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sucre2008Inscrit le : |
Charloudidoudelidou a écrit Au sujet de l'allaitement 'dans le bon vieux temps' j'ai demandé à ma mère qui est née à la campagne dans les années 50, et elle m'a dit qu'elle et toutes ses frères et soeurs avaient été nourri au lait de vache cru, exclusivement! C'était commun dans ces temps-là à la campagne de donner du lait de vache parce que c'est pas toutes les mères qui pouvaient, ou voulaient allaiter (dans le cas de ma grand-mère elle voulait rien savoir). Comme de quoi c'est pas aussi 'nouveau' qu'on pense Voila justement le pourquoi le lait maternisé existe, car il y avait trop de mortaliés infantiles à cause du lait de vache. Ca remonte à la premiere guerre mondiale et meme avant. Les 30ans et plus, nous sommes la derniere génération qui a connu les biberons de lait de vache + sirop de mais-miel-sucre blanc..... Je comprends que l'allaitement est le meilleur mais qu'ils nous donnent un break. Nous sommes dans une transition mais ils forcent la chose un peu trop pour aller plus vite. |
AnonymeInscrit le : |
van26 a écrit PS : Ma meilleure amie désire avoir une césarienne ( elle n'est pas enceinte encore) et personne ne la convaincra d'allaiter, c'est hors de question pour elle... Une vision diamétralement opposé de la mienne sur ce qu'est l'accouchement et l'allaitement. J'ai de la difficulté à comprendre, mais je la respecte tout comme elle ne m'a jamais traité de folle de persévérer malgré mes difficultés... Salut Van26! Je me permet ici de faire une petite paranthèse dans le débat (excusez!) par rapport à ton amie. Je voulais te dire que moi aussi, je désirais une césarienne AVANT même d'être enceinte, et j'ai été exaucé car mon fils se présentait par le siège. Je te trouve très ouverte et c'est super de voir que tu ne l'as pas jugé là-dessus même si tu as une vision différente! Moi, j'ai fait la gaffe de dire ça à une (ancienne) amie, et elle m'a fait tout un speach de moral etc.... elle était très faché que j'ose dire une telle chose. Alors, bravo à toi pour respecter les opinions des autres, ça démontre une belle maturité! |
CharloudelidouInscrit le : |
Wow quel beau débat que ces 8 pages!
Je suis une maman allaitante mais j'ai tellement eu de misère, j'ai tellement failli arrêter souvent, et je ne trouvais pas d'aide. Toutes les ressources me ressortaient la même rengaine sur ce que j'avais mal fait (ma fille a été au biberon les 10 premiers jours parce qu'elle refusait mon sein), que ca doit pas faire mal sinon je fait pas ca comme il faut ou ma fille devait faire une confusion mamelon/tétine et ya plus grand chose à faire. Ce qui a sauvé mon allaitement c'est ma grande soeur qui allaitait en même temps et qui m'a expliqué ce que c'était vraiment allaiter, que oui ca fait mal au début même si le bébé s'accroche comme il faut et que ca va faire mal pour plusieurs semaines avant que ca aille mieux. Personne m'avait dit ca! On dirait que c'est le problème actuel avec l'allaitement, ils ont l'air d'avoir peur qu'on débarque si ils nous disent que c'est pas rose bonbon, mais ca donne l'effet contraire. Il me semble qu'on mérite d'avoir toute la vérité non? Au sujet de l'allaitement 'dans le bon vieux temps' j'ai demandé à ma mère qui est née à la campagne dans les années 50, et elle m'a dit qu'elle et toutes ses frères et soeurs avaient été nourri au lait de vache cru, exclusivement! C'était commun dans ces temps-là à la campagne de donner du lait de vache parce que c'est pas toutes les mères qui pouvaient, ou voulaient allaiter (dans le cas de ma grand-mère elle voulait rien savoir). Comme de quoi c'est pas aussi 'nouveau' qu'on pense |
m_planteInscrit le : |
Bonjour, pour ma pars je veux vous faire pars de mon expérience d'allaitement. A ma fille j'étais bien décider d'allaiter. Lorsque l'infirmière ma rendu visite a la maison après l'accouchement Megane n'avait pas engraisser. Elle a appellé une colègue quilui a dit que certains enfants sont plus long avant d'engraisser. Elle n'a effectuer aucun test a savoir sila prise au sein est correcte, si la montée laiteuse été bien présente. Comme c'étais la période des fêtes elle a transmis ledossier a quelqu'un d'autre et m'a laisser la balance. Après 2 semaine lapetite avait toujours pas engraisser. J'ai appeler plusieurs fois au clsc pourparler a l'infirmière qui me répettait la même chose, elle n'est jamais venula voir. j'ai rapporter la balance. au rdv du medecin elle avait maigrie de 2 livres. Pendant qu'on lui donne le biberon ils ont tirrémon lait ,après 1heures il y avait a piene 1 once en tout dans les deux sein. ( en passant je ne suis pas sensible aucune douleur).
Quand j'ai décidé de donner le biberon on ma dit que je devrais continuer l'allaitement qu'il n'y avait rien de mieux que je ne serais pas proche de ma fille. Tout pour me faire sentir coupable. Quel choix j'avais lui donner le sein pour le peu qui avait en stessant et en complétant avec une tonne de médcament pour faire monté le lait ou lui donnerle biberon en étant calme. Elle a étéau soin intensif 2 jours a l'hopital plus 1 semaine après. A tous les jours on venait me relancer. Je me suis senti couplable 1 ans de temps,j'ai même fini pas divorcé car mon conjoint n'en pouvait plus. Je peux vous dire que pour cette grossesse je suis sure que je n'allaiterai pas. Je sais que chaque grossesse est différente mais je serais trop nerveuse et mon bébé va le ressentir.Jesais qu'a l'hopitale il ne sera pas facile de faire valoir mon point de vue, mais je vais tenir bon. De plus mon nouveaux conjoint est super compréhensif. Mon but est juste de vous faire voir que tes fois la volonté est là mais que ça fonctionne pas. J'espère que personne ne sentiras aussi coupable que j'ai pus l'être. Personne ne mérite l'acharnement que j'ai subis. |
DofamiInscrit le : |
Je suis d'accord que dans mon expérience, ce qui a manqué le plus c'est le soutien psychologique. J'étais là à pleurer parce que mon fils ne buvait pas, perdait du poids, j,étais découragée, je voulais retourner chez moi ! et on continuait de me montrer des positions d'allaitement, de me confirmer que la prise était bonne, qu'il ne fallait pas que je m'en fasse avec ça...que l'allaitement est difficile mais qu'on y arrive toutes. Effectivement si on avait été plus à l'écoute de mes émotions du moment je crois que le parcours aurait été différent et surtout, plus agréable.
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Marie-LiliInscrit le : |
Loule , ce n'est peut-être pas une question d'avoir trop ou pas assez d'aide, mais plutôt la façon dont l'aide est dispensée qui est à revoir...On n'agit peut-être pas au bon niveau. Oui, c'est important de vérifier que le bébé soit bien positionné, qu'il tète bien, que le lait s'écoule bien, etc., mais ça va plus loin que ça l'apprentissage de l'allaitement. C'est au niveau du support moral qu'il y a peut-être des manques en ce moment...
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Marie-LiliInscrit le : |
Si vous permettez, j'aimerais préciser ma dernière intervention qui répondait à CaroCarl.
Ce que je veux dire en fait, c'est qu'il fait toujours plaisir d'être encouragée dans son choix, d'avoir une certaine reconnaissance de l'extérieur; ça aide à se rassurer sur la voie qu'on a prise. Mais personnellement, je ne connais personne qui a fait le choix d'allaiter dans le but d'avoir cette reconnaissance. Je pense que les femmes le font avant tout parce que ça correspond à leur désir profond, pour être bien avec elles-mêmes. Pas pour flasher! C'est comme pour l'accouchement sans épidurale: beaucoup font le commentaire que des femmes font cela pour recevoir des félicitations et passer pour des héroïnes aux yeux des autres, alors que ce n'est tellement pas ça! Marie-Lili, qui a reçu à deux reprises un certificat du défi allaitement et qui les a accrochés fièrement au mur du salon pour que tout le monde les voit. (Non, je blague! ) |
AnonymeInscrit le : |
sucrerose Hey!!! Je n'aurais plus de place sur mon uniforme de super maman pour coller tous mes badges
8 pages de débat et toujours pas de guerre de clans!?!? Wow, il y a vraiment une vague de bonne humeur sur le forum J'ai une question!!! On a souvent entendu dire dans ce débat que les nouvelles mères devraient recevoir plus d'aide pour l'allaitement. Suis-je la seule qui trouvait, qu'au contraire, j'avais ''trop'' d'aide. J'ai trouvé le travail des infirmières super à l'hopital ou j'ai accouché, mais après que la 10e infirmière soit venue me tâter les seins pour vérifier que l'allaitement allait bien, je commencais à trouver ça drolement agacant. Je voulais juste rentrer chez moi pour avoir la paix et pouvoir me cacher les seins un peu |
sucre2008Inscrit le : |
Je rectifie mon tir. La premiere badge qu'on devrait toutes recevoir est celle d'être la meilleure maman pour son enfant. Après, on peut choisir parmi pleins d'options comme l'allaitement, le biberon, les couches lavables, le portage, etc. Dans le fond, peut importe, toutes les filles devraient être fiers d'avoir donné la vie.
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Marie-LiliInscrit le : |
CaroCarl a écrit Et des fois, j'ai l'impression que certaines femmes qui allaitent (pas toutes) voudraient recevoir un trophé pour leur bonne action, la tape dans le dos qui dit:''Bravo!!! Tu es tellement bonne de continuer!!!''. Un trophée, non. Mais si tu fais référence au badge défi-allaitement dont on a parlé plus tôt, c'est pour démontrer que les femmes qui allaitent ont besoin d'encouragement au début car c'est une expérience nouvelle qui demande de l'apprentissage. Ça ne fait jamais de tort une tape dans le dos quand on manque de confiance en soi, de savoir qu'on est supportée dans notre choix (peu importe le choix, d'ailleurs). Ce n'est pas une question de dire "bravo, tu es meilleure que l'autre qui n'a pas allaité", mais juste d'être épaulée dans notre désir de continuer. En tout cas, j'aime mieux recevoir cette tape dans le dos qu'une claque dans la face du genre "t'es donc bien maso d'endurer ça" ou bien "tu nuis à ton bébé en l'allaitant encore". |
marieeve1982Inscrit le : |
CaroCarl a écrit Déjà au départ, ce n'est pas facile d'être une maman, pourquoi ne pas s'entraider au lieu de nous ''bitcher'' et de nous critiquer? Je crois justement que dans ce débat, il n'en est rien ! Beaucoup de compréhension des deux côtés... Ça évolue !! |
Marie-LiliInscrit le : |
La louve a écrit Est-ce que ça fait de moi une meilleure mère que si j'avais arrêté? Pas du tout, ça prouve seulement que, pour moi, devoir laver des biberons, courir pour acheter le lait, faire patienter bébé pour son biberon, traîner une réserve dans le sac à couche, devoir voir accès à un micro-onde ou de l'eau très chaude pour faire chauffer le biberon, etc. étaient des contraintes auxquelles je n'étais pas prête à me plier et m'apparaissaient plus exigentes, plus fatigantes que les défis auxquels je faisais face. C'est justement ce qui contribuait à faire taire ma petite voix qui me disait de laisser tomber...Je n'avais tellement pas envie de m'embarquer dans tout cela! J'avais l'impression que ça m'aurait épuisée davantage. Mais ça, c'est moi; pour une autre le passage au biberon peut s'avérer une libération. |
CaroCarlInscrit le : |
Vous avez toutes ''les'' bonnes réponses aux questions initiales . Je crois que les femmes (pas toutes) qui décident de donner le bibron devraient arrêter de se sentir persécuter par celles qui décident d'allaiter. Et des fois, j'ai l'impression que certaines femmes qui allaitent (pas toutes) voudraient recevoir un trophé pour leur bonne action, la tape dans le dos qui dit:''Bravo!!! Tu es tellement bonne de continuer!!!''.
En principe, la nature à fait en sorte que le corps de la femme pouvait nourrir son enfant. Mais si certaines décident de faire autres choses...ben coudonc! Nous pouvons avoir de la difficulté à comprendre un choix ou l'autre mais pourquoi ne pas vivre en harmonie en respectant le choix de chacunes. Déjà au départ, ce n'est pas facile d'être une maman, pourquoi ne pas s'entraider au lieu de nous ''bitcher'' et de nous critiquer? |
marieeve1982Inscrit le : |
Merci la Louve !! Je crois que tes interventions dans ce débat ont grandement aidé à l'évolution du débat vers l'ouverture sur les biberonneuses et aussi sur celles qui persévèrent dans leur allaitement alors qu'il existe la fameuse phrase: mieux vaut une femme heureuse qui biberonne qu'une femme malheureuse qui allaite.
Ton dernier témoignage illustre très bien pourquoi certaines femmes choisissent de persévérer et pourquoi d'autres non. Et je suis contente que tu illustres que pour certaines femmes; donner le biberon peut être plus compliqué qu'allaiter. Tout est une question de choix, de priorité, de nature profonde... C'est un beau débat les filles |
La louveInscrit le : |
Je suis heureuse de voir que les infos que j'ai apportée ont touchées quelques unes.
Je veux rajouter que chaque allaitement est unique . L'allaitement, c'est un travail d'équipe entre la mère et l'enfant; changer l'un des membres de l'équipe et la dynamique n'est plus la même. Ainsi, les difficultés vécues lors d'un allaitement ne se reproduiront pas fatalement au prochain et le nirvana d'un allaitement facile ne garanti pas la réussite facile à tout coup. Par exemple, mon premier bébé était somnolent, j'ai connu les tétées de 60 minutes où il faut stimuler constamment, devoir réveiller bébé pour le boire aux 4 heures sinon elle espaçait trop les tétées... Mais aucune difficulté, aucun autre défi. Imaginer ma surprise à mon second qui s'est avéré un p'tit glouton qui s'enfile le boire complet en moins de 10 minutes et bois aux 2 heures jour et nuit! Un réflexe d'éjection fort, une production abondante qui nécessite le recours aux couches de coton pour absorber le trop plein pendant les tétées qui se terminent souvent par un changement de vêtements complet pour bébé et maman. Des mastites, une hospitalisation de bébé, les boires aux 2 heures jusqu'à 6 mois, les nuits complètes à 19 mois... Les défis n'ont vraiment pas été les mêmes qu'à ma première expérience. Enfin, la petite dernière... Gerçures importante, tétées rapprochées, portage en peau-à-peau pour régulariser la température de bébé pendant ses premières semaines de vie, mastites, hospitalisation de maman, combat pour obtenir un traitement compatible avec l'allaitement, etc. Fatigue intense mais j'ai poursuivi l'allaitement puisque les tétées me forcaient à m'arrêter, m'assoir ou m'allonger. Est-ce que ça fait de moi une meilleure mère que si j'avais arrêté? Pas du tout, ça prouve seulement que, pour moi, devoir laver des biberons, courir pour acheter le lait, faire patienter bébé pour son biberon, traîner une réserve dans le sac à couche, devoir voir accès à un micro-onde ou de l'eau très chaude pour faire chauffer le biberon, etc. étaient des contraintes auxquelles je n'étais pas prête à me plier et m'apparaissaient plus exigentes, plus fatigantes que les défis auxquels je faisais face. |
van26Inscrit le : |
Je l'avoue, J'ai failli abandonner mon débat...J'ai eu très peur que ca vire mal à un certain moment, mais je suis bien contente du déroulement que je lis ce matin..
La louve , ton message avec des explications, ça je peux tout à fait comprendre... Marie-Lili, je crois que tu as mis le point sur le bobo : je pense que j'avais encore plus peur de mon échec face à l'allaitement que de mon épreuve d'allaitement en tant que tel. Je dois aussi avouer avoir eu un soutien incroyable de la part de mon chum, du médecin spécialisé et de mon entourage, ce qui a grandement aidé la chose...mais quand j'entendais cette damné phrase qui remmettait tout en question...ouf ! Je continuerai de vous lire ce soir si cette belle discussion continue... Bonne journée ! PS : Ma meilleure amie désire avoir une césarienne ( elle n'est pas enceinte encore) et personne ne la convaincra d'allaiter, c'est hors de question pour elle... Une vision diamétralement opposé de la mienne sur ce qu'est l'accouchement et l'allaitement. J'ai de la difficulté à comprendre, mais je la respecte tout comme elle ne m'a jamais traité de folle de persévérer malgré mes difficultés... |
AnonymeInscrit le : |
leoleo: Pas rapport, mais j'ai vu que tu étais un oiseau de nuit comme moi.. Il est 2h30 du matin, et j'ai vue que ton dernier message date de seulement 40 minutes... On peut dire qu'on 'veille' sur le forum MPLV!
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sucre2008Inscrit le : |
Marie-Lili a écrit Sucrerose, je repense à ton idée de camp d'allaitement...Sans aller jusque là, il pourrait y avoir des salles d'allaitement dans les hôpitaux où les mamans qui viennent d'accoucher et qui allaitent pourraient se regrouper pour s'encourager entre elles lors des boires de leurs bébés. Ce serait mieux que de rester isolées chacune dans nos chambres (surtout dans les hôpitaux où il n'y a que des chambres privées) avec l'infirmière comme seul soutien...Des fois, juste d'en parler avec d'autres qui vivent la même chose en même temps, et ce pendant les premiers jours qui sont si déterminants, ça pourrait faire une différence pour certaines. Ca serait GÉNIALE ca! Quoique qu'au prochain, je vais essayer de m'avoir une place en maison de naissance. Mon aventure à Ste-Justine m'a vraiment laissé un gout amer et je ne parle pas juste de l'allaitement. |
lynyInscrit le : |
Bon, je suis pas fine, je sors encore de mon mutisme (grrr, addiction au forum!)
C'est vrai que la discution prend un beau virage. Je lis de belles remarques et de beaux témoignages, dans un sens comme dans l'autre. L'allaitement est quelque chose de tellement complexe, qu'on ne peut pas faire une norme rigide. Mari-Lilli, tu as dit "Des fois, on ne choisit pas le mieux, mais plutôt le moindre mal! Des fois, on ne choisit pas le mieux, mais plutôt le moindre mal! ", et je trouve que ça colle totalement à ma situation. Je n'étais pas heureuse dans l'allaitement, mais je n'étais pas heureuse non plus d'arrêter. J'ai pesé les pour et les contres, j'ai même essayé une relactation (merci gege), mais finalement, je me suis faite à la raison et j'ai arrêté. |
Marie-LiliInscrit le : |
Sucrerose, je repense à ton idée de camp d'allaitement...Sans aller jusque là, il pourrait y avoir des salles d'allaitement dans les hôpitaux où les mamans qui viennent d'accoucher et qui allaitent pourraient se regrouper pour s'encourager entre elles lors des boires de leurs bébés. Ce serait mieux que de rester isolées chacune dans nos chambres (surtout dans les hôpitaux où il n'y a que des chambres privées) avec l'infirmière comme seul soutien...Des fois, juste d'en parler avec d'autres qui vivent la même chose en même temps, et ce pendant les premiers jours qui sont si déterminants, ça pourrait faire une différence pour certaines.
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