Il n'y a plus de thimerosal dans les vaccins de routine depuis plusieurs années et le nombre de diagnostis d'autisme chez les jeunes enfants n'a pas baissé. La préoccupation est logique, mais il n'y a a ce jour aucun lien de cause a effet entre le thimerosal et l'autisme. Plus dans la majorité des vaccins de routine. Le vaccin contre l'hépatite B, donné en 4e année je crois, en contient encore de même que la majorité des vaccins anti-grippaux annuels. Le vaccin anti-grippal n'est pas donné en général avec les vaccins de routine chez les enfants. Et toujours en général, l'autisme est diagnostiqué avant la 4e année! |
Joa_22Inscrit le : |
Charloudidoudelidou a écrit Il n'y a plus de thimerosal dans les vaccins de routine depuis plusieurs années et le nombre de diagnostis d'autisme chez les jeunes enfants n'a pas baissé. La préoccupation est logique, mais il n'y a a ce jour aucun lien de cause a effet entre le thimerosal et l'autisme. Plus dans la majorité des vaccins de routine. Le vaccin contre l'hépatite B, donné en 4e année je crois, en contient encore de même que la majorité des vaccins anti-grippaux annuels. |
GalaInscrit le : |
Je sais que wikipedia n'est pas considéré comme une source " scientifique" recevable dans les travaux universitaires mais je m'y réfère malgré tout et je suis assez satisfaite des informations que j'y retrouve en général...C'est du moins, un bon début !
Passionnant les études en océanographie ! Un très beau domaine selon moi... |
AnonymeInscrit le : |
On ne peut pas marquer n'importe quoi sur Wikipédia... c'est constamment surveillé! Quand un article n'a pas été vérifié (wikifié), ou lorsque les sources sont douteuses, c'est toujours indiqué dans l'entête de l'article.
Je suis étudiante à la maîtrise en océanographie et wikipédia est un outil essentiel. Bien entendu, je ne le cite jamais, mais pour se faire une brève idée du sujet, c'est parfait! Les sources qui y sont présentées sont souvent assez fiables pour que je puisse les citer dans mes travaux... |
GalaInscrit le : |
En passant...
Les sources sont mentionnés sur Wikipedia. |
GalaInscrit le : |
Alors j'attends tes études sur les risques de l'éthylmercure MIMI82 à court, moyen et long terme.
Bonne chance ! |
Mimie82Inscrit le : |
Wikipédia... tu me parles bien de l'encyclopédie où n'importe qui peut écrire n,importe quoi, où les sources ne sont pas véridiées et où, plusieurs fois, on a démontré que des choses archi-fausses y ont été écrites?
Wikipédia n'est pas et ne sera jamais une source méritant d'être citée comme étant fiable. Et encore moins sur des sujets controversés comme les vaccins, puisque n'importe qui voulant faire peur aux gens pourra y faire publier un truc augmentant la dangerosité réelle de quelque chose. |
GalaInscrit le : |
SOSO2...Je ne comprend pas cette phrase : " Toutefois, je trouve tout cela nébuleux pour quelqu'un qui, comme moi, n'a qu'un bacc. en psychoéducation..."
Ces infos ne viennent pas de moi, elles ont été prises sur le site de Santé Canada et Wikipedia... |
CharloudelidouInscrit le : |
Il n'y a plus de thimerosal dans les vaccins de routine depuis plusieurs années et le nombre de diagnostis d'autisme chez les jeunes enfants n'a pas baissé. La préoccupation est logique, mais il n'y a a ce jour aucun lien de cause a effet entre le thimerosal et l'autisme.
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soso2Inscrit le : |
AUTISME: En effet, tes doutes concernant l'autisme et la présence de mercure dans les vaccins sont à mon avis plus que justifiés. D'autant plus, que la communauté scientifique dans le monde de l'autisme s'entend pour dire que les vaccins ne causerait pas l'autisme. En ce qui me concerne, je trouvais ça un peu simpliste d'expliquer cette maladie par une UNIQUE explication.
Toutefois, je trouve tout cela nébuleux pour quelqu'un qui, comme moi, n'a qu'un bacc. en psychoéducation. Peut-être que si j'avais fait ma médecine, je pourrais faire vraiment un choix éclairé et en toute connaissance de cause. Par conséquence, je me fie à mon oncle qui est médecin qui se fait vacciner et qui a fait vacinner ses 3 GARÇONS. Je t'admire de faire autant d'effort pour comprendre la situation des vaccins et leur possible conséquence!! |
GalaInscrit le : |
Voiçi ce qui est dit sur le Thimerosal ( ou le Thiomersal ) selon Wikipedia au niveau de sa toxicité... IMPORTANT !
