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Auteur | Message |
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AnonymeInscrit le : |
Bonjour les femmes.
Depuis quelques jours je lis et j'écoute beaucoup tout ce qui se dit sur le fameux Bye Bye 2008. Pour ma part j'ai beaucoup aimé ce dernier, j'ai trouvé que ca reflétait bien le pouls du Québec dans la dernière année. La question que je me pose.... Quans est-ce arrivé?? Quand avons nous perdu notre sens de l'humour au Québec?? Je vous lis un peu et ensuite je vous donne mon opinion sur ce qui a été jugé vulgaire, déplacé, méchant, cheap, facile, épais, enragé, raciste etc... Blandinette |
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LexynayaInscrit le : |
Le problème c'est qu'ils font encore un Bye Bye !! Le seul moyen d'arrêter ces foutues contreverses est de mettre fin à ces Bye Bye qui ne seront jamais plus d'une aussi grande qualité que ceux des années de Dominique Michel et compagnie. Notre société est rendue plus intolérante que jamais alors un petit rien devient une montagne ! Donc la seule solution ultime d'arrêter tout ca est d'y mettre fin !!!
Lexynaya |
Marie-LiliInscrit le : |
Parlant de l'exagération des médias... Nathalie Petrowski aurait dit à ce propos que la crise allait au-delà du Bye Bye, qu'en fait, il s'agissait d'une guerre entre médias. Pas fou... Et une autre théorie provenant de Steve Proulx par rapport à la controverse: Pour se moquer, parodier, égratigner un milieu artistique aussi tricoté serré que le nôtre, il faut avoir l'indépendance d'esprit de le faire. Comme un journaliste doit éviter les conflits d'intérêts (ou les apparences de conflits d'intérêts) au risque de perdre sa crédibilité, un humoriste, pour faire rire, doit cultiver cette même indépendance d'esprit. Voilà une chose qui, malheureusement, manque au couple Cloutier-Morissette. Ce n'est pas leur faute. Ils sont simplement mal placés pour faire un paquet de gags, sans semer le doute quant à leurs intentions profondes... Voilà probablement pourquoi ça passe mieux quand ça vient de RBO! |
alouetteInscrit le : |
Ah Bon!!
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van26Inscrit le : |
Alouette, quand je dis Revenez-en ! je parle surtout des médias...PAS DE VOUS !
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alouetteInscrit le : |
van26 a écrit Je suis tout à fait d'accord pour dire que tout n'est pas risible, MAIS les critiques sur le Bye-Bye, je trouve personnellemment que c'est exagéré : menaces de mort, analyse du Bye-Bye par la monnaie canadienne pour voir s'ils retirent leur partenariat avec Véronique Cloutier, non mais franchement ! Revenez-en ! Je suis tout à fait d'accord avec Gala, il fallait très certainement voir un 2e degré dans certains sketch. L'humour du Bye-Bye était peut-être maladroit, mais quand même, on est rendu le 8 janvier ! Bien il me semble que le topic s'enlignait justement pour dire que certaines critiques sont nettement exagérées. Pour ma part, le Bye bye était plate et pas drôle, tout simplement. Même au 2e degré. |
van26Inscrit le : |
Je suis tout à fait d'accord pour dire que tout n'est pas risible, MAIS les critiques sur le Bye-Bye, je trouve personnellemment que c'est exagéré : menaces de mort, analyse du Bye-Bye par la monnaie canadienne pour voir s'ils retirent leur partenariat avec Véronique Cloutier, non mais franchement ! Revenez-en !
