Les signatures forum sont temporairement désactivées.
Se connecter pour répondre
Auteur | Message |
---|---|
SophiebioInscrit le : |
bbmelie
Encore faudrait il que ce pédiatre soit capable de te dire de quelle type de méningites il parle. Il existe AUSSI des cas de méningites consécutives à l'injection d'autres vaccins qui provoquent des encéphalopathies.. Parce que autant que je sache, la méningite, il y a plusieurs souches, j'ai un peu de mal à croire que TOUS les cas de complications qu'il a rencontrés sont issus de la même souche de la méningite, d'une part, et d'autre part, demande lui de t'apporter la PREUVE que les divers vaccins contre la méningite sont SANS DANGER et qu'ils sont EFFICACES pour tous les enfants à qui on les administre.. Je suis étonnée qu'il n'ait jamais vu de personnes victimes des effets secondaires d'un vaccin dans ces services hospitaliers ( mais en même temps quand cela arrive, le corps médical nie tout bonnement que le vaccin administré quelques jours ou semaines avant puisse avoir le moindre impact sur la pathologie constatée ) . Pour ce qui me concerne, je chercherais dans les statistiques officielles de Santé Canada combien d'enfants par an ont une méningite, combien ont une complication, et combien en meurent ou subissent des séquelles définitives invalidantes avant de me décider à prendre le moindre risque du vaccin (quel qu'il soit) Fais aussi bien ATTENTION à UNE CHOSE, c'est que les ou le vaccin qu'il te propose soit bien un vaccin UNIQUEMENT contre la méningite ( si toutefois tu te décides à faire vacciner ton bébé ) et que le pédiatre ne cherche pas à abuser de ta confiance en en profitant pour vacciner ton bébé contre autre chose, en plus de la méningite à ton insu... Mais à ta place, si ce pédiatre insiste tant que ça, je lui proposerais de me signer une lettre comme quoi, suite à la vaccination, si ton enfant subissait QUOIQUE CE SOIT sur sa santé de majeur, il s'engage à prendre à sa charge tous les frais que cela pourrait occasionner ( comme l'achat d'un fauteuil roulant, le changement de domicile pour avoir un logement accessible aux handicapés, les soins, le changement de véhicule pour pouvoir y entrer le fauteuil roulant et ainsi de suite ) Ce genre de courrier suffit généralement à calmer les ardeurs les plus ferventes de vaccinologues les plus convaincus. |
bbmelieInscrit le : |
coucou!
je viens lire de petits bouts de temps en temps; je n'arrive tout simplement pas à lire vos tonne de références tout simplement alléchantes! hihi, mais j'en ai tout plein en note! J'ai une question; Suite à ma rencontre avec le pédiatre (en passant, on a fini notre débat sur les vaccins lui les bras et jambes croisés en disant 'ok, on ferme la discussion' mais a dit un truc qui me chicote. Il a dit qu'il voit personnellement 2 à 3 cas de méningite à l'hôpital par année et qu'il arrive qu'il y ai des complications. Que dans tous les cas, c'était des enfants en bas âge non vacciné et que s'il n'y a que un seul vaccin qu'il me conseil, un seul, c'est celui-là. Qu'en pensez-vous? J'ai une opinion claire sur les autres, mais celui-là j'avoue me souvenir de rien |
SophiebioInscrit le : |
Question ?
judipo&matteo a écrit Ou aller dans le Sud avec un bb pas vaccine du tout de 15 mois ? Partout, du moment qu'il est allaité et qu'il ne boit JAMAIS là bas d'eau autre que décapsulée.. Je n'irai pas à Haïti, à cause des conditions sanitaires et politiques, mais sinon, j'irai absolument partout. Ce n'est pas parce qu'il n'est pas vacciné qu'il est nécessairement en danger dans un pays du Sud ! |
judipo&matteoInscrit le : |
Ou aller dans le Sud avec un bb pas vaccine du tout de 15 mois ?
