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Papa Gala parle pour vous les filles

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 13 avril 2008 12:20:35 EDT  
Bonjour à toutes

Je suis le papa de Gala et très inquiet de la campagne de vaccination de nos filles contre le papillome humain. J'ai pris le temps de faire quelques recherches et quelques calculs pour me rendre compte que la campagne est non seulement injustifié mais potentiellement dangereuse. J'aimerais partager avec vous mon opinion.

PS: J'ai envoyé cette lettre à l'émission " Tout le monde en parle " Si il y a des personnes qui ont des doutes au sujet de ce vaccin, n'hésitez pas à m'appuyer dans ma démarche afin d'avoir un débat publique. Merci

Bonjour à toute

J'aimerais vous proposez un sujet: celui du vaccin du papillome humain.

Nous sommes à la veille de vacciné près de 90 000 jeunes filles de 9 ans avec un nouveau produit dont les résultats et les effets secondaires ne sont pas encore bien répertoriés, et cela, pour une immunité de plus ou moins 6 ans. Non seulement ces deux raisons devraient suffire pour mettre un moratoire durant quelques années afin de recueillir plus de données, mais pour une raison de finance publique nous allons dépenser prêt de 100 millions de dollars pour prévenir 80 cas de mortalité par année sur 3,7 millions de québécoises d'un cancer du col de l'utérus possiblement relier à ce virus dans plus ou moins 25 ans.

Si l'immunité ne dure que 6 ans et que le vaccin est "gratuit" qu'aux jeunes femmes de moins de 18 ans, que va-t'il arriver aux jeunes femmes de 21 ans qui ont été vacciné à 15 ans lors de leurs rappels? Elles ne seront plus immunisées et nous savons qu'elles sont plus active sexuellement qu'à 15 ans. Si en moyenne un cancer se développe en 25 ans le vaccin ne les protégeras pas rendu à l'âge ou généralement cette maladie est observé.

Je ne suis pas contre la prévention, bien au contraire, je suis un père de 30 ans qui à une jolie fille de 3 ans que j'adore. Loin d'être un conspirationiste, je m'inquiète de cette campagne à grande échelle qui semble avoir été crée pour profiter aux compagnies pharmaceutiques que pour prévenir une maladie qui n'affectera que 0,00215 % de la population de femme du Québec ! Si le vaccin à seulement 0,5% d'effet secondaire grave, elle causera plus d'inconvénient que la maladie qu'elle veut soigner. 0,5% de 90 000 jeunes femmes n'égale-t'il pas 450 jeunes femmes dans la fleur de l'âge qui n'ont pas eu la chance de faire le choix? Ce n'est qu'un exemple et une question mais je crois qu'elle est assez éloquente pour que nous nous la posions. Dans le même ordre d'idée si on applique les statistiques du 80 femmes sur 3,7 millions annuelle, nous allons vacciner 90 000 jeunes femmes qui seulement 1,9 d'entre elles aurons la chance d'avoir un cancer de l'utérus si elles ne sont pas vacciné. N'est-ce pas absurde ?

Suis-je le seul à voir qu'il y a quelque chose d'absurde dans cette situation. N'existe-t'il pas de meilleurs raisons ou des situations beaucoup plus pressante et urgente au Québec ou l'on pourrait faire de la prévention ? À la mesure des faits, ne devrait t-il pas y avoir un débat publique sur la question ?

Un citoyen qui veux comprendre et qui s'inquiète de cette situation.

Merci de l'attention que vous porterez à cette lettre.

Papa Gala

- 100 million de dollars arrondit = (( 90 000 jeunes filles de 9 ans x 3 doses de vaccins x 120$ chaque doses) x 2 ( re-vaccination à 15 ans))+/- 25% de frais inhérent ( infirmières, ect.) = 81 000 000,00$ CND
- Statistique Québécoise, données de 2001: 3,7 million de femmes de toutes âge.
- 0,00215 % = (100%*80 femmes )/ 3,7 million de femmes

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Coccinelle06

Inscrit le :
21 janv. 2008

Localisation :
Rouyn-Noranda

Posté le: 10 août 2011 11:05:37 EDT  
Up! 

