Devenir une maman, surtout pour la première fois, est une vraie aventure. La grossesse est de mieux en mieux surveillée, les accouchements de plus en plus médicalisés et tout est fait pour la sécurité de la maman et du bébé.
Est-ce une question d’attitude ou d’attentes trop élevées qui fait en sorte que l’on se retrouve déçue, encore et encore? Martine Jouffroy-Valton fait le tour de la question pour nous.
Il n’y a pas de plus grand amour que celui qu’on porte à nos enfants. Mais de là à dire qu’on est « en amour » avec eux? N’y a-t-il pas une subtilité entre aimer très fort et « être en amour »?
Lorsque l’on a le désir d’avoir un bébé à soi, on rêve de ce bébé qu’on aimera tellement. Or le temps qui passe avant la grossesse rend l’expérience intense et parfois même souffrante.
Le décalage entre les attentes et la réalité est souvent très grand. Il est alors primordial d’être honnête envers nous-même et de reconnaître que nous vivons certaines déceptions ou désillusions.
Marie-Claude Guilbault a lancé le projet Aimons les courbes de la mère, une initiative visant à redonner confiance en soi aux mamans qui ont gardé des traces de leur grossesse…
En cette journée de la femme, donnons-nous le droit d'être une femme super, mais de laisser tomber la super femme qui prend tout sur ses épaules. Petit bilan de Martine Jouffroy-Valton.
L’équilibre entre votre rôle de mère et de femme vous préoccupe? Vous n’êtes pas seule! La notion de l’équilibre au niveau de nos rôles est vécue et perçue de multiples façons!
Une mère sur deux serait touchée par le baby blues, une dépression passagère et légère qui survient après la naissance et qui ne dure pas longtemps. Mais une nouvelle mère sur 10 vivra une dépression majeure qui se doit d’être identifiée comme telle pour que la mère reçoive l’aide appropriée. Voici le témoignage touchant d’une femme qui l’a vécue intensément.
On estime qu’environ une femme sur cinq (20 %) et un homme sur dix (10 %) seront atteints personnellement par la dépression au cours de leur vie. Voyons un peu de quoi il en retourne.
À force de nous demander d’être parfaite, c’est évident que nous échouerons et que nous pèterons la coche une fois de temps en temps! Donc, à bas la perfection!
Avoir deux grossesses en un an, c’est tout un défi! Surtout quand les émotions s’emmêlent et qu’on s’interroge sur la place des deux enfants dans notre cœur. Voici un témoignage touchant.
Nous avons besoin de saisir, avec notre cœur, l’importance de notre rôle, mais aussi de notre être. Il est possible de nous accomplir en respectant nos besoins et nos valeurs.
Les mères d’enfants multiples (jumeaux, triplets ou plus) pourraient courir un risque accru de dépression post-partum que les femmes qui accouchent d’un seul bébé.
L’impatience, la colère et la violence en lien avec la maternité sont un sujet délicat à aborder! Ce sont des états émotifs qui se vivent à des intensités différentes et aucune mère ne veut les vivre.
Dès que nous avons le projet de fonder une famille, les attentes se manifestent! Elles sont nombreuses et parfois inconscientes et surtout elles sont une source de déception!
Certaines mères traversent la période postnatale sans trop de heurts, mais pour d’autres, les difficultés s’avèrent plus importantes. Baby blues, dépression postnatale ou tout simplement des conséquences passagères au manque de sommeil?