|
AnonymeInscrit le : |
Merci Sophiebio!
|
SophiebioInscrit le : |
Le Dr Philippe de Chazournes a été auditionné par l'Assemblée nationale dans le cadre de l'affaire Mediator. Ce qu'il dit sur la manière dont les décisions sont prises à la HAS et les conflits d'intérêt des leaders d'opinion est très intéressant - comme il a été aux avants-postes pour les vaccins anti-HPV, les exemples liés à ce dossier sont nombreux dans son propos.
http://www.atoute.org/video/2011deChazournesassemblee/ diffusé par La Pïqûre de Trop sur Facebook, on en apprend de belles sur le vaccin Gardasil et Cervarix.. et sur le Médiator, bien entendu. |
SophiebioInscrit le : |
la coqueluche
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-la-coqueluche-72972842.html |
SophiebioInscrit le : |
la varicelle et la rubéole ... deux articles de Sylvie SIMON
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-varicelle-72844709.html http://www.sylviesimonrevelations.com/article-semaine-europeenne-de-la-vaccination-la-gravite-de-la-rubeole-72783732.html |
SophiebioInscrit le : |
les oreillons
Les oreillons Toujours dans le cadre de la semaine européenne de la vaccination, le « cri d'alarme » de notre secrétaire d'état à la Santé concernait aussi les oreillons. Et l'Assurance maladie nous prévient : « Si vous êtes vacciné ou que vous avez été infecté par les oreillons, vous êtes durablement protégé durant le reste de votre vie. » C'est faux ! Tout le monde sait à présent que l'immunité vaccinale, en admettant qu'elle existe, n'est pas durable à vie, alors qu'avant l'ère vaccinale, les études démontraient que 80 à 90 % d'adultes étaient naturellement immunisés. La maladie est contagieuse, mais elle est bénigne, et, en général, le malade guérit au bout d'une semaine. La complication la plus connue, mais très rare avant la puberté, est l'orchite chez le garçon, qui peut entraîner dans des cas encore plus rares une stérilité. On a constaté que les fortes couvertures vaccinales n'empêchent pas l'apparition de la maladie, comme aux États-Unis, où il y a eu une épidémie d'oreillons en avril 1989, avec une population vaccinée à 97,6 % (cf. Pediat. Infect. Dis. J. vol. 119 - n° 2 - 1991). En France, de 1983 à 1993, plus le nombre de méningites ourliennes dues à la maladie naturelle a diminué, plus le nombre de méningites ourliennes post-vaccinales a augmenté, et en 1994, elles sont devenues plus nombreuses que les méningites provoquées par la maladie (cf. Supplément au n° 301 de la revue La Santé de l'homme - 1992). Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (n° 16 - 1994) indiquait un cas de méningite aseptique sur 30 500 doses de vaccin vendues, soit 116 cas entre 1991 et 1993. Mais ces chiffres sont bien loin de la réalité car de nombreuses méningites post-vaccinales ne figurent pas dans les recensements, le corps médical refusant de reconnaître le lien de cause à effet. Ces chiffres sont d'autant plus surprenants qu'en 1989 le Japon déclarait un cas de méningite post-vaccinales pour 400 doses, chiffre 76 fois supérieur à celui de la France (cf. The Lancet vol. 341 - 1993 et Pediat. Infect. Dis. J. vol. 10 - 1991). Ce sont les méningites post-vaccinales qui ont poussé les chercheurs et les médecins anglais à instaurer une méthode de surveillance active des effets secondaires induits par le ROR. Rapportée par The Lancet en 1995 (vol. 345 - p.567), la méthode, consiste à pointer avec précision toute admission d'enfant à l'hôpital et à vérifier sa situation vaccinale. L'étude a porté sur tous les enfants de 12 à 24 mois manifestant des effets secondaires de types méningés et admis à l'hôpital dans cinq districts anglais entre octobre 1988 et février 1993. Sur 1 451 enfants manifestant des convulsions fébriles, méningites et purpura thrombopénique, 966 d'entre eux, soit 67 %, avaient présenté ces problèmes tout de suite après avoir été vaccinés contre les oreillons. Au regard des résultats de cette étude, les auteurs mettaient en évidence la sous-estimation du risque neurologique du vaccin par les laboratoires et démontraient que le vaccin anti-ourlien est loin d'être « très sûr et bien toléré ». Cette étude prouve bien que le vaccin est bien plus dangereux que les maladies qu'il est censé éviter, mais qu'il évite bien peu. Ainsi, en 2005, une épidémie d'oreillons est survenue dans un camp de vacances alors que tous les