Un jour ou l’autre, tout parent accompagne son enfant face à une peur. Les peurs prennent plusieurs formes : petites ou grandes, justifiées ou pas, momentanées, transitionnelles ou de circonstances, toutes les peurs méritent d’être respectées et accompagnées avec bienveillance.
Tous les enfants vivent du stress. Entre l’école, les changements à la maison et la pression du cercle d’amis, pas facile de toujours rester zen. Heureusement, certains objets peuvent aider à passer au travers.
Votre enfant est angoissé et stressé à l’approche d’un examen ou d’une compétition sportive? Se pourrait-il qu’il vive un trop gros stress de performance?
Le documentaire Audrie & Daisy nous parle de deux cas d’agressions sexuelles envers des adolescentes sous l’effet de l’alcool. Ces agressions ont été commises par des garçons qui, tout compte fait, s’en sont bien sortis face à la justice.
Vous allez chercher votre garçon de 5 ans à la maternelle. L’enseignante vous dit à quel point tout se passe bien à l’école. Il est un garçon souriant, serviable et travaillant.
Un enfant sur trois se ronge les ongles, certains dès l’âge de 2 ou 3 ans, mais habituellement c’est autour de l’âge de 8 ans que l’enfant développe cette habitude.
On estime qu’environ 80 % des enfants québécois ont vécu au moins un épisode de violence psychologique en 2012. Quel impact a toute cette violence sur eux?
Il faut trouver les bons mots, choisir le bon moment, les bons exemples... Comment informer votre enfant au sujet des drogues sans l’effrayer ou l’inciter à essayer?
Maman, il fait trop noir, j’ai peur! Les peurs d’enfant ne devraient pas effrayer les parents, sauf si elles deviennent une phobie. Où est la ligne entre les deux et pourquoi la traverse-t-on?
Ce qui la rend souvent difficile à identifier, c'est que l'agresseur n'a pas habituellement recours à la force de ses poings, mais à la séduction, aux menaces et au chantage.
Les catastrophes d'origine naturelle ou humaine peuvent bouleverser les enfants même s'ils ne les voient qu'à la télévision. Voici des manières comment on peut les aider.
En fonction de son âge et de sa maturité, l’enfant doit être mis au courant de la maladie de son parent, et de ce qu’elle signifie ou implique. Avec ses impondérables et ses crises probables, la maladie d’un parent est un fait réel.
Expliquer la mort à un enfant n’est pas une tâche simple. On ne sait pas comment répondre à leurs questions ou quoi faire de leurs silences lourds de questions.
Quand la maladie atteint un enfant, elle concerne toute la famille. Vu son âge, il ne peut pas faire face tout seul à cette expérience. Pour pouvoir s'en sortir psychologiquement, il devra être bien entouré.