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SophiebioInscrit le : |
liste de l'AFSSAPS (77 médicaments sous surveillance )
http://www.afssaps.fr/Activites/Surveillance-des-medicaments/Medicaments-faisant-l-objet-de-suivis-renforces-de-pharmacovigilance/(offset)/1 En fouillant sur le site de l'Affsaps, j'ai découvert ce qu'était le PREVNAR 13 qui remplace le PRENAR 7. Ce nouveau vaccin contient 13 souches ( rien que ça !) et n'est commercialisé que depuis juin 2010. Il n'aura pas mis longtemps à tuer des bébés, celui là ... http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspa20091211_vaccpne13valent.pdf |
SophiebioInscrit le : |
à La louve
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=?cidTexte=JORFTEXT000022839429&dateTexte&oldAction=rechJO&categorieLien=id La législation française a interdit la publicité pour le Gardasil au prétexte que l'efficacité de ce vaccin dans la prévention du cancer n'a pas été démontrée, vu qu'il faudrait avoir entre 15 et 25 ans de recul pour le savoir. On pourrait tout aussi bien interdire la publicité pour le Cervarix pour le même motif, vu que les deux souches contenues dans le Cervarix sont dans le Gardasil... J'espère que tu as vu cette publicité sur la télévision Québécoise ? Le Gardasil est fabriqué par Merck, le Cervarix par Glako Smithe Kline ( un labo anglais ) . C'est sans doute pour des obscures raisons de marché que le Gardasil est majoritairement prescrit et vendu en France, où on ne nous a pratiquement jamais parlé du Cervarix. |
La louveInscrit le : |
Le Gardasil n'est plus seul...
J'ai vu une publicité "choc" hier soir pour le Cervarix. Encore une campagne de peur... |
CalipsoInscrit le : |
Oui, il y a de quoi questionner la sécurité des vaccins combinés...
Le Prevnar m'avait été déconseillé par un pédiatre homéopathe que j'étais allée voir pour une conjonctivite. Depuis ce qu'il m'a expliqué, j'ai décidé que ma grande n'aurait pas de rappel et ma seconde ne l'a jamais reçu. |
SophiebioInscrit le : |
Calipso
Merci bcp pour le lien... très intéressant . Le vaccin DTP est aussi remis en cause, décidément les vaccins ont leur beaux jours derrière eux ! |
CalipsoInscrit le : |
Le Prevnar fait encore parler de lui:
http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/03/07/deux-vaccins-suspendus-au-japon-apres-la-mort-de-quatre-bebes_1489234_3244.html |
SophiebioInscrit le : |
oum sarah
Triste dis tu ? Oui ça l'est pour les familles qui vivent un tel drame. Mais pour ma part, je trouve ça scandaleux, parce que cela ne fait que me confirmer que les effets indésirables graves, VOIRE la mort, suite à des vaccinations, sont tout bonnement balayées sous le tapis, cachées au public, et dissimulées dans les statistiques. ON REFUSE DE RECONNAITRE la responsabilité de n'importe quel vaccin.. quand je vois des cas comme ceux là, et des cas comme Annabelle, je me dis qu'il est grand temps que les patients s'informent et soient extrêmement prudents par rapport à la médecine officielle et tout particulièrement la vaccination. Parce qu'une fois qu'on aura perdu un proche suite à n'importe quel vaccin, il ne nous restera guère que nos yeux pour pleurer. J'avoue que j'ai été stupéfaite dans l'entretien avec Denis Lévesque, que Linda Morin dise qu'elle avait reçu un vaccin récemment. Le dogme vaccinal est si fort que même en ayant sa fille unique décédée des suites d'un vaccin dans les circonstances que l'on sait, sa propre mère ne remet pas en question la vaccination dans son ensemble, c'est dire si le mythe à la peau dure ! |
AnonymeInscrit le : |
vraiment triste cette histoire
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SophiebioInscrit le : |
Mineurs et vaccinés ... du nouveau à propos du Prevnar