enfants de 10 à 15 ans avaient été vaccinés avec deux doses du vaccin ROR. En avril 2006, une sérieuse épidémie d'oreillons s'est déclarée dans huit états du centre des États-Unis. Ainsi 600 cas ont été répertoriés dans l'Iowa alors qu'il n'y en avait eu que 3 l'année précédente. Le CDC a envoyé des experts pour étudier le rapport entre cette explosion de la maladie et les vaccinations. Dans l'Iowa, 64 % des malades avaient reçu les deux doses du vaccin et 10 % une seule dose. On ne connaît pas le statut vaccinal des autres cas, mais seulement 3 % ont signalé qu'ils n'étaient pas vaccinés (cf. Kristina Herrndobler, Hearst Newspapers). Ce fâcheux « incident » n'a pas empêché le CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l'immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ». On a également remarqué des cas de diabète juvénile apparus après la vaccination contre les oreillons. En outre, nous ignorons tout des conséquences à long terme des vaccinations à virus vivant et des perturbations insidieuses qu'elles peuvent engendrer. Les campagnes de vaccination contre les oreillons ont été lancées sur des bases de données épidémiologiques très incertaines et le vaccin conférant une immunité inférieure à l'immunité naturelle, la vaccination des jeunes enfants entraîne une augmentation des cas à l'âge adulte avec une considérable augmentation des risques de complications, comme c'est le cas pour toutes les valences contenues dans le ROR et tous les vaccins vivants. Ce vaccin, dont l'utilité reste plus que douteuse et les dangers certains, ne devrait en tout cas être administré qu'aux garçons qui ne sont pas immunisés naturellement, puisqu'ils sont les seuls à risquer des séquelles de la maladie. Même lorsqu'ils sont partisans des vaccinations, de nombreux médecins préconisent une vaccination différenciée qui favoriserait une médecine plus individuelle. De toute manière, le seul objectif de nos pouvoirs de « santé » est de « Gagner la bataille de l'opinion et Acquérir un rôle pionnier à l'international ». C'est sur ce thème qu'aura lieu le 4 mai 2011 la troisième rencontre parlementaire sur les vaccins à la Maison de la Chimie à Paris. Les tables rondes devraient répondre aux questions telles que « Comment renforcer l'acceptabilité sociale des vaccins ? » ou « Garantir la confiance du grand public. Quelles mesures opérationnelles ? » ou encore « Pour l'avènement d'une véritable diplomatie sanitaire française », il est évident que l'objectif n'est pas de rechercher et promouvoir la meilleure stratégie de lutte contre des maladies mais de faire accepter des vaccins par la population nationale et même mondiale. Que représente la santé dans ce contexte ? Sylvie Simon Le 11 février 2010, l'agence Associated Press signalait une épidémie d'oreillons dans des communautés juives orthodoxes de New York et du New Jersey. Le premier cas a émergé l'été denier dans un camp de vacances pour garçons dans les Catskills, ils sont montés à 25 pendant les vacances, et ne cessent de se multiplier depuis le retour des enfants dans leurs familles. Ils s'élèvent à présent à 1 521 et représentent la plus importante épidémie aux Etats-Unis depuis 2006, année où l'on avait annoncé 6 600 cas alors que la moyenne annuelle est d'environ 300 cas. Les CDC ont annoncé que la plupart des enfants étaient vaccinés, mais que le vaccin n'est efficace que dans 79 à 95 % des cas, ce qu'on se garde bien de dire au moment de la vaccination. Pour l'instant, aucun signe d'amélioration ne s'est encore manifesté. Kathleen Gallagher, épidémiologiste au CDC, attribue cette épidémie au fait que les familles de Juifs orthodoxes sont nombreuses et que, dans leurs écoles, les enfants sont placés face à face et non en rang dans les salles d'étude. C'est dire la « protection » donnée par le vaccin. Elle ajoute que seulement 75 % des enfants avaient reçu les deux doses recommandées, 25 % n'ayant reçu qu'une dose. Les autorités ont donc préconisé d'injecter une troisième dose, mais cela n'a en rien atténué l'épidémie et 19 personnes ont dû être hospitalisées, ce qui n'arrive pratiquement jamais après la maladie chez ceux qui ne sont pas vaccinés. Devra-t-on injecter une quatrième dose pour « vaincre » l'épidémie ? Comment ose-t-on encore dire que la vaccination « protège » de la maladie ? |
SophiebioInscrit le : |
Semaine de la vaccination ....