A doses significatives, le thiomersal est très toxique par inhalation, par ingestion et par contact avec la peau (CE symbole de danger T +), avec un danger d'effet cumulatif. Il est également très toxique pour les organismes aquatiques. Le mercure n'étant pas biodégradable, il peut causer à long terme des effets néfastes dans les milieux aquatiques (CE symbole de danger N) 14 Dans le corps, il est métabolisé ou dégradé en éthylmercure (C2 H 5 Hg + ) et thiosalicylat e4 Il semble que peu d'études de la toxicité du thiomersal aient été faites chez l'Homme. Concernant ses effets après inoculation, des expériences sur le modèle animal suggèrent que le thiomersal se dissocie rapidement en libérant de l'éthylmercure, peu après le moment de l'injection ; et que la biodisponibilité du mercure soit alors comparable à ce qu'elle est après une exposition à des doses équivalentes de chlorure d'éthylmercure ; c'est à dire que le système nerveux central et les reins sont alors les cibles des composés mercuriels, avec au delà d'une certaine dose des symptômes de défaut de coordination motrice. Des signes et symptômes similaires ont été observés chez l'homme au cours d'intoxications accidentelles. Les mécanismes précis d'action toxique de ce produit sont encore inconnus . L'élimination de cette forme de mercure par l'organisme passerait essentiellement par l'excrétion fécale (avec donc contamination des effluents et eaux usées, pour des quantités qui peuvent commencer à paraitre écotoxicologiquement significatives dans le cas d'une vaccination massives de cheptels animaux ou d'une ville ou d'un pays). L'éthylmercure aurait une « durée de demie-vie » dans le sang d'environ 18 jours, et de 14 jours environ dans le cerveau. Le mercure inorganique métabolisé à partir de l'éthylmercure a une clairance beaucoup plus longue ; d'au moins 120 jours, cette forme du mercure semble bien moins toxique que le mercure sous forme inorganique produit à partir de vapeur de mercure et inhalé, pour des raisons encore mal comprises. 15 16. L'évaluation des risques et effets sur le système nerveux humain a été faite sur la base d'extrapolation à partir de la relation dose-réponse pour méthylmercure 15 lequel (comme l'éthylmercure) - après injection - circule dans tout le corps et se distribue dans tous les tissus de l'organisme, sans être bloqué ni freiné par la barrière hémato-encéphalique ni par la barrière placentaire 17. Ces extrapolations faites à partir du méthylmercure ont incité les autorités sanitaires à faire retirer le thiomersal des vaccins pour enfants aux États-Unis (à partir de 1999). Depuis, il a été constaté que l'éthylmercure est métabolisé et éliminé du corps et du cerveau beaucoup plus rapidement que ne l'est le méthylmercure ; ce qui a fait dire à certains à la fin des années 1990, que les évaluations des risques ont peut-être été trop prudentes 15. Selon une étude publiée en 2008, la durée de demie-vie du mercure (sous cette forme) dans le sang, serait après la vaccination en moyenne de 3,7 jours pour les nouveau-nés et les nourrissons, soit beaucoup plus courte que les 44 jours nécessaire à l'élimination de la moitié d'une dose inoculée ou ingérée de méthylmercure 18 |
GalaInscrit le : |
Il semblerait d'après mes recherches que le méthylmercure , présent partout dans l'environnement et qui semble s'accumuler plus longtemps dans l'organisme est différent de l 'éthylmercure présent dans les vaccins et qui ne s'accumulerait pas dans l'organisme...
Personnellement , je ne crois pas en la nécessité de vacciner tout court pas plus que je ne perçoit la vaccination comme un bouclier . Je considère que les vaccination polluent le corps mais j'avoue avoir des réserves en ce qui à trait au lien fait entre l'autisme et le mercure. Si il y a quelque chose qui provoque des troubles neurologiques dans le vaccin, je pense que chacune des composantes doit être mit en cause et pas seulement une seule. Peut-être est-ce plus au niveau des adjuvants ( squalène ) et non pas des conservateurs ( formaldéhyde, thimérosal ) ? Néanmoins, j'ai vue un enfant complètement paralysé après avoir reçu un vaccin dans chaques bras et dans chaques jambe la même journée ici même au Québec dans l'excellent reportage " Silence on vaccine ". Il y a de quoi s'interroger sérieusement selon moi... |