Je suis tout à fait d'accord avec Gala, il fallait très certainement voir un 2e degré dans certains sketch. L'humour du Bye-Bye était peut-être maladroit, mais quand même, on est rendu le 8 janvier ! |
Marie-LiliInscrit le : |
Voici un extrait d'un article de Steve Proulx, un journaliste dont j'aime bien les idées, à propos de la tradition du Bye Bye: Si l'institution qu'est le Bye Bye a eu, dans les années passées, une pertinence socioculturelle, elle s'effrite d'année en année. À force d'avoir des comiques qui dérident l'actualité quotidiennement à la radio, à la télé, partout? les gags, lorsqu'ils arrivent au Bye Bye, ont déjà quelque chose de suranné. J'aimerais aussi croire que la population commence à trouver qu'il y a mieux à faire le 31 décembre au soir que de regarder la télé. C'est mon petit souhait d'idéaliste naïf. Radio-Canada avait paqueté cette soirée-là de tous ses gros canons: Gérard D. Laflaque, Tout le monde en parle, Infoman et le Bye Bye. Or, s'il y a UNE soirée dans l'année où il serait normal, voire souhaitable, que le peuple ne s'écrase pas devant la télé... il me semble que c'est bien le 31 décembre. Non? Source: http://www.voir.ca/blogs/steve_proulx/archive/2009/01/04/bye-bye-en-retard.aspx |
alouetteInscrit le : |
Marie-Lili a écrit Mais se servir de la tragédie de Cédrika, je continue de penser que c'était inutile et que ça tend à banaliser ce qu'il lui est arrivé. Je n'ai pas entendu la blague en question. Mais je me pose aussi des questions sur l'humour au Québec. On dirait qu'il y a une surenchère d'humour cheap et banal. On veut faire rire à tout prix. C'est ça le problème avec le bye-bye entre autres. On garde la tradition, on bâcle une revue humoristique de l'année à toute vitesse, mononcle, matante pis les tits cousins, ils attendent leurs jokes pour se bidonner en mangeant les restants de tourtière de Noël. C'est à ça que ça me fait penser le bye-bye: du réchauffé! indigeste en plus!!! |
Marie-LiliInscrit le : |
Pour ce qui est de rire des drames humains, ça peut se faire dans une certaine mesure et d'une certaine façon. Benigni l'a fait admirablement bien. Dans le cas des camps de concentration, je pense que ça peut avoir pour but de se dire: c'est du passé, on n'oubliera pas, mais on va tourner la page et se moquer de l'absurdité de l'idéologie nazie pour qu'un tel drame ne se reproduise plus. Sauf que dans le cas de Cédrika, peut-on tourner la page, pourrons-nous vraiment le faire un jour? Peut-on se servir de cette tragédie sous prétexte que ça a été abondamment médiatisé?
Au moment de l'affaire, un journaliste avait demandé à un spécialiste (un psychologue, je crois) si la blague de Mike Ward ne pouvait pas servir à faire un deuil en quelque sorte, ce à quoi le spécialiste avait répondu: "Si c'est le cas, ce n'est pas quelque chose qui doit se faire publiquement, mais en privé." Je comprends l'intention de Mike Ward de dénoncer une façon de faire du gouvernement, mais il aurait pu faire s'en tenir à: "surveillez bien vos enfants, ils vont venir vous les enlever!" ou encore "si votre enfant disparaît, c'est là qu'il faut chercher en premier" sans en ajouter. Ça ne vise personne en particulier, et même si ça fait référence à quelque chose de grave, j'aurais sûrement trouvé ça drôle quand même. Mais se servir de la tragédie de Cédrika, je continue de penser que c'était inutile et que ça tend à banaliser ce qu'il lui est arrivé. |
GalaInscrit le : |
Je suis particulièrement d'accord avec ce point apporté par Marc Cassivi ( La presse )
"C e n'est pas, comme le prétend Radio-Canada, parce que le Bye Bye est allé «trop loin» dans l'audace qu'il a tant été critiqué. C'est précisément parce qu'il a manqué d'audace, d'originalité et de subtilité. Et surtout, parce qu'il a manqué à son devoir d'être drôle. C'est pourtant tout ce qu'on lui demand ait." |
GalaInscrit le : |
Moi je trouve dommage qu'il y ai autant de monde ayant prit au premier degré les jokes d'un personnage comique qui s'appelle " Le gros cave " ...Juste son nom d'artiste est une joke ! donc, il est clair que ce qu'il dit ne doit pas être prit au premier degré non ??
Oui, il est vulgaire, il le sait, ça fait parti du personnage...Oui, ce qu'il dit est raciste, il le sait, c'est un gros cave, C'EST CA SON PERSONNAGE !!! Je pense que si le monde réagit autant, c'est parce que ce sont là des sujet chaud et bouillant qui dure depuis lonnnngtemp !!! M. Mercier à reçu des menace de mort pour avoir fait ce "stand up" C'est pas un peu exagéré comme réaction ?? Moi, je n'ai pas aimé les blagues poche sur Nathalie Simard au début surtout car je croyais À TORD que c'était Véronique Cloutier elle-même qui l'avait personnifié..Ce qui n'est pas le cas..Par contre, je trouve malgré tout que c'était de très mauvais goût... Voilà.. Gala |
Marie-LiliInscrit le : |
Je suis allée lire l'article de Cassivi et je suis bien d'accord avec lui. Les intentions des auteurs n'étaient nullement racistes. Au contraire, souvent on se sert de l'humour pour dénoncer le racisme, en utilisant un personnage raciste tout en mettant l'emphase sur le ridicule de son discours. C'est ce que Mercier a fait, c'est ce que Deschamps faisait, et même Dieudonné (quoique le fait qu'il ait choisi LePen comme parrain pour sa fille me laisse perplexe, mais bon...). Le but est avant tout de montrer l'absurde et le non-sens de la pensée raciste, même si c'est fait parfois maladroitement.
Le racisme est encore très présent, même au Québec, alors je trouve très légitime que la Ligue des Noirs se porte à la défense de ses membres. Sauf qu'ils doivent faire attention de cibler les bonnes batailles. À force de crier au racisme lorsqu'il n'y en a pas, ils risquent d'entacher leur crédibilité, et lorsque le loup se pointera réellement, plus personne ne les croira. |
Chris2312Inscrit le : |
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alouetteInscrit le : |
J'ai trouvé cette chronique ce matin, qui résume bien ce qu'il est question dans ce topic.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/marc-cassivi/200901/08/01-815688-bye-bye-pas-raciste-mais-pas-drole.php |
alouetteInscrit le : |
*Sweet* a écrit "La vita e bella" est un de mes films préféré... vrai aussi que c'est pas donné à n'importe qui d'avoir ce talent ...je doute qu'au Bye Bye c'est ce qu'ils ont essayé de faire ... Ouf! Ils ont des croûtes à manger avant de parvenir à la cheville de Roberto Benigni. (merci, Solbyanca! ) |
*Sweet*Inscrit le : |
alouette a écrit *Sweet* a écrit on ne dois pas se servir de drames humains pour "faire rire" peut importe le contexte... drame humain et humour ça fite pas ensemble. Je ne suis pas d'accord. Ça peut se faire, sauf que ça prend un sacré talent pour réussir à rallier drame humain et humour. Va regarder "La vita e bella" et tu comprendras ce que je veux dire. Le gars (zut je ne me souviens plus de son nom) il a réussi à faire rire dans un film sur les camps de concentration nazis. Sauf qu'un moment donné dans le film, tu mêles rires et vraies larmes. Un moment rare. Il y a quelqu'un d'autre qui a réussi ce tour de force avec moi: Jean-Marc Chaput. J'ai jamais pleuré et rit autant en même temps. Et ça, juste en l'entendant parler de son expérience de vie. j'avoue candidement que tu marques un bon point...d'ailleurs "La vita e bella" est un de mes films préféré... vrai aussi que c'est pas donné à n'importe qui d'avoir ce talent ...je doute qu'au Bye Bye c'est ce qu'ils ont essayé de faire ... |
Marilyne1981Inscrit le : |
Alouette, je suis d'accord avec toi : ça prend beaucoup de talent pour faire rire dans des situations plus dramatiques. Je pense à Jon Stewart qui anime ''The daily show'' (un ''faux'' bulletin de nouvelles humoristique) aux É-U et lundi soir, il a ouvert son émission sur la situation à Gaza. Il a réussit à aborder ce sujet en faisant rire, et en faisant réfléchir! Si vous ne le connaissez pas, ça vaut la peine d'aller visionner l'émission sur ctv.ca (onglet vidéo).
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AnonymeInscrit le : |
J'attendais que Dréanne écrit, me sentais toute seule LOL !! Maé a écrit Jamais au grand jamais je n'oserais insinuer que de l'avoir rit prouve la stupidité, mais l'acharnement à défendre même avec du recul... ça me laisse perplexe quant aux motivations, je dois bien l'avouer. On ne cherche pas à défendre, on essait juste de mettre la situation au clair! Alors pourquoi cette acharnement de vouloir à tout prix décortiquer le problème de fond en comble sur le sujet de Cédrika comme tu le fais juste parce que son nom a été mentionner un "bref" moment dans un numéro d'humour?? Un show d'humour se vit au moment présent, une blague également, elle est lancé, on rit et c'est finit! Mike Ward est loin d'avoir inventer le genre, Yvon Deschamps a fait bien pire * , alors quelle aurait été la réaction du monde si c'est Yvon qui aurait fait la dite blague?? J'pense pas que le monde aurait crier à ce point au scandale!! Pourquoi?? Parce que c'est le plus grand humoriste au Québec!! Je ne pense pas que le monde se serait acharné sur lui et sa blague après coup juste pour se donner bonne conscience!! Et tu ne répond pas à la simulation que je te fais vivre en mettant le nom de ton enfant à naître. C'est là-dessus que j'aimerais lire, pas sur les défendeurs, ou justificateur d'une personne qui n'est pas toi. Peut-être parce que je suis capable de faire la part des choses!?! T'aurais bien pus mettre le nom de mon garçon Cédrik et je changerais pas d'opinion. Cédrika, ils en ont tellement parler que c'est tout a fait normal que son nom ressort a un moment donné ou à un autre! Son histoire a été tellement médiatisé, qu'il y'a personne qui peut passé à coté! Étrangement, y'a 2 jeunes filles qui ont fugué dernièrement, ils en ont parler qu'une seule fois et on en a jamais réentendu parler, bizarre non!?! Si c'est pas médiatisé sur toute les chaines à tout les jours, le monde s'en fou, bien au moin, Mike Ward aura aidé Cédrika à revenir dans la mémoire collective des gens qui étaient en train de l'oublier, surement de façon déplacé mais sans aucune méchanceté! À Alouette: j'aime beaucoup ton exemple avec le film la Vita e Bella, son nom est Roberto Benigni !! *Petit texte que j'ai trouvé sur Wikipedia à propos d'Yvon Deschamps... très intéressant Très vite, Deschamps ressent le besoin de dépasser les bornes établies. Son personnage commence à prendre de l'assurance, ses propos deviennent plus pointus. -En 1972, j'ai cependant décidé d'écrire d'une autre façon et de faire des expériences plus théâtrales. Question de créer différentes émotions chez le public. Des malaises aussi. Je chicanais mes musiciens. Je faisais semblant d'avoir des trous de mémoire de cinq minutes. J'ai déjà fait partir les sprinklers (arrosoirs automatiques) pendant un spectacle. Jusqu'au début des années 80, je me disais qu'il fallait que j'aille le plus loin possible sur scène. Mon public est passé par tout. Il sortait de la salle la tête entre les jambes. Dans L'intolérance, il tente un exercice de style périlleux : celui d'aller au-delà de ce que son public est prêt à accepter. Le monologue commence tranquillement, après une longue introduction et une chanson (On va s'en sortir), avec le personnage qui met le public en garde contre les dangers de l'intolérance, qui est la cause principale des guerres, massacres, génocides et autres malheurs de l'humanité. (Le tout, sans pouvoir s'empêcher de livrer au passage une diatribe contre les « tapettes ».) Il cite en exemple le génocide au Biafra, où l'intolérance a fait que « des millions de petits Nègres sont morts de faim », bien qu'il ne s'en offusque pas outre mesure, ceux-ci n'étant, après tout, que des Nègres. Toutefois, s'empresse-t-il d'ajouter, l'intolérance a déjà tué « du vrai monde » -- en l'occurrence, des « presque blancs », c'est-à-dire des « Gris pâles », c'est-à-dire des Juifs. -Six millions de Juifs, qui sont morts parce que Hitler, y faisait de l'intolérance. Y'était malade dans tête, un maudit maniaque de fou, la, tsé la ? Ah oui, lui, lui Hitler y disait que les Juifs sontaient pas du monde comme les autres pis y s'habillaient mal pis y'avaient des couettes pis y puaient pis y s'lavaient pas pis y'achetaient toutte... Je l'sais ben que c'est vrai qu'y sont comme ça. On tue pas le monde pour ça ! Des Juifs, tu t'arranges pour pas n'avoir dans ton boutte, c'est toutte. Le monologue continue de déraper, et le personnage raconte comment ils ont chassé une famille juive de leur quartier quand il était adolescent, à grands cris de « maudits juifs sales ». Il pousse et pousse jusqu'à ce qu'un membre de l'auditoire, éc?uré de ce spectacle, fasse ouvertement part de son dégoût. C'est à ce moment que le personnage se retourne contre lui, et l'accuse de faire preuve de la même intolérance dont il met le public en garde depuis vingt minutes. Il s'exclame que l'on doit monter une armée contre les intolérants, et son discours est enterré sous les bruits de pas d'un régiment, et le tout se fond finalement en une reprise de On va s'en sortir. Deschamps avouera avoir eu peur à chacune des représentations de ce monologue. |
LälälälouInscrit le : |
dréanne a écrit catherinova: excuses moi, je n'ai pas saisi le sens de ta dernière phrase, voulais-tu dire que s'il était impliqué dans un organisme pour la recherche des personnes disparues sa joke n'aurait pas été percue comme ca ou tu veux dire qu'après avoir raconté la joke il aurait du verser de l'argent à un organisme pour se racheter? pourrais-tu m'éclairer svp, la phrase a comme deux sens comme je la lis! merci! Je voulais dire avant. Mais de toute façon, je retire mes paroles concernant la dernière phrase de ma dernière intervention, j'ai écrit sans réfléchir: si ma fille se faisait kidnapper et que Mike Ward m'approchait avec sa joke plate, je l'enverrais promener royalement. |
dréanneInscrit le : |
alouette a écrit *Sweet* a écrit on ne dois pas se servir de drames humains pour "faire rire" peut importe le contexte... drame humain et humour ça fite pas ensemble. Je ne suis pas d'accord. Ça peut se faire, sauf que ça prend un sacré talent pour réussir à rallier drame humain et humour. Va regarder "La vita e bella" et tu comprendras ce que je veux dire. Le gars (zut je ne me souviens plus de son nom) il a réussi à faire rire dans un film sur les camps de concentration nazis. Sauf qu'un moment donné dans le film, tu mêles rires et vraies larmes. Un moment rare. Il y a quelqu'un d'autre qui a réussi ce tour de force avec moi: Jean-Marc Chaput. J'ai jamais pleuré et rit autant en même temps. Et ça, juste en l'entendant parler de son expérience de vie. tellement daccord! il faut avoir un immense talent, mais ca se fait! Avez-vous vu le deuxième show de martin matte? c'est ce qu'il fait au début du spectacle, il fait des jokes sur des sujets qu'on ne trouve pas drôle d'ordinaire et crime il réussit à nous faire rire quand même! (ex: les femmes voilées, les personnes en chaise roulante)... il faut avoir une manière de dire les mots... mais certaines personnes réussissent, c'est tout un défi...! |