On est en pleine semaine en France de la vaccination . A cette occasion, on nous incite plus que largement à faire vacciner nos enfants contre la rougeole et contre le HPV... http://www.babyfrance.com/actus-bebe/201104-vaccins-piqure-de-rappel.html cet article insiste sur le plus grand nombre de cas de la maladie mais ne dit pas le nombre de décès liés à cette maladie ( la rougeole ) voyons voir un peu ce que l'INVS en dit .. http://www.invs.sante.fr/surveillance/rougeole/donnees/donnees_310310.htm deux morts en 2010 si j'ai tout compris, et malgré une grande campagne lancée pour inciter les familles à vacciner, de plus en plus de malades deux morts, et ça justifierait de vacciner tous les enfants de moins de deux ans, alors que le vaccin n'immunise que pour 5 ans ou 10 ans au mieux... depuis que cette vaccination existe, le nombre de cas n'a cessé de croitre, en toute logique, on devrait décider d'arrêter cette vaccination au plus vite ... ! De plus Sylvie Simon qui devait faire une émission en boucle sur le sujet de la rougeole, justement, nous écrit: voici son témoignage . Le moins qu'on puisse dire c'est que les opposants à la vaccination sont muselés.... Liberté de la presse et égalité des chances concernant les vaccins J'avais avertis mes amis que je serais interviewée le vendredi 22 avril sur BFM, chaine de télévision câblée, et que je devais passer en boucle toutes les demi-heures, espérant apporter une contradiction à l'affirmation générale que la rougeole est une maladie mortelle. Or, comme de coutume, mon discours a été tronqué et je ne suis intervenue que 28 secondes exactement, bien que l'enregistrement ait été beaucoup plus long. Le soir, à de meilleures heures d'écoute, ma brève apparition a été supprimée. En revanche, notre secrétaire d'État à la Santé Nora Berra a parlé pendant plusieurs minutes ? l'égalité du temps de parole entre les partis opposés était bien bafouée ? toutes les demi-heures, pour affirmer que la rougeole est une maladie mortelle et appeler la population au « respect du protocole de vaccination », nouvelle formule pour faire croire que le vaccin est obligatoire. Il est évident que mes propos, avec preuves à l'appui, ne pouvaient que la discréditer auprès d'un public lucide. Mon intervention étant préenregistrée, je ne pouvais donc répondre, alors que l'un des intervenant, à court d'arguments valables, m'a tout simplement traitée de folle. Je devrais en être flattée car, selon Eschyle « Sembler fou est le secret des sages ». Pour certains auditeurs, notre porte-parole des laboratoires était sans doute plus crédible que moi, car n'oublions pas que madame Nora Berra a travaillé pour trois laboratoires, dont Sanofi, entre 1999 et 2009. En outre, elle est venue au secours de Jacques Servier en mettant en doute les affirmations du Dr Irène Frachon qui a découvert le scandale du Mediator. Elle a ensuite qualifié les propos de Gérard Bapt, médecin cardiologue député PS de Haute-Garonne, d'« insinuations malveillantes » et de « polémique politicienne stérile », car il évoquait à son sujet un « nouveau conflit d'intérêts ». N'oublions pas non plus que, selon le Canard Enchaîné du 14 juillet 2009, Nora Berra, élue à Lyon et alors salariée du laboratoire Sanofi-Pasteur, a été, du 23 mai au 6 novembre 2008, en arrêt maladie, mais comme elle a continué d'assister aux conseils d'arrondissement et aux conseils municipaux, elle a pu toucher ses indemnités d'élue alors que la Caisse primaire d'Assurance-Maladie de Lyon lui payait chaque mois des indemnités de maladie. Dans cette situation, n'importe qui aurait eu des problèmes avec la Caisse qui aurait demandé la restitution des prestations journalières, mais « après discussion avec le directeur adjoint de la CPAM lyonnaise, un simple courrier d'avertissement a été préconisé ». Et l'on ose encore citer « l'abolition des privilèges », alors que le gouvernement a annoncé sa volonté de lutter contre la fraude