Rédactrice web, stratège, gestionnaire de communauté, artiste et mère de trois garçons, elle déteste les étiquettes. Ses enfants le confirment ; Annie est une attachante maman zarb (ce qui veut dire bizarre en verlan) qui déborde d’imagination et qui adore se mettre en déséquilibre. Toujours un peu dans la marge, elle habite l’autoroute 15 à cheval entre la rive nord et Montréal. Ses billets sont souvent le fruit de ses longues heures à jouer dans le trafic. Confrontée au TDAH, elle s’est intéressée au sujet et tient un blogue sur le sujet. Si non, vous pouvez la suivre sur sa page Facebook.
Toutes les familles sont gratifiées d’une (très) désagréable tante Albertine. Parfois, elle s’appelle Ginette, Julie ou Sonia, mais sur le fond, ça ne change rien. Acerbes au plus haut point, ses mots et ses remarques laissent des traces.
Rédactrice, impliquée dans ma communauté, peintre et maman de trois garçons, je fais le saut en politique municipale. Mais parmi toutes mes compétences et mes expériences de vie, c’est ma maternité qui fait souvent (trop) jaser. Pourquoi?
Il y a de ces phrases que l’on lance en l’air, comme ça, sans se douter qu’elles sont des vœux pieux. La mienne depuis le début de l’année 2016 ; « Si je pouvais, je partirais vivre sur une île déserte, loin du monde. »
Je n’aime pas les demis. Le gris fade, les choses faites à moitié, les sentiments tièdes… Je déteste tout ce qui n’est pas entier. Les gens comme les idées.
De ses premiers pas à aujourd’hui, fiston a toujours eu une démarche atypique : les pieds vers l’extérieur. Sa condition ne semblait pas problématique, jusqu’à ce que les douleurs apparaissent et commencent à handicaper ses activités quotidiennes.
Il a six ans, moins quelques dents, et la créativité lui sort par les oreilles. Entre son cerveau et le bout de sa langue, les mots passent dans le tordeur à idées et en bout de ligne, ils ont une autre couleur.
Si Noël a sabordé Jésus au profit du père Noël qui récompense les enfants sages, Pâques n’a pas su trouver un homologue aussi alléchant pour empêcher mes cocos de poser LA question : « pourquoi fêter le chocolat? ».
Alors que je déambulais entre les tables de la cafétéria d’une école primaire, les gros mots fusaient dans tous les sens. Du « bâtard » à la « bite molle », ils y passaient tous et écorchaient ma tolérance.
Ma cuisine est un bordel sans nom. La couleur de mes armoires « matche » pas pantoute avec celle de la belle robe vaporeuse-que-je-ne-porte-pas-anyway. D’habitude, j’m’en fiche. Mais là… mes cheveux, mes tiroirs et mes idées sont en pagaille.
Je suis une snob. Purement et simplement. J’aime l’art, la culture, le bon vin et je parle pointu. Et ça me va. Une autre grande vérité à mon sujet: je déteste le hockey.