L’inflation et l’augmentation du coût de la vie affectent bien des familles québécoises actuellement. Dans ce contexte économique particulier, il est normal que les priorités d’épargne changent pour certains.
En pleine période d’inflation, la gestion des finances familiales s’avère particulièrement stressante, d’autant plus lorsqu’on est séparé ou un parent monoparental et qu’on doit composer avec un seul salaire.
« Maman, est-ce que je peux avoir ce jouet? Tu as de l’argent toi. » Même si votre enfant est encore trop jeune pour recevoir de l’argent de poche, il n’est pas trop tôt pour lui enseigner différents concepts qui entourent l’argent.
Avec l’été qui achève, les parents s’affairent à préparer la rentrée scolaire. Déjà, c’est le moment d’acheter les crayons, les cahiers, les sacs et les vêtements.
Que l’on vive une situation complexe avec son jeune ou une incompréhension avec son enfant, nous, les parents, faisons de notre mieux et c’est bien là, l’essentiel.
Ma fille n’arrive pas à attacher ses lacets. C’est à la deuxième oreille de lapin que ça se gâte : il y a trop de lacets, pas assez de petits doigts ou l’inverse... Bref, on n’y arrive pas.
Le Baromètre de l’épargne-études, vous connaissez? Publiée annuellement, cette étude CROP commanditée par Kaleido permet de prendre le pouls des étudiants et des parents québécois sur une foule d’indicateurs liés aux études et à leur financement.
Même si votre petit porte encore des couches, il est peut-être temps de penser à ses études. Car avec le REEE et l’aide des gouvernements, commencer tôt à économiser, c’est payant!