sociale, en contrôlant davantage les versements d'indemnités aux salariés en arrêt maladie. Nora Berra a répondu qu'il s'agissait de « dénonciation calomnieuse » et que les indemnités d'élue ne constituent en rien une « activité professionnelle ». Selon son cabinet, « le simple fait de dire qu'elle était en arrêt maladie, c'est déjà ne pas respecter le secret médical ». Comme le disait si bien La Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » Le 20 novembre 2010, le journal Mediapart signalait que Nora Berra annonçait au moins 10 publications scientifiques à son actif : « Des articles finalement assez difficiles à trouver puisque le très honorable moteur de recherche pubmed, réputé pour les repérer, n'en trouve que trois. Un péché par omission qui pourrait bien ne par être le seul ». Tout ceci est bien loin de la « transparence » que réclame son ministre de tutelle Xavier Bertrand. Quant à Françoise Weber, qui dirige l'Institut de veille sanitaire (InVS), et a aussi alarmé la population avec le terrible danger de la rougeole, elle a déclaré que la couverture des nourrissons de moins d'un an est « l'une des meilleures au monde », comme le rapporte le journal Les Échos du 26/04/11. Dans ce cas, comment explique-t-elle que nous détenions le « record d'Europe » pour la prévalence de la rougeole et que la France soit devenue l'un des principaux « exportateurs » de la maladie dans des pays où elle était presque éradiquée ? Ces discours confirment bien l'affirmation du Pr Lévy-Bruhl de l'Institut de veille sanitaire, le 4 février 2009 sur TV5 : « [?] quand tout le monde est vacciné, ceux qui attrapent la maladie sont forcément vaccinés ». Lors de mon interview, j'avais signalé l'étude menée durant trois ans par l'Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande, concernant 18 000 enfants de 0 à 17 ans. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant et ont ainsi constaté que les enfants non vaccinés se portent beaucoup mieux que les autres, ont moitié moins d'allergies neurologiques, moins de scolioses, moins de problèmes de langage et de vue. Il est certain que cette étude, indéniablement scientifique, démentait les propos des partisans des vaccins, elle a donc été censurée. Comme le disait déjà le Dr Albert Schweitzer : « L'opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition. » Et tout le monde écoute et obéit, le doigt sur la couture du pantalon. Sylvie Simon |
SophiebioInscrit le : |
Geneviève
Pour ma part, en ce qui concerne l'injection de vitamine K pour le bébé, du moment que la maman allaite, je suis archicontre. Tout ce qui est nécessaire au bébé est contenu dans le lait maternel sur le plan nutritif. Un autre élément selon moi très important et souvent négligé : lors de la naissance, il est capital de laisser le cordon cesser de battre par lui même, après l'expulsion du bébé, ce qui peut prendre entre 30 minutes et un peu plus d'une heure. Parce que dans le cordon, le bébé fait notamment d'importantes réserves en fer. Il apprend aussi grâce au cordon progressivement à respirer par les poumons, alors que quand on coupe le cordon aussitôt après l'expulsion, on contraint l'enfant à se passer totalement de l'oxygène apporté par le cordon et le placenta in utéro et à passer instantanément à la respiration pulmonaire. Or, le déploiement des poumons à la naissance est une étape importante et capitale mais .. douloureuse. Le bébé ressent une brûlure vive à l'épanouissement des ses propres poumons, lui laisser le cordon quelques temps lui permet de faire un relais plus "soft". Bien entendu dans les cas de tours de cordons autour du cou, il n'est pas question de laisser le cordon continuer de battre puisque le bébé est en danger, je ne parle que des naissances non pathologiques. Pour ce qui est de ta seconde question concernant la question du rhésus, j'avoue que je ne suis pas documentée sur le sujet, il faudrait que je fasse quelques recherches pour te répondre de façon pertinente. |
Genevieve28Inscrit le : |
Merci je vais y remédier et aller lire
Pour le livre merci du renseignement mais je veux l'avis de mamans et je n'ai aps ce livre. |
AnonymeInscrit le : |
Geneviève, regarde bien le lien il y a 2 espaces qui se sont insérés apres le f de faillite , et entre le 4 et le 7 à la fin du lien.
Pour la vitamine K, Isabelle Brabant aborde bien la question dans son livre Une naissance heureuse. |
AnonymeInscrit le : |
Merci pour des explications Sophie !
|
Genevieve28Inscrit le : |
Super interressant....j'ai essayé d'aller sur le lien mais ça marque page introuvable... dommage!
Petite question pour vous les mamans qui ne vaccinnent pas leurs enfants...Que pensez-vous de l'injection de vitamine k donné au bébé dès leur naissance... et de l'injection pour winro pour les mamans qui ont un réshus non compatible avec la papa? |
SophiebioInscrit le : |
Sarah
D'après ce que je comprends, en fait toute vaccination provoque chez certains sujets la fabrication d'anticorps, et chez certains d'entre eux, cela semble permettre de ne pas attraper la maladie pendant quelques temps MAIS cela n'est absolument pas chiffré. C'est à dire que personne ne sait exactement avant de vacciner qui développera le taux d'anticorps adéquat , ni parmi ceux qui auront ce taux d'anticorps, les personnes qui parviendront à être "protégés" même momentanément. En fait, dans la mesure où toute campagne de vaccination de masse n'est pas précédée d'un examen médical approfondit de chaque sujet ni suivi d'un autre examen médical approfondit, c'est vraiment "au petit bonheur la chance", autant pour l'efficacité d'un vaccin et pire encore pour les risques d'effets secondaires, qui sont tout bonnement niés. Parce qu'enfin, les risques de la vaccination sont toujours là, y compris quand elle ne donne pas d'immunité ou quand elle ne permet même pas le développement des fameux anticorps. J'ai lu récemment un livre parlant de l'immunité qui employait une analogie intéressante, à savoir, que le système immunitaire ne se résume pas qu'aux anticorps, contrairement à ce que tous les vaccinalistes font, et que bien d'autres facteurs rentrent en ligne de compte quand une personne se remet correctement d'une maladie. Notamment par exemple, les taux d'anticorps ne se développent qu'une fois que la maladie est résolue , pas avant ou pendant l'infection. Il est donc étrange que les pro vaccinations parlent sans cesse du taux d'anticorps et jamais du reste. L'analogie dans ce livre était de comparer le système immunitaire à une équipe de football dans laquelle les anticorps seraient un des joueurs de l'équipe; imaginons maintenant que lors d'un match, nous supposions que l'équipe A gagnera nécessairement parce que dans son équipe, elle a un joueur Y. Or nous savons tous que dans la réalité, même un seul et excellent joueur ne peut pas prédire de quelle équipe gagnera le match , parce que justement le match est un travail collectif. La question est donc de savoir si les risques de la maladies sont importants au point de risquer les effets secondaires de la vaccination. Pour la rougeole, je dirais aisément NON, c'est une maladie infantile qui fait vraiment progresser les enfants qui l'attrapent, et les cas de complications chez les enfants ne se produisent que bien trop rarement pour que la vaccination vaille la peine. J'irai même plus loin que Sylvie Simon, je suis PERSUADEE que la vaccination contre la rougeole a vu naître des formes de la maladie plus graves qu'avant les campagnes de vaccinations. Cette vaccination est sur souche vivante, ne l'oublions pas... Autrement dit, il est fort possible que vacciner répande la souche la plus virulente parmi la population plutôt qu'elle ne protège qui que ce soit. Je vous reparlerai de mes 3 enfants qui viennent de faire une rougeole récemment... |
AnonymeInscrit le : |
Assez grave cette histoire de la vaccination contre la rougeole.
Par contre, j'aurais besoin d'éclairages. D'un côté on dit que le vaccin n'est pas efficace, qu'un fort pourcentage de ceux qui contractent la rougeole sont vaccinés. De l'autre côté, on dit que la vaccination repousse l'apparition de la maladie à l'âge adulte. Ca voudrait dire qu'elle a effectivement protégé le vacciné durant son enfance ?? Je trouve ca contradictoire et j'aimerais comprendre... |
SophiebioInscrit le : |
La faillite de la vaccination contre la rougeole
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-la-faillite-de-la-vaccination-contre-la-rougeole-72294739.html intéressant ... |
SophiebioInscrit le : |
les vaches vont produire du lait "humain" !
http://chine.aujourdhuilemonde.com/les-vaches-chinoises-vont-produire-du-lait-humain en voilà une dernière qui vient de tomber... si c'est pas n'importe quoi ça encore .. pfffff |
SophiebioInscrit le : |
Exactement Azouellé !
Je suis parfaitement d'accord avec toi. Si je ne prends que cet exemple tellement flagrant du Gardasil, avec Annabelle qui est décédée suite à ce vaccin, mais pour qui la conclusion officielle est qu'elle serait morte pour une raison "inconnue", avec ce genre d'entorses à la réalité sur le terrain, on peut faire dire tout et son contraire aux études. De nombreux chercheurs ont osé parlé et affirment qu'en réalité, les études qui sont retenues ( comprendre " par les labos " et qu'ils mettent largement en avant ) sont toutes favorables aux produits qu'ils vendent. Forcément puisque ce sont EUX MEMES qui financent les programmes de recherche. Une recherche qui concluerait à des choses qu'ils préfèrent que le grand public ignore, ils ne la citent jamais ou alors ils la décrient. On a bien vu ce qu'il s'est passé pour le professeur Wakefield. Alors qu'à la publication , il avait plus de 10 collègues et confrères qui le soutenaient, plus de 10 ans après, soudain , plusieurs de ces mêmes confrères ont étrangement retourné leur veste, Wakefield a du changer de pays pour poursuivre son travail. Et il y a une véritable chasse aux sorcières le concernant. En réalité quand je lis des textes comme ceux de Santé Canada, j'ai l'impression de lire un texte publié par l'Eglise de Scientologie ou par les Témoins de Jéhovah qui affirment des tas de trucs de manière péremptoire et qui considèrent que tous ceux qui pensent différemment sont des hérétiques ou à peu près. Il n'y a pas de place pour le doute ou la contradiction dans leurs propos, c'est comme ça et effectivement comme tu le fais justement remarquer Azouellé, ils ne citent jamais leurs sources, les études sur lesquelles ils s'appuient, il n'y a que très rarement le nom de l'auteur de l'article à la fin et ainsi de suite. Autrement dit, ils ne répondent même pas à leurs critères d'évaluation pour la fiabilité d'un site ! |