Un excellent texte d'une maman Belge. http://www.sylviesimonrevelations.com/article-vaccination-des-petits-68656557.html à propos des deux bébés décédés suite au Prevnar en France récemment... les circonstances des décès permettent de penser que le vaccin est largement en cause. ( même si les autorités de santé nous affirment haut et fort le contraire ) Lisez les circonstances plus détaillées ci dessous: DEUX NOUVELLES VICTIMES D'UN VACCIN « Terrible coïncidence ou erreurs médicales : 2 nourrissons décèdent après un séjour aux urgences de l'hôpital » annonce FR3.fr Midi-Pyrénées. Entre le 24 et le 25 février, deux enfants de 3 mois et demi et 9 mois et demi sont morts quelques jours après avoir reçu le Prevenar®, vaccin contre le pneumocoque recommandé pour les bébés, mais sous surveillance renforcée de pharmacovigilance. Cependant, « les autorités sanitaires affirment que leur décès n'a aucun lien avec leur récente vaccination ». C'est évident et coutumier. Combien faudra-t-il de morts pour ébranler le dogme ? Le 2 mars 2011, FR3.fr annonçait la mort dramatique d'un bébé de 9 mois et demi au service des urgences de Montauban. Le drame a débuté le 22 février, lorsque la maman d'Adryen Magne s'est rendue chez un pédiatre pour faire vacciner son fils. Elle lui a indiqué qu'il toussait un peu, ce qui n'a pas entrainé un refus du pédiatre de le vacciner, alors que tout médecin sérieux ne vaccine jamais un enfant qui n'est pas en parfaite forme physique. Le soir, le petit Adryen a fait une poussée de fièvre. La maman, inquiète, a alors téléphoné au médecin régulateur du Samu qui lui a expliqué que c'était très certainement la conséquence du vaccin, lui a prescrit un médicament pour faire tomber la fièvre et conseillé de voir le médecin de famille le lendemain matin. Adryen n'avait aucun antécédent de santé. Le lendemain, 23 février, le médecin de famille diagnostiqua une laryngite sans fièvre, rédigea une ordonnance en conséquence, et renvoya l'enfant chez lui. En fin de journée, le 24 février, les parents conduisirent leur enfant, toujours pris de violents vomissements, aux urgences de l'hôpital de Montauban vers 22h. Le médecin de garde diagnostiqua alors une gastro-entérite, libella une nouvelle ordonnance, puis Adryen et ses parents regagnèrent alors leur domicile. Mais l'état de l'enfant s'est brusquement aggravé, au point que les parents qui s'étaient relayés à ses côtés décidèrent, à quatre heures du matin, de le ramener aux urgences du centre hospitalier. Adryen a alors été victime d'un arrêt cardiaque et décéda brusquement. Les médecins ont longuement tenté de le réanimer, en vain. Une autopsie a été pratiquée et une enquête judiciaire est en cours puisque les parents, Virginie et Vincent Magne, ont porté plainte pour homicide involontaire. Le directeur et le responsable des urgences de l'hôpital de Montauban ne s'expliquent pas ce qui a pu arriver et souhaitent faire toute la lumière sur cet événement dramatique. Les premiers éléments recueillis donneraient à penser qu'une gastro-entérite, ou une invagination intestinale aiguë pourrait être à l'origine du décès du petit Adryen. Personne n'a pensé une seconde que le vaccin pouvait être le déclencheur de ce problème intestinal. Un détail devrait soulever l'attention des parents horrifiés et des médecins soupçonnés, surement à tort excepté le pédiatre qui a vacciné un enfant fatigué, d'avoir été négligents. Le 24 février, quelques heures avant le décès d'Adryen, Layana, un bébé de trois mois et demi, mourrait à l'hôpital Purpan de Toulouse, après avoir été, elle aussi, vaccinée quelques jours plus tôt à Montauban.? ? Une information judiciaire ouverte contre "x" pour homicide involontaire a été ouverte ce jour par le parquet de Montauban. La famille de Layana a très rapidement fait le rapprochement, après le décès du petit Adryen. Trois jours plus tôt, le 21 février, ce que l'on a coutume d'appeler « le second vaccin » a été administré au bébé. Pour éviter une poussée de fièvre, on a administré des cachets au nourrisson, mais, dans les heures