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Bébiz

Inscrit le :
27 sept. 2008

Posté le: 7 décembre 2008 20:35:35 EST  
J'ai eu un cancer au col de l'utérus... à mes 16ans, j'ai passé mon premier pap-test et 6mois plus tard, on m'apprend d'aller passer des tests plus approfondie à l'hôpital... Qu'ils voyaient des petites trace de cancer, mais ils n'étaient pas sur... À l'hôpital, après été suivie pendant presque 2ans, le docteur me dit : C'est partit tout seul, et 6mois plus tard, c'est un autre virus inconnus qui est là et que je devrais aller passer des tests à plusieurs centaines de $$$ chacun et que les assurances ne paye pas... Et qu'il y aurait de fortes chances que je ne puisses jamais avoir d'enfants.. Crying or Very sad J'ai été à Ste-Justine pour avoir un 2e avis (j'avais déjà un dossier), j'ai fais transféré le dossier et tout le tralalala et le doc. m'annonce que j'ai bien fais de venir, car a ce qu'il peut voir dans le dossier, mon cas est déjà bien avancé... Il a prit quand même un prélèvement et m'a dis de retourné chez moi, qu'il m'appellerais pour l'opération... À l'opération, j'ai été endormie et ils m'ont enlevé une petite partie de mon col, car il y avait une masse de type1. On m'a seulement dis de faire attention, car je pouvais avoir de la difficultée à tomber enceinte et que j'avais des chances de le perdre... Maintenant, je suis guérie et la dernière fois que j'ai vue mon doc pour ce problème, j'étais enceinte d'environ 6mois... Il était content pour moi Smile

Tout ça juste pour dire que je suis quand même contre ce vaccin, car justement, on ne connait aucun des effets sur la santé des jeunes filles... Je voulais moi-même aller me faire vacciner (à quoi cela peut-il me servir maintenant???), mais c,est justement mon conjoint qui m'a fais réfléchir... Personne ne connait les effets à long termes sur la santé!!!!! 

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Maé

Inscrit le :
24 avr. 2007

Posté le: 7 décembre 2008 20:22:51 EST  
[quote="doucemaman"
j'ai pogner cte virus la quand j'étais jeune et croyez moi si yavais eu un tel vaccin je crois que je l'aurais prit.je sais que certaines personnes ne veulent rien savoir des vaccins mais c'est important pour vos filles car faire l'amour avec quelqu'un qui porte le virus est pas marquer dans son front...
 


Ce qui a été mentionné très fréquemment au cours de ce débat et des nombreuses pistes d'informations qui furent gentiment soumises par de nombreuses forumeuses, c'est que oui le vaccin va protéger "nos filles"... Mais pas entièrement car le vaccin ne protège que de quelques souches et non pas de la totalité. Donc les risques restes encore nombreux et fort présent et la vaccination n'a qu'un effet illusoire de protection pour les parents qui crois fortement que leur filles ne "pogneront" rien ainsi... L'information, le rv annuel avec un gynéco et le test pap sont des moyens déjà en place et qui ont pour objectif de conscientiser et de rendre responsable chaque femme de sa vie sexuelle et de son corps. La vaccination fait croire que l'on est protégée, mais qu'en est-il réellement? Et en plus de cette soit-disant protection à très petit spectre, les risques de réaction à cette campagne de vaccination massive et dont les effets sont encore méconnus et nébuleux sont réels.

Mes filles je les adores. Mes fils tout autant. Mais de là à dire que de leur donner l'impression que c'est magique et que plus rien de cancéreux ou condylomes ne peuvent leur arriver... c'est incomplet comme information et c'est un risque que je ne suis pas prêtre à prendre.  

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mamanclo

Inscrit le :
15 nov. 2007

Posté le: 7 décembre 2008 20:07:50 EST  
bonjour a toutes!!
je crois que c'est pas une questions d'épidémie du canser du col ...le virus du papillon humain ou condylome est un virus qui est tres contagieux... verrues sur le col ( si traiter trop tard pouvant donner le cancer du col) verrues sur la vulve.... meme les hommes peuvent l'avoir mais en condylome sur le gland (moluscum)il doivent se faire arracher les verrues!! si c'est pas traiter chez la femme elle peut devenir stérile!

j'ai pogner cte virus la quand j'étais jeune et croyez moi si yavais eu un tel vaccin je crois que je l'aurais prit.je sais que certaines personnes ne veulent rien savoir des vaccins mais c'est important pour vos filles car faire l'amour avec quelqu'un qui porte le virus est pas marquer dans son front... meme peut-etre que cette personne ne le sais meme pas qu'elle est porteuse du virus car elle peut le couvé quelque mois voir 2-3 ans!

moi ca sorti quand j'avais 18 ans et j'ai jamais su de ou ca venais pas parce que je couchais a gauche a droite,mais bien parce que ca fesais 1 ans que j'avais pas eu de relation sexuelle .. pour vous dire!en tout cas si jamais j'ai une fille je lui ferais administrée le vaccin sans hésitation! là pour l'instant j'ai un ti bonhomme mais je vais lui parler de ce virus et les autres maladies quand le temps viendras!!
 

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Anonyme

Inscrit le :
11 avr. 2008

Posté le: 6 décembre 2008 14:24:29 EST  
Hum... je n'ai pas compris grand chose Embarassed mais à voir vos réactions, ça a l'air positif Very Happy  

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Doucemaman :)

Inscrit le :
02 déc. 2004

Posté le: 6 décembre 2008 09:10:55 EST  
Hummmmmm!
Intéressant Very Happy  

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 15:50:35 EST  
Je me suis permise de copier un article de Science presse, bonne lecture:

Un virus de la papaye comme vaccin

Une équipe de chercheurs de l'Université Laval vient de mettre au point une technologie versatile qui pourrait servir de base à l'élaboration d'une nouvelle génération de vaccins : des vaccins faits du virus modifié de la mosaïque de la papaye ! On pense y avoir bientôt recours pour prévenir des maladies pour lesquelles il n'existe toujours pas de vaccin ou pour lesquelles le vaccin traditionnel ? par exemple contre l'hépatite C, le VIH ou la grippe saisonnière ? est d'une efficacité discutable. Cette technologie, décrite dans les périodiques scientifiques Journal of Virology, Virology et Journal of Immunology, pourrait même traiter certains cancers par immunothérapie.
C'est la première fois que la transformation d'un virus de plante permet de produire un vaccin qui catalyse une puissante réponse immunitaire lors de tests chez la souris, tant pour la production d'anticorps que pour le déclenchement d'une réponse cellulaire. Cette capacité à enclencher les deux branches du système immunitaire est inédite en vaccination.
Cette biotechnologie médicale pourrait pallier, dans les années à venir, aux déficiences des vaccins actuels qui ne sont pas toujours une panacée. « Pour un virus végétal, c'est de loin celui qui aura été le plus caractérisé pour la vaccination », souligne Denis Leclerc, le virologue du Centre de recherche en infectiologie du CHUL à la tête de l'équipe à qui l'on doit cette découverte. Le virus de la mosaïque de la papaye aurait un potentiel impressionnant pour devenir la meilleure plateforme vaccinale à base de virus végétal et dépasser en efficacité des vaccins traditionnels.
Le virus de la papaye est répandu en Bolivie, au Pérou, aux États-Unis, au Mexique et au Venezuela, mais la proportion de plantes atteintes varie d'une région à l'autre. Celles-ci présentent des taches sombres sur leurs feuilles, car le virus entraîne la nécrose, la mort cellulaire. Comment un virus de fruit exotique peut-il être porteur de si grands espoirs? Les virologues et les immunologistes ont commencé à s'y intéresser à cause de sa forme, qui explique une bonne part de son succès vaccinal. Il s'agit d'un bâtonnet flexible formé de plusieurs copies d'une seule protéine, arrangées en spirale. «C'est un signal d'alarme pour le système immunitaire, car il n'y a pas de protéines semblables chez l'humain», explique Denis Leclerc. Même si ce virus déclenche une alarme au sein de notre corps, il ne présente aucun risque de provoquer une maladie.
L'astuce consiste à se servir de ce signal provoqué par le virus de la papaye pour attirer les cellules immunitaires. En modifiant ce virus pour qu'il porte à sa surface des morceaux d'autres microbes, comme le virus de la grippe, non seulement la guerre immunitaire est déclarée au virus de la papaye, mais aussi aux nouveaux microbes. Le virus de la papaye sert donc d'allié pour diriger le combat vers une autre cible.
Plusieurs vaccins traditionnels contiennent déjà ces additifs, les adjuvants, qui bonifient la réponse immunitaire. Ici, le virus de la papaye sert d'adjuvant puissant aux morceaux de microbes qui y sont apposés. En plus, selon le virologue, ce pourrait bien être l'adjuvant le plus puissant et le plus sécuritaire à ce jour. Il envisage l'adaptation du vaccin papaye pour combattre plusieurs virus, et même certaines bactéries, et ce, en une seule dose.
La puissance de ce nouveau vaccin réside en sa capacité à activer le deuxième régiment du système immunitaire, la réponse cellulaire. En effet, en plus de la stratégie bien connue des anticorps, le système immunitaire produit des cellules «tueuses» spécialisées. Leur mission : reconnaître les cellules infectées de notre corps et les détruire pour éviter la propagation de l'infection. Des collaborateurs de Denis Leclerc, les chercheurs Réjean Lapointe, du CHUM, et Alain Lamarre, de l'Institut Armand Frappier, ont montré que le virus de la papaye est capable de mettre en branle ce deuxième régiment dans des cellules humaines. Il y parvient en utilisant un mécanisme encore méconnu et inhabituel mis au jour récemment par une autre équipe montréalaise. C'est la première démonstration que des virus de plante modifiés peuvent entraîner cette puissante réponse. Grâce à elle, la plateforme papaye pourrait servir à combattre des infections chroniques et des cancers par l'avènement de nouveaux traitements d'immunothérapie comme l'espère Réjean Lapointe, oncologiste.
La technologie est au point en laboratoire et les tests préliminaires chez la souris donnent d'excellents résultats sans effets secondaires. En plus, les vaccins papaye pourraient être stockés pour de longues périodes sans réfrigération, ce qui constitue un avantage majeur. Toutefois, la mise en marché de vaccins innovateurs est un processus long et surtout coûteux. Selon Denis Leclerc, il peut en coûter de 400 à 500 millions de dollars avant qu'un vaccin ne soit offert à la population. Ce long périple est nécessaire, puisqu'un vaccin doit être d'une sécurité absolue. À ce prix, difficile de financer ceux destinés à des maladies sévissant surtout dans les pays du tiers monde. Il reste encore beaucoup de travail pour en arriver à un traitement contre le cancer ou vaccin universel. Denis Leclerc a confiance qu'un financement industriel permettant les tests cliniques nécessaires émergera d'ici deux ans.

Amélie Daoust-Boisvert - Agence Science-PresseLa NOUVELLE scientifique


 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 15:24:32 EST  
RE- Laughing Laughing

C'est vrai qui a de quoi faire peur! Wink

Hélo 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 3 décembre 2008 15:23:07 EST  
Laughing

J'aurais peur moi aussi..

 

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Tchintcha

Inscrit le :
22 mars 2008

Posté le: 3 décembre 2008 15:22:26 EST  
lol Laughing  

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Maé

Inscrit le :
24 avr. 2007

Posté le: 3 décembre 2008 15:12:39 EST  
Ben voyons Gala, les cas de décès relié au vaccin , les filles sont mortent de peur, c'est pas en lien causal avec la composition du vaccin reçu....


(maé qui est fatiguée et qui s'adonne aussi au sarcasme aujourd'hui)  

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 14:59:50 EST  
Merci pour l'info!

À l'émission le code chastenay dernièrement ils parlaient d'un médecin à Québec qui travail sur un adjuvant végétal a base de papaye qui serait tout a fait sans danger pour l'humain.

À suivre...
Hélo 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 3 décembre 2008 14:50:49 EST  
Un dernier extrait, toujours du même article sur la composition de ce vaccin de m..

" Le Gardasil contient en outre 225µg d'aluminium par dose ainsi que du polysorbate 80 et du borate de sodium, des substances connues pour leur neurotoxicité, leur cancérogénicité et leurs nombreux autres effets secondaires, notamment sur la circulation et les organes des sens. Le vaccin Cervarix, lui, renferme 500 µg d'aluminium par dose ainsi qu'une fraction bricolée d'endotoxine (lipide A purifié), le tout formant un adjuvant détonnant appelé « AS04 », adjuvant pour lequel on manque énormément de recul quant à son potentiel d'induire des maladies auto-immunes. "
 
"présentés comme sûrs par les fabricants et les autorités, ces vaccins sont pourtant depuis plusieurs mois dans la tourmente. Aux USA où le vaccin Cervarix n'a pas reçu le feu vert de la FDA (Food & Drug Administration), le Gardasil est déjà associé à 25 décès et plus de 8000 effets graves ." 

"..Ainsi, les proches de la jeune Jeanie Tetlock, une américaine de 14 ans, ont créé un blog suite à la maladie neurodégénérative qui a débuté chez elle un mois après la vaccination . Jessica Vega (cf. photo page précédente avant la vaccination), une autre américaine de 14 ans, vaccinée à l'école il y a un an, a développé une paralysie de type Guillain-Barré une semaine après la deuxième dose et n'a vu son état s'améliorer qu'au bout d'un mois de rééducation fonctionnelle "
 
"Le Dr Martin Winckler aussi exprime son scepticisme sur son site. Pour la gynécologue Françoise-Alice Wolf « nous ne sommes pas là pour engraisser les laboratoires et médicaliser des filles de 14 ans affolées ainsi que leurs mères, sans recul sur le long terme ! En 25 ans de consultations : 2 décès par cancer du col chez des femmes (6 ans sans frottis)?quelle épidémie ! »"
 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 3 décembre 2008 14:49:00 EST  
Très bon lien !

En voici un extrait ...

" En effet, le papillomavirus humain (HPV), virus dont il existe plus d'une centaine de souches, et qui se transmet préférentiellement par voie sexuelle, n'est jamais, à lui seul, une cause suffisante pour générer le cancer du col de l'utérus. Et ce, même pour la douzaine de souches dites « à haut risque » dont font partie les souches 16 et 18 de HPV incluses dans les deux vaccins. En effet, dans 90 % des infections au HPV, le virus sera éliminé naturellement dans un délai de 8 à 13 mois sans avoir généré le moindre désagrément. Dans les 10 % restants, le virus pourra persister plus longuement et être associé à l'apparition de lésions pré-cancéreuses appelées dysplasies cervicales dont il existe différents grades. Toutefois, seuls 3 % de ces dysplasies (donc 0,3 % maximum du total des infections) dégénéreront en cancer. Ces lésions débutantes peuvent disparaître naturellement et elles peuvent être traitées très efficacement. Le stade de cancer véritable peut donc être évité dans la majorité des cas. Laser et conisation (abrasion mécanique des cellules lésées) ne sont en rien comparables aux lourds traitements classiques des cancers que sont la chimiothérapie et la radiothérapie."
 

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Tchintcha

Inscrit le :
22 mars 2008

Posté le: 3 décembre 2008 14:37:36 EST  

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Tchintcha

Inscrit le :
22 mars 2008

Posté le: 3 décembre 2008 14:36:34 EST  
Bonjour, voici un lien vraiment intéressant, qui donne pleins d'informations au sujet de ce super vaccin (lire le sarcasme)...eh non! Je ne fais pas vaccinée ma fille, je ne suis pas contre la vaccination à proprement parler, mais plutôt contre la façon dont elle est administrée. Cependant, ce vaccin, il me met en rogne! Ya tu de quoi de plus inutile! Wow, nos filles seront "protégées" Confused dorénavant...plus besoin de mettre de condom, le sida ça n'existe plus! Rolling Eyes

Vaccination contre le
CANCER DU COL DE L'UTÉRUS
l'envers du décor...




/*Après les USA et le Canada, l'Europe se lance dans une grande
campagne de vaccination anti-cancer du col de l'utérus. Tout le
monde se réjouit de cette « avancée » médicale.
Qu'en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà
été vaccinées, mais n'est-t-on pas en train de reproduire les
conditions d'un nouveau scandale sanitaire ?*/
 

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Mini30

Inscrit le :
23 sept. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 13:53:38 EST  
Désolé, je me suis trompé dans mes mots. Je voulais dire que les condylomes sont une MTS.
Il existe plus d'une centaines de souches, et différents types mais peu ont des concéquences graves pour la santé.
Le vaccin couvre les 2 souces les plus graves, qui donne le 70% des cancer et aussi les 2 qui transmettent 90% des verrues.

 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 12:07:23 EST  
Mini30, il y a une dizaine VPH qui donnent le cancer et le vaccin en couvre 3. Nos sources ne nous donnent pas la même information, il y a une centaine de VPH et elles ne sont pas toutes transmisibles sexuellement, elles font pourtant toutes parties de la même famille.

Hélo 

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Mini30

Inscrit le :
23 sept. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 11:50:27 EST  
Le vaccin protège contre le cancer, mais pas contre toutes les formes de VPH. Il n'y en a que 3 (si ma mémoire est bonne) qui donne le cancer. Les autres, soit le corps élimine seul ou ils peuvent être brulé. ( ce qui est très douloureux) Les autre formes qui peuvent être transmise sur différentes parties du corps, ne sont pas proprement appellé VPH, parce que par définition, le VPH est une MTS. Les autres formes sont des verrues qui ne sont pas contagieuses. C'est ce que mon médecin m'a expliqué...

Et le PAP test ne sert pas de prévention, c'est un moyen de dépister... la prévention se fait avant la transmission. Lorsque le PAP test sort positif, tu as déjà contracté le virus... et le virus peut sortir après une période latente de 20 ans !!! Et peut réapparaitre n'importe quand.

Oui, L'information est importante pour la prévention, mais la transmission du VPH peut se faire même avec un condom... un simple frottage...  

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 11:37:32 EST  
AngelBear, voici un petit texte que j'ai copier sur le site du gouvernement du Canada, ça ne répond pas entièrement à ta question mais en partie..

Qu'est-ce que le VPH?
On compte plus de 100 types de virus du papillome humain (VPH). Il s'agit d'un virus
qui peut infecter plusieurs parties du corps. Certains types de VPH sont transmis
sexuellement et peuvent causer des verrues ano-génitales tant chez les hommes que chez
les femmes. Les types de VPH qui infectent la région ano-génitale ne sont pas les mêmes
que ceux qui infectent d'autres régions telles que les doigts, les mains et le visage.
D'autres types de VPH qui ne sont pas liés aux verrues ano-génitales peuvent rarement
causer le cancer du col utérin chez les femmes ou le cancer du pénis chez les hommes.
Certains types de VPH sont désignés à «faible risque», car ils se développent rarement en
cancer. Ceux qui sont le plus susceptibles de mener au cancer sont désignés à «risque
élevé».

Voilà,
Hélo  

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