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Coccinelle06Inscrit le : Localisation : |
Sohia: Effectivement il a plein de préjugés sur sa.
Personnellement, j'aime travailler, j'en ai besoin, mais avoir le choix je travaillerai qu'a temps partiel, je ne peux me le permettre! mais apres BB2, je vias surement faire que 4 jours semaines! Je suis une personne très indépendante, surotut de mon argent, j'aime pas pensé que mon chum subvient à mes besoins financiers, sa me démange!! Mais pour ceux qui ont ce mode de vie, je comprends que c'est leur choix, et qu'elles sont autant à l'aise de rester à la maison que les mamans qui décident d'aller travailler! |
CarlyInscrit le : |
Euphroisine a écrit Et celles qui vont travailler se font aussi condamner comme quoi "elles font élever leurs enfants par les autres." Quoi que tu fasses, tu te feras toujours critiquer. Quant à moi, tout le monde devrait être libre de faire ce qu'il lui plaît, en autant qu'il ne brime personne. Les autres n'ont qu'à se fermer le clapet ! Ce que je trouve plate dans ton commentaire, c'est qu'il n'est pas question ici de qui se fait comdamner le plus ! La question était simple... comment percevez-vous les mamans à la maison. Carly |
minounicInscrit le : |
Bof..premièrement, je ne crois pas que c'est de se faire vivre par son conjoint...Je viens de tomber maman à la maison il y a 2 semaines...après 4,5 ans d'attente (donc, c plus pour bb2 que bb1!)! J'ai encore un revenu mais ce ne sera plus le cas à partir d'octobre...Voici ce que j'en pense:
mon mari va apporter l'argent...oui. Je ne peux pas le nier. Pourtant, je suis hyper éduqué (bacc en comptabilité) et je pourrais aisément me faire du 40-50 000 $ annuel mais j'y renonce... Parce que, si mon mari apporte l'argent, c'est qu'il nous permets de survivre (payer les comptes, apporter la nourriture dans la maison, etc).. MAIS! Moi, je nous apporte la vie et je nous permets de vivre .. Parce qu'on a vécu l'expérience d'être 2 à travailler à l'extérieur et c'est une course perpétuelle...On ne voyais pas vraiment notre fils la semaine (et on ne travaille pas en faisant du overtime là!) et la fin de semaine..bein, on avait besoin d'une journée pour rattraper le ménage et une journée pour dé-stresser de la semaine qu'on venait de vivre...Donc peu de qualité de vie, peu de vie: que de la survie! Donc, si qqun ose me dire que je me fais vivre, il va se faire répliquer que c'est plutôt ce qui suit: nos choix nous permettent de bien vivre plutôt que de simplement survivre..On forme une équipe tout simplement. Ceci dit, ce n'est quand meme pas sans un pincement au coeur qu'on renonce à mon salaire tout de même intéressant. Dans notre cas, la réflexion a été prise à 2...Les 2 ont voit les raisons pour et contre...Et si moi à la maison ne fonctionne pas mieux, je n'aurais pas le choix: retour au travail. C'est la condition de mon mari: je fais le ménage, les repas et lui a ses soirs et fins de semaines...Il va m'aider mais ce ne doit pas être à temps plein le soir. Si on cours comme avant, je peux oublier être à la maison car on pourra, à la limite, se payer une femme de ménage pour le reste! |
CarlyInscrit le : |
Cath28 a écrit C'est moi qui soulignais, dans le post de Lola, que les femmes qui demeuraient à la maison, conjointe de fait et sans contrat de vie commune (parce que c'est ce dont il était question dans ce post) étaient dépendantes, mais j'insistais sur le financièrement. Parce que tu as beau avoir la main mise sur le salaire de ton conjoint quand tout va pour le mieux entre vous deux, s'il décide un jour ou l'autre de couper les vivres, c'est fini, n'a pu. Ici je ne parlais pas des couples mariés ou de ceux qui ont conclu un accord légal. Donc, si je suis ton raisonnement, la dépendance financière se mesure aux conséquences lors de la rupture ??? Carly |
annamaInscrit le : |
Elle est belle l'histoire de Nasreddine!
Moi je suis d'avis qu'à partir du moment où on s'engage avec quelqu'un on forme une équipe et les décisions se prennent à 2. Bien sûr je trouve les mamans au foyer chanceuses de pouvoir se le permettre, mais les mamans qui ont une carrière passionnante ont tout autant de chance: ce n'est simplement pas la même. Ce qui est dommage, c'est les mamans qui ont un travail qu'elles détestent et qu'elles ne peuvent quitter car elles ont besoin des sous qu'il rapporte. |
EuphroisineInscrit le : |
sohia a écrit Depuis une semaine j'ai reçu trois commentaire de l'entourage comme quoi je suis chanceuse moi de me faire vivre par mon conjoint. J'ai déjà entendu d'une collègue : La blonde à mon frère c'est une profiteuse,elle reste à maison pis se fait vivre.Coudonc ,elle a 2 bras,2 jambes ,qu'elle ait travailler,mettre le ptit à garderie et ramène de l'argent. Et celles qui vont travailler se font aussi condamner comme quoi "elles font élever leurs enfants par les autres." Quoi que tu fasses, tu te feras toujours critiquer. Quant à moi, tout le monde devrait être libre de faire ce qu'il lui plaît, en autant qu'il ne brime personne. Les autres n'ont qu'à se fermer le clapet ! Je l'ai dit, je le répète, il ne faut pas accorder d'importance aux médisances. Et pour s'en convaincre, allons relire l'histoire de Nasreddine : Le fils de Nasreddine avait treize ans. il était même tellement complexé qu'il refusait de sortir de la maison. "Les gens vont se moquer de moi", disait-il sans arrêt. Son père lui répétait toujours qu'il ne faut pas écouter ce que disent les gens parce qu'ils critiquent souvent à tort et à travers, mais le fils ne voulait rien entendre. Nasreddine dit alors à son fils : "Demain, tu viendras avec moi au marché." Fort tôt le matin, il quittèrent la maison. Nasreddine Hodja s'installa sur le dos de l'âne et son fils marcha à côté de lui. A l'entrée de la place du marché, des hommes étaient assis à bavarder. A la vue de Nasreddine et de son fils, ils lâchèrent la bride à leurs langues : "Regardez cet homme, il n'a aucune pitié ! il est bien reposé sur le dos de son âne et il laisse son pauvre fils marcher à pied. Pourtant, il a déjà bien profité de la vie, il pourrait laisser la place aux plus jeunes." Nasreddine dit à son fils : "As-tu bien entendu ? demain tu viendras avec moi au marché !" Le deuxième jour, Nasreddine et son fils firent le contraire de ce qu'ils avaient fait la veille : le fils monta sur le dos de l'âne et Nasreddine marcha à côté de lui. A l'entrée de la place, les mêmes hommes étaient là. Ils s'écrièrent à la vue de Nasreddine et de son fils : "Regardez cet enfant, il n'a aucune éducation, aucune politesse. Il est tranquille sur le dos de l'âne, alors que son père, le pauvre vieux, est obligé de marcher à pied !" Nasreddine dit à son fils : "As-tu bien entendu ? Demain tu viendras avec moi au marché !" Le troisième jour, Nasreddine et son fils sortirent de la maison à pied en tirant l'âne derrière eux, et c'est ainsi qu'ils arrivèrent sur la place. Les hommes se moquèrent d'eux : "Regardez ces deux imbéciles, ils ont un âne et ils n'en profitent même pas. Ils marchent à pied sans savoir que l'âne est fait pour porter des hommes." Nasreddine dit à son fils : "As-tu bien entendu ? Demain tu viendras avec moi au marché !" Le quatrième jour, lorsque Nasreddine et son fils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l'âne. A l'entrée de la place, les hommes laissèrent éclater leur indignation : "Regardez ces deux là, ils n'ont aucune pitié pour cette pauvre bête !" Nasreddine dit à son fils : "As-tu bien entendu ? Demain tu viendras avec moi au marché !" Le cinquième jour, Nasreddine et son fils arrivèrent au marché portant l'âne sur leurs épaules. Les hommes éclatèrent de rire : "Regardez ces deux fous, il faut les enfermer. Ce sont eux qui portent l'âne au lieu de monter sur son dos." Et Nasreddine Hodja dit à son fils : "As-tu bien entendu ? Quoi que tu fasse dans ta vie, les gens trouveront toujours à redire et à critiquer. Il ne faut pas écouter ce que disent les gens." |
sohiaInscrit le : |
Cath28: Je ne voulais pas t'attaquer toi personnellement,dsl si mes propos pouvait paraitre comme ça.Je voulais seulement reprendre une citation. Je crois que comme juliea que c'est une décision de couple. Pour la vulnérabilité ,je suis pas sur,certaine le sont,mais je croit pas toutes.Beaucoup de femme prévoit le coup.Se faire mettre des réer à leur nom, épargne dans sont propre compte,suivre un cours à l'université à distance(empêche le trou de 5 ans sur le c.v),faire du bénévole. |
MarieCharloInscrit le : |
Je pense aussi que tu es chanceuse que vous puissiez vous le permettre. Je suis tout à fait consciente de ce que ça exige rester à la maison et s'occuper d'enfants (faut d'ailleurs en avoir pour comprendre...). C'est un travail, ça demande beaucoup.
Par contre, j'en serais incapable parce que je me sens trop coupée du monde. J'ai trop besoin de parler et de sortir avec des "grands". Mon travail me valorise et je ne me sentirais pas autant moi-même si je n'avais pas mon travail dans ma vie. Et je crois que c'est vrai qu'on est plus "vulnérable" quand on ne travaille pas. Je ne serais pas capable de vivre avec cet aspect... J'aurais peur des années à venir : si mon chum me quitte subitement, je ferais quoi? Si je veux recommencer à travailler, je ferais quoi? Ça me rendrait trop insécure. Ma perception est loin d'être celle de ta collègue. Tu as un rôle et non le moindre, ce n'est pas se pogner le beigne que de rester avec nos enfants! |
julieaInscrit le : |
Si cet arrangement vous convient et que tous les 2 vous y êtes bien, tant mieux! C'est ce qui est important. Travailler à l'extérieur ou non, rapporter un revenu ou non, être marié ou en union libre, l'important c'est que les deux conjoints soient au courant de leurs droits et responsabilités et surtout, que les deux aient choisi cette situation et y soient heureux. Pour le reste, ça ne regarde absolument personne.
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Elise25Inscrit le : |
Je parlerai en mon nom. Je suis à la maison, je n'apporte aucun salaire dans la maison. Mais, c'est moi, la maman, la personne la mieux placée au monde pour faire ca, qui élève nos enfants, et ca, ca vaut bien plus que tout l'or du monde, et mon mari en est plus que conscient. C'est mon opinion.
Ps: Je n'ai jamais dit qu'une femme qui ne reste pas à la maison n'est pas une bonne mère, mon intention n'est pas d'attaquer personne, j'exprime seulement ce qui se passe dans notre maison et les raisons pour lesquelles ca se passe ainsi. |
JaccInscrit le : |
Bon matin Sohia!
Je reponds a ton post en ecrivant que oui tu es chanceuse de pouvoir rester a la maison mais pas dans le sens que "tu te fais vivre par ton conjoint"... dans le sens que vous pouvez vous le permettre! L'energie que demande des enfants et l'entretien d'un logis vaut amplement un travail a l'exterieur... sans le salaire malheureusement (quoi que c'est un choix aussi)! Je ne crois pas que ca rend dependante de rester a la maison mais peut-etre plus "vulnerable"... et encore, si le couple en a bien discute et que les deux sont a l'aise et respectent cette situation, c'est le meilleur des mondes! Je ne me vois pas non plus retourner travailler a l'exterieur pour encore quelques annees, je garderai d'ici quelques semaines des petits coeurs a la maison pour pouvoir rester aupres de mon fils on ne se le cachera pas et aussi pour arrondir le budget. Je sais que je fais le meilleur choix pour nous, pour moi, pour mon fils et pour mon copain. |
CathSeguinInscrit le : |
En plus avec le débat de Lola ,j'ai lu le post,et on dirai que plusieurs croit qu'en restant à la maison ont est dépendante. C'est moi qui soulignais, dans le post de Lola, que les femmes qui demeuraient à la maison, conjointe de fait et sans contrat de vie commune (parce que c'est ce dont il était question dans ce post) étaient dépendantes, mais j'insistais sur le financièrement. Parce que tu as beau avoir la main mise sur le salaire de ton conjoint quand tout va pour le mieux entre vous deux, s'il décide un jour ou l'autre de couper les vivres, c'est fini, n'a pu. Ici je ne parlais pas des couples mariés ou de ceux qui ont conclu un accord légal. Évidemment, dépendante financièrement, ne veut pas dire dépendante affective, sociale ou autre! Les femmes qui demeurent à la maison peuvent faire preuve de beaucoup plus d'indépendance que certaines femmes de carrière. C'est relatif à chaque femme, à chaque couple et à chaque situation. |