qui ont suivi, Layana a été prise de vomissements brutaux. Si bien que devant ce phénomène inquiétant, les parents ont décidé d'amener leur bébé au service des urgences du centre hospitalier de Montauban. À son arrivée, Layana a été examinée et placée en observation. Petit à petit, son état s'est dégradé et le bébé semblait manquer d'oxygène. Aussi, le 23 février après-midi, elle a été placée sous oxygène. Le même soir, l'état de santé de Layana s'était encore détérioré, au point que les médecins ont décidé de l'intuber. Puis, vers 23 h 30, on a décidé de la transférer vers le centre hospitalier de Purpan à Toulouse. Le jeudi matin 24, Layana n'allait pas bien du tout, ayant une forte fièvre, avec une tache apparue sur ses poumons, son état était critique et à 15 h 30, Layana décéda d'un arrêt cardiaque. Pour l'instant, sa famille n'accuse personne mais elle veut comprendre ce qui s'est passé exactement. La piste du vaccin a été soulevée mais il faudra attendre, ici aussi, les résultats de l'autopsie pour en savoir un peu plus. le directeur de Montauban a déclaré : « Ce que les deux dossiers ont en commun, c'est qu'il "y a eu un décès, qui est inexpliqué, de deux nourrissons dans la même période, après une dégradation extrêmement rapide de leur état, et sans que les deux équipes hospitalières (de Montauban et Toulouse) ne comprennent ce qui a pu se passer", a-t-il dit.? Il a évoqué avec la plus grande prudence le fait que les enfants ont reçu un vaccin? les jours précédant leur séjour à l'hôpital, et ont vomi. "Cela dit, tous les enfants de France sont vaccinés" et il faut se garder des? conclusions hâtives. » Toutefois, le 3 mars 2011, Romandie News annonçait que « La mort récente de deux nourrissons en Midi-Pyrénées est sans rapport avec le vaccin qui leur a été administré peu avant leur décès, selon les résultats partiels d'une expertise communiqués jeudi par les autorités sanitaires. « Les deux bébés morts la semaine passée à Toulouse et Montauban avaient en commun d'avoir été vaccinés avec du Prevenar, qui sert à immuniser les petits contre des maladies comme les septicémies, les méningites ou les pneumonies bactériémiques », a-t-on appris de sources concordantes. « L'ARS (Agence régionale de santé) de Midi-Pyrénées a alerté l'agence du médicament mercredi soir du fait que la petite fille et le petit garçon avaient tous deux reçu du Prevenar. Il s'agissait d'une mesure de précaution et cela ne préjugeait aucunement d'un lien entre la vaccination et les décès », a indiqué Véronique Bardissa, porte-parole de l'ARS. « Avant même les conclusions de l'agence du médicament, l'ARS a été informée jeudi des résultats partiels d'une autre expertise qui établit qu'il "n'y a aucune relation entre les décès et les vaccinations", a-t-elle dit. » Puisque ce vaccin est « tellement sûr », pourquoi est-il placé sous « surveillance renforcée » ? |
AnonymeInscrit le : |
merci beaucoup Sophiebio
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SophiebioInscrit le : |
à Oum Sarah
En effet le lien ne donnait pas accès à cet article. Le voici. Bébés décédés: aucun lien avec la vaccination TOULOUSE - La mort récente de deux nourrissons en Midi-Pyrénées est sans rapport avec le vaccin qui leur a été administré peu avant leur décès, selon les résultats partiels d'une expertise communiqués jeudi par les autorités sanitaires. Les deux bébés morts la semaine passée à Toulouse et Montauban avaient en commun d'avoir été vaccinés avec du Prevenar, qui sert à immuniser les petits contre des maladies comme les septicémies, les méningites ou les pneumonies bactériémiques, a-t-on appris de sources concordantes. L'Agence régionale de santé (ARS) de Midi-Pyrénées a alerté l'agence du médicament mercredi soir du fait que la petite fille et le petit garçon avaient tous deux reçu du Prevenar. Il s'agissait d'une mesure de précaution et cela ne préjugeait aucunement d'un lien entre la vaccination et les décès, a indiqué Véronique Bardissa, porte-parole de l'ARS. Avant même les conclusions de l'agence du médicament, l'ARS a été informée jeudi des résultats partiels d'une autre expertise qui établit qu'il "n'y a aucune relation entre les décès et les vaccinations", a-t-elle dit. (©AFP / 03 mars 2011 15h44) Ce travail comme tu dis, représente ce que je fais à titre sous marin depuis 18 ans, et que j'ai fait sans faire de bruit tant que mes enfants étaient petits, parce que j'avais peur des représailles en France. Aujourd'hui mes enfants sont plus grands, et informés, ils savent qu'il ne faut à aucun prix accepter aucun vaccin. Mais je veux retransmettre ce que j'ai découvert, pour aider d'autres mamans, au même titre que c'est une maman de mes amies qui m'a donné les éléments pour comprendre tout ça il y a 18 ans. Je lui demandais à elle, à l'époque, quelles étaient ses motivations, et elle me répondait : " si ça peut sauver quelques enfants, c'est toujours ça de pris ". A l'époque pour moi,néophyte pour ne pas dire inculte en informatique, pas d'internet, que des livres... Je suis sur le net seulement depuis 6 ans, et peu à peu j'ai découvert tout ce que je pouvais en faire pour militer contre les vaccins, informer les gens dans le monde entier, et glaner des informations. Je me dis toujours que je ne sais pas par qui je peux être lue, mais que sans que je le sache, les graines sont semées... et qu'elles germent dans d'autres têtes. C'est l'essentiel. |
AnonymeInscrit le : |
finalement ca fonctionne, il y a un espace qui s'était glissé dans l'adresse
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AnonymeInscrit le : |
Sophiebio : Je te lève mon chapeau pour tout ce travail que tu fais.
Je suis intéressée par l'article sur le prevnar mais ton lien ne fonctionne pas... |
SophiebioInscrit le : |
Prevnar ?
http://www.romandie.com/ats/news/110303144458.zf8meq92.asp J'espère qu'on saura un jour la cause alors du décès de ces deux nouveaux nés. Et que ce ne sera pas aussi flou que pour Annabelle, par exemple... Le Prevnar fait partie des 77 médicaments que l'AFASSAPS a publié, ainsi que le Gardasil et le Cervarix, comme étant des médicaments "sous surveillance", suite à l'affaire du Médiator qui secoue la France en ce moment. |
SophiebioInscrit le : |
http://www.alis-france.com/
http://www.infovaccin.fr/ On peut directement dialoguer avec cet avocat à propos de ce que l'on peut faire pour éviter un vaccin http://avocats.fr/space/jean-pierre.joseph J'ai lu de nombreux conseils qu'il donne. En gros la tactique consiste à ne surtout pas dire que l'on ne veut pas de vaccins, mais qu'avant de les accepter, on souhaite être certain qu'ils ne soient pas contre indiqués sur le plan médical et scientifique, en demandant tout un panel d'examens qui sont longs, coûteux et demander le renouvellement de ces examens après toute vaccination pour vérifier que cela n'a pas causé quoique ce soit de dommageable dans l'organisme. Le temps de faire déjà tous les examens préalables, ça prend un certain temps.... et on gagne du temps pour se défendre juridiquement tout en ayant l'air d'être parfaitement discipliné et de vouloir être vacciné. C'est dès l'instant où l'on semble faire preuve de contestation de tout vaccin que l'on est enquiquiné.... POur ma part, j'ai toujours joué la carte officiellement de " je n'accepte que les vaccins obligatoires", parce qu'en france, certains parents ayant été contraints de faire faire des vaccins non obligatoires à leurs enfants ont porté plainte, et que visiblement les soignants ont peur des procédures. La simple évocation de menace suffit le plus souvent à ce qu'on vous fiche la paix. La docteur de Protection Maternelle et Infantile qui m'a téléphoné, outrée que mes enfants n'aient pas reçu le pentacoque, ou que mon pédiatre ne le leur ait pas administré, n'a rien pu dire lorsque je lui ai dit que ces vaccins n'étaient pas obligatoires, et que je faisais suivre mes enfants par un généraliste. Elle m'a rétorqué " Oui mais ce sont des vaccins fortement recommandés" ce à quoi j'ai dit, "possible, mais que je sache, pas obligatoires, alors si je ne veux pas que mes enfants les reçoivent, j'ai le droit de les refuser docteure, non ?" Naturellement, elle a fait son job, en me disant que ce faisant, je prenais des risques etc.... et je n'ai fait que lui rétorquer alors que les vaccins n'étaient pas sans risques non plus, et dans la mesure où ils n'étaient pas obligatoires, je refusais d'endosser les risques des vaccins et que je préférais endosser ceux des maladies. Mais elle n'a rien pu intenter contre moi... Par contre, la batterie que tu décris Azouellé, avec privation de liberté fondamentale, et système type KGB, se met automatiquement en place en France , dès qu'on parle des vaccins obligatoires...là oui, les services sociaux ont quasiment tous les droits.... y compris sur la santé de nos enfants. |
SophiebioInscrit le : |
Juge Ruffo
http://www.resterenvie.com/blogue/?p=701 |
SophiebioInscrit le : |
Azouellé
Je pense que vous devriez vous inspirer du travail exemplaire qu'ont fait des associations de victimes des suites vaccinales en France, où les vaccins sont obligatoires ( DTP seulement à l'heure actuelle, mais c'est grâce à ces associations si d'autres vaccins ne le sont plus/.... variole, tuberculose notamment ) (Association ALIS et LNPLV ) Car je ne vois pas au nom de quoi la DPJ pourrait imposer un quelconque vaccin à un enfant au Québec vu que sur le plan légal, AUCUN vaccin n'est obligatoire chez vous. On peut toujours contre argumenter sur n'importe quel vaccin, en documentant abondamment les cas d'effets indésirables qui ne manquent pas de se produire, pour rejeter un vaccin. Dans le cas de ton amie, son cas m'apparait particulièrement injuste puisqu'une AVC pourrait lui être très dommageable pour sa santé. Je n'ose imaginer ce qu'un vaccin pourrait causer dans un tel organisme. Dans l'urgence peut être peut elle au moins trouver un médecin suffisamment courageux pour lui faire un certificat de contre indication, histoire de gagner du temps. Un autre site qui me semblerait intéressant, c'est celui de Maître Joseph, un avocat français spécialiste des questions de droit concernant la santé, les vaccinations notamment. Il donne quantités de possibilités sur son site pour retarder au moins momentanément un vaccination, histoire d'avoir le temps de préparer un dossier juridique plus consistant. Je me souviens lors de la campagne de vaccination AH1N1, la juge Ruffo avait publiquement pris la parole pour dire combien cette campagne l'avait choquée, et disait qu'elle offrait ses services pour toute personne que Bolduc tenterait d'intimider pour recevoir le vaccin de force... Peut être il serait intéressant de la contacter pour un dossier de cette importance. |
AnonymeInscrit le : |
Au Québec, nous avons EN PRINCIPE le droit de choisir notre médecin et d'en changer, mais en pratique c'est difficile puisqu'on manque de tous les types de médecins, que ce soit les généralistes ou les spécialistes.
Première difficulté; TOUS les spécialistes que l'on veut consulter demande une «prescription» d'un généraliste ou autre médecin pour nous donner un rendez-vous. Je ne peux téléphoner à un endocrinologue par exemple et demander un rendez-vous; je dois passer par un généraliste qui décidera si oui ou non j'ai besoin de ce spécialiste et la secrétaire me demandera la prescription médicale et la raison avant que je ne puisse avant mon rendez-vous. On peut toutefois obtenir un rendez-vous avec un gynéco si on est enceinte mais encore là, ça dépend des disponibilités. Les pédiatres sont habituellement référés par l'hôpital où on accouche. Il se peut qu'il y ait des exceptions mais en général ça fonctionