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Auteur | Message |
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Juliette32Inscrit le : |
Merci Isa et Lylou!
Cet article vient juste de paraître sur le site, voici le lien: http://meresetcie.com/index.php?mact=News,cntnt01,detail,0&cntnt01articleid=384&cntnt01displaycollaborator=false&cntnt01displayfromcollaborator=false&cntnt01origid=57&cntnt01lang=fr_FR&cntnt01returnid=57 Et je suis tellement fière de moi: elle me cite!!! (E. Turcotte) J'en ai mis des efforts pour écrire cet article, et en plus, je me suis fais réprimander (eh oui!) à mon milieu de travail (CLSC Ami des bébés...) parce que "ça nuisait au travail de l'équipe de petite enfance et que ça leur donnait une mauvaise image"... Je suis contente de voir que ça a donné quelques chose. En tout cas, je la contacte tout de suite. J'ai entendu dire qu'il y avait quelqu'un qui faisait une recherche sur le sujet à l'Université Laval, peut-être est-ce elle. Merci encore! |
Isa-Lylou et LexieInscrit le : |
voici le nom de lauteur du texte ainsi que ses références et son email
Isabelle Madore, agente d'intervention en service social Notes: (1) Allaitement exclusif : « Signifie qu'on ne donne aucun autre aliment ni boisson, y compris de l'eau, au nourrisson (...) » (MSSS, 2001 : 10). (2) Turcotte, 2006. (3) ACSM, 2008. Références : Association Canadienne pour la Santé Mentale (2008). La dépression post-partum. [En ligne]. Page consultée le 2008-09-22. www.cmha.ca/BINS/content_page.asp?cid=3-86-87-88&lang=2 MSSS (2001). L'allaitement maternel au Québec. Lignes directrices. Gouvernement du Québec : Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux. 75 pages. Turcotte, E. (2006). La promotion de l'allaitement maternel au Québec : enjeux éthiques et cliniques. Intervention. 186-193 isabelle.madore.1@ulaval.ca |
gen13Inscrit le : |
Moi je pense que s'est une très bonne idée de rassembler des mères qui donnent le biberon. J'ai tellement souffert d'isolement parce que je n'allaite pas et qu'il n'y a aucune place pour nous. Alors je pense que s'est à nous de créer quelque chose pour nous et les futures mères qui pourraient souffrire de cette pression sociale et de cette discrimination. Nous pourrions faire pression pour qu'il y ait une ouverture de ce coté et ainsi avoir du soutien pour les mères qui vivent un échec afin de prévenir les dépressions. :wink:Ainsi Que les femmes qui font le choix de donner le biberon soit soutenue aussi.
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Juliette32Inscrit le : |
Boddhi a écrit pourquoi pas un défi Nourrir nos bébés, toutes ensemble, seins et tétines confondus? Excellente idée!!! ÇA, ça serait vraiment génial de faire ça. Une super façon de promouvoir à la fois l'allaitement au sein et au biberon. Toutes en gang et dans le plaisir. Ah mon dieu... mon rêve! Mais bon, je suis certaine qu'il n'y a pas encore assez d'ouverture pour ce type d'événement encore. Mais on y arrive. Moi, j'ai vécu beaucoup de peine quand je me suis aperçue que l'allaitement au sein, ce n'était tout simplement pas pour moi et mon bébé. J'étais bien convaincue, comme vous toutes, que ce n'était pas possible que je ne puisse pas allaiter. Pendant plusieurs années, j'ai transporté pas mal de colère et d'agressivité car je trouvais vraiment injuste de me faire regarder comme une extra-terrestre (et moi l'injustice, ça vient réellement me chercher). Puis, j'ai beaucoup réfléchi sur le sujet et j'ai fait des recherches. J'ai lu et j'ai lu. Puis, la colère est pas mal descendue. J'ai eu mon deuxième fils, je me suis assumée au boutte avec l'allaitement mixte au biberon, j'ai essayé de pas trop porter attention aux regards jugeants en me disant que je faisais ce qu'il y avait de mieux pour moi et mon fils (et en me disant également que les madames jugeantes étaient soit, simplement ignorantes, ou juste très insécures et égocentriques). Et puis maintenant, ma colère vis à vis tout cela s'est transformée en humour. Et je ris de ça et je me dis que ce n'est TELLEMENT pas un problème prioritaire sur Terre. Les madames qui jugent, ben qu'elles s'amusent avec leurs jugements. Moi, je trippe avec mes enfants et mon chum. Et puis je remercie le XXe siècle d'avoir mis des biberons sécuritaires sur le marché!!! Je compatis TELLEMENT avec celles qui deal présentement avec ce genre de sentiment pas très le fun. Je l'ai vraiment vécu moi aussi. Je crois qu'on peut vraiment contribuer à faire changer les attitudes envers le biberon, mais pas en étant agressives (genre, le Défi biberon serait un p'tit peu trop agressif... ). Je crois plutôt qu'on peut arriver à changer les mentalités en étant smoothes et sécures dans notre choix, et en utilisant l'humour pour désamorcer le tout. Et en n'essayant surtout pas de nous justifier. Allaiter au sein, au biberon ou faire l'allaitement mixte: c'est un CHOIX très personnel. On le fait en fonction de notre relation avec notre corps et avec notre bébé, on le fait en fonction de notre contexte de vie et de nos valeurs en général. Tout cela est très personnel et personne ne peut venir juger cela. Sur ce, je vais souper. Ciao! |
AnonymeInscrit le : |
Karine_Jam a écrit Savez-vous que le personnel de la santé, en particulier les médecins, recoivent une prime à chaque nouvelle patiente qui part de l'hopital en allaitant? C'est le genre de stratégie mit en fonction pour que l'allaitement soit le #1! Et je tiens pas ça du voisin là, j'ai 2 amis travaillant en natalité à Pierre-Boucher! je trouve ca tellement poche comme technique, ils veulent tellement être sur que tu allaite en sortant de l'hopital, qu'ils ne vérifient même pas si tu en a reellement la capacité, la volonté ou assez de lait... j'entend tellement souvent des histoires de bébés qui doivent être hospitalisés 2-3 jours après leur sortie de l'hopital parce qu'ils on perdu du poid... tout ca parce qu,on a dit aux mères : oui, oui ma tite madame tout est beau, vous êtes ben bonne, tout va bien... oui oui oui tout le monde peux allaiter, c'est du malpositionnement bla bla bla... franchement, c'est mettre la santé de certains bébés en péril! |
Karine_JamInscrit le : |
Super l'article! Je suis la preuve vivante que le CLSC nous exclut des salles d'allaitement! Quand j'allaitais j'y allais tout les mardis, mais dès que j'ai arrêté d'allaiter (ma fille avait 2 mois 1/2) bien l'infirmière est venu me demander si c'était possible de ne pas donner un biberon dans la salle! J'ai faite;
" Je vais lui en donner un ou je veux. Je viens discuter des problèmes de mon enfant et rencontrer d'autres mères, que je lui donne un biberon ou non ça me regarde. Si tu me mets dehors parce que je donne un biberon c'est de la discrimination!" Elle est parti sans dire un mot ! Savez-vous que le personnel de la santé, en particulier les médecins, recoivent une prime à chaque nouvelle patiente qui part de l'hopital en allaitant? C'est le genre de stratégie mit en fonction pour que l'allaitement soit le #1! Et je tiens pas ça du voisin là, j'ai 2 amis travaillant en natalité à Pierre-Boucher! Je suis pour une rencontre de biberonneuse! Hihi! Mais j'approuve Boddhi ça serait tellement moins compliqué faire un "ressemblement des mères nourrissant leur enfant". En passant, moi j'ai reçu un livre de ma belle-soeur (qui est infimière). C'est de la têté à la cuillière (Bien nourrir mon enfant de 0 à 1an) Fait par Linda Benabdesselam et autres, approuvé par l'hopital Ste-Justine. Le chapitre 3 est "Les préparations lactées pour nourrissons". Il y a 9 pages, l'histoire du lait maternisé, les préparations régulières, de 2e age ou de transition, de soja, sans lactose, thérapeutiques, leur caractéristiques, le sevrage et verre/gobelet/tasse! Honnêtement je l'aime vraiment gros!! C'est le seul livre ou y'a un tableau qui donne une moyenne de combien un bébé doit boire pour son âge!! Y'a aussi un tableau pour montrer les couts du lait comme en poudre, concenté ou prêt à servir. Voila le petit tableau Guide APPROXMATIF de la quantité de lait à offrir selon l'âge. Âge--------------Nombre de biberons-------------Quantité par biberon-------------------Quantité par jour 1er mois------------------6 à 8-----------------------60 à 150ml (2 à 5on)--------------450à 750ml (15 à 25on) 1 à 2 mois----------------5 à 8-----------------------90 à 210ml (3 à 7on)--------------600 à 900ml (20 à 30on) 3 à 6 mois----------------4 à 6-----------------------150 à 240ml (5 à 8on)------------840 à 1020ml (28 à 34on) 7 à 12mois---------------3 à 5-----------------------180 à 240ml (6 à 8on)------------720 à 840ml (24 à 28on) |
BoddhiInscrit le : |
Wow! Quel plaisir de lire un tel article...
Je suis plus seule à penser que le petit maudit tableau sur l'allaitement dans le mieux vivre devrait avoir un recto qui donne les mêmes infos pour les bébés au biberon. Combien d'onces de lait maternisé ai-je gaspillé parce que j'ignorais qu'elle quantité donner au début parce que je faisais l'allaitement mixte? Combien de questions me suis-je posée sur les variantes de lait proposées, la poudre, le soya, les omégas 3 et tout? Moi, le Mieux vivre, il est dans la salle de bain, à côté de la toilette et on le lit quand on c... Bon, montée de lait, c'est le cas de le dire. Moi aussi, je serais partante pour un défi biberon... pas pour écoeurer celles qui allaitent, je l'ai quand même fait 7 semaines, mais pour montrer qu'on est pas des débiles non plus. Ouverture, simplement, ou-ver-tu-re. On se sentirait moins coupable de pas être capable ou de pas vouloir le faire si c'était plus valorisé. pourquoi pas un défi Nourrir nos bébés, toutes ensemble, seins et tétines confondus? |
Isa-Lylou et LexieInscrit le : |
jessaye de savoir.. la fille ma dit quelle la trouver sur le site "mère et cie"
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Juliette32Inscrit le : |
J'y pense, j'ai écrit un article sur le sujet il y a une couple d'années (ça a été publié dans la revue professionnelle des travailleurs sociaux). J'ai un load de références le fun sur le sujet et je pense entre autres à un article de Rebecca Kukla (une prof de philo et d'éthique de l'Université Carleton à Ottawa) qui se dévoue à la cause. Son article est gé-ni-al. J'aimerais bien le poster sur le net... mais avec les droits d'auteurs ce n'est pas possible. Je vous donne la référence:
Kukla, R. (2006). Ethics and Ideology in Breastfeeding Advocacy Campaign, Hypatia , vol. 21, no. 1, pp. 157-180. Elle a écrit un essai tout aussi génial: Kukla, R. (2005). Mass Hysteria: Medicine, Culture and Mothers'Bodies , New York: Rowman & Littlefield. Et voici mon humble article: Turcotte, E. (2006). La promotion de l'allaitement maternel au Québec : enjeux éthiques et cliniques, Intervention , 125 (déc. 2006), 186-193. Isa et Lylou : si tu peux me trouver la référence de l'article dont tu parles, je l'ajoute à ma collection. Thanks! ciao! |
Juliette32Inscrit le : |
mana a écrit Juliette32, bonne idée moi j'embarquerais volontier pour un défi biberon. Les rassemblements sont faits pour dénoncer une problématique sociales et ici on en a une excellente. Merci les filles! Ouf, je ne suis pas la seule à fantasmer dans ce sens... |
Juliette32Inscrit le : |
Isa et Lylou:
wow re-wow Qui est l'auteur-e? Je veux AB-SO-LU-MENT savoir !!! |
manaInscrit le : |
Juliette32, bonne idée moi j'embarquerais volontier pour un défi biberon.
Les rassemblements sont faits pour dénoncer une problématique sociales et ici on en a une excellente. |
Isa-Lylou et LexieInscrit le : |
une fille sur un autre forum a trouvé cet article.... jje le trouve hyper intéressant, jespère quil sera publié
Celles qui choisissent de ne pas allaiter C'est en octobre qu'a lieu la semaine mondiale de l'allaitement. Nous profitons de l'occasion pour aborder la situation des femmes, des mères, qui choisissent de ne pas allaiter ou qui cessent l'allaitement. Évidemment, les bienfaits de l'allaitement maternel exclusif (1) étant largement reconnus, nous ne pouvons pas nous situer contre celui-ci. Toutefois, la promotion unique de ce type d'allaitement a un impact sur les femmes. Quelle place laisse-t-on à leur libre arbitre? Dans ce contexte, que ressentent les femmes qui choisissent de ne pas allaiter? Nous vous proposons donc une réflexion sur ce sujet. La promotion de l'allaitement au Québec Basés sur les résultats d'études scientifiques, les bienfaits de l'allaitement sont aujourd'hui connus et reconnus. C'est dans cette optique que le gouvernement du Québec s'est doté en 2001 de lignes directrices s'adressant aux divers professionnels des services de santé et des services sociaux. Ces lignes directrices ont pour but de permettre aux intervenants de mieux informer les femmes afin qu'elles puissent faire un choix éclairé quant à l'allaitement. Elles mettent de l'avant diverses stratégies dans le but d'augmenter le nombre de mères pratiquant l'allaitement exclusif de la naissance à l'âge d'un an. Or, serait-ce possible que la promotion de l'allaitement exclusif ait eu pour effet d'entraîner une diminution de l'information rendue accessible aux femmes et l'exclusion des autres pratiques d'allaitement? À certains égards, il semble que oui. Par exemple, dans le guide Mieux vivre avec notre enfant de la grossesse à deux ans (2008), la place accordée aux préparations lactées est bien en deçà de celle attribuée au lait maternel et à l'allaitement. Elle avait aussi grandement diminuée entre l'édition de 2006 et celle de 2001(2). Cette diminution est questionnable. Les femmes ne devraient-elles pas avoir accès à une information juste et impartiale concernant les différentes possibilités qui s'offrent à elles? Par ailleurs, nous pouvons observer la mise au rancart des images en lien avec l'alimentation artificielle (biberons, tétines, images de préparations lactées, etc.). De même, certains CLSC interdiraient l'accès aux salles d'allaitement aux femmes nourrissant leur enfant au biberon (2). Ainsi, en ne présentant l'alimentation des bébés que par l'allaitement maternel, les autres pratiques d'allaitement s'en trouvent dévalorisées et même à certains égards, exclues. Choisir d'allaiter ou ... de ne pas allaiter. Dans la foulée de la promotion de l'allaitement exclusif, où se situent les femmes qui choisissent de ne pas allaiter? Les écrits sur le sujet avancent que ces femmes vivent un inconfort. Un inconfort qui se traduit par un important malaise face à leur famille et leurs amis mais aussi face aux divers intervenants qu'elles rencontrent. Ainsi, certaines femmes rapportent se sentir jugées et n'osent pas, par exemple, affirmer leur choix lors des rencontres prénatales. Ces femmes hésiteraient aussi à poser des questions sur les préparations lactées. Or, le manque d'information les expose davantage à commettre des erreurs autour de la préparation du lait, ce qui peut nuire au bébé. Les femmes qui ont décidé d'arrêter d'allaiter, par choix ou par nécessité, ressentent également diverses émotions. Le sentiment d'échec et d'être une mauvaise mère en hante plusieurs. Ainsi, les femmes qui ont assimilé les messages véhiculés autour de la promotion de l'allaitement exclusif peuvent ressentir une incohérence entre les valeurs qu'elles ont intégrées et leur choix de cesser l'allaitement. Cette incohérence peut être la source de beaucoup de souffrance, allant jusqu'à contribuer au développement d'une dépression post-partum. En effet : la dépression post-partum est un trouble de santé mentale ayant diverses causes et selon l'Association Canadienne pour la Santé mentale, « les attentes à l'égard des fonctions maternelles » (3) peuvent représenter un facteur de risque de ce type de dépression. La liberté de choisir L'autodétermination, ou la liberté de choisir soi-même ce qui est bon pour soi, est un principe cher aux yeux de tout individu. En privant les femmes d'une information entière et impartiale et en exerçant sur les femmes une pression en ce qui a trait à l'allaitement, il est possible que nous les privions de leur liberté de faire par elle-même les choix qui leur conviennent. Nous pouvons entraver leur processus de décision et même, nuire socialement à leur épanouissement dans leur rôle de mère. En somme, si la cause est noble, certains moyens de la promouvoir pourraient être préjudiciables aux femmes et donc, par ricochet, à leur bébé. Finalement, est-il possible de croire qu'en informant les femmes de façon honnête et impartiale, un plus grand nombre choisira l'allaitement exclusif et ce, sans marginaliser celles qui font le choix contraire? Le débat est lancé. Bonne réflexion! |
Isa-Lylou et LexieInscrit le : |
Juliette32 a écrit Hi hi! Je suis un peu du type baveuse ... mais je viens de fantasmer sur quelques chose: On devrait tellement organiser un défit-biberon!!! Genre, pour s'assumer en gang, organiser une méga-rencontre de biberonneux qui allaiteraient "artificiellement" leur bébé toutes et tous ensembles!!!! Et bien-sûr, il y aurait autant de papas que de mamans qui donneraient le biberon. Ayoye que je participerais à un tel événement! Ça serait tellement baveux et défoulant!!! fantasme, fantasme... Moi je l'aime et je le comprends ton fantasme et c'est certainement pas une "vendu de lallaitement" qui va comprendre pour dénoncer la pression sociale et le DROIT de nourrir au biberon sans culpabilité, go go go je suis avec toi et svp les yeux qui roulent sont pas bienvenus dans se post MERCI |
gege123Inscrit le : |
C'est bien trop vrai. Sur ce, je vais aller m'occuper de mes oignons. Je m'excuse d'être intervenue dans votre post
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Juliette32Inscrit le : |
Ben oui, je sais bien. Je trouve que le Défi-allaitement est une bonne idée et je comprends tout à fait le but de l'opération...
Je trouvais juste drôle l'idée de faire la même chose, mais pour dénoncer justement les pressions exercées sur les femmes qui veulent allaiter au biberon. Comme quoi, on fait toutes partie de la même gang (allaitantes et biberonneuses): on se sent toutes "mal vues". C'est pas normal. On fait juste nourrir notre enfant! Des fois, je trouve qu'on dépense pas mal d'énergie pour des principes quand on pourrait sauver cette énergie si précieuse pour s'occuper de soi et de ses enfants... Mais bon... La nature humaine étant ce qu'elle est, on se comparera et essaiera toujours d'ëtre meilleure que l'autre d'à côté... |
gege123Inscrit le : |
J'étais justement en train de culpabiliser de mon message. Je voulais juste préciser que la raison du défi allaitement (bon, je suis une vendue ok) est que l'allaitement en public est encore mal vu. Je sais que la plupart des filles qui participent à ce post se sont fait écoeurer par rien qu'à peu près avec l'allaitement, mais nous aussi on se fait écoeurer. Ce n'est pas une raison pour que les infirmières en milieu hospitalier refusent d'aider les mères qui veulent offrir le biberon, mais ça explique pourquoi le 11 octobre, on va être environ 1000 femmes à se montrer les seins |
Juliette32Inscrit le : |
C'est une blague, bien sûr...
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gege123Inscrit le : |
franchement
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Juliette32Inscrit le : |
Hi hi!
Je suis un peu du type baveuse ... mais je viens de fantasmer sur quelques chose: On devrait tellement organiser un défit-biberon!!! Genre, pour s'assumer en gang, organiser une méga-rencontre de biberonneux qui allaiteraient "artificiellement" leur bébé toutes et tous ensembles!!!! Et bien-sûr, il y aurait autant de papas que de mamans qui donneraient le biberon. Ayoye que je participerais à un tel événement! Ça serait tellement baveux et défoulant!!! fantasme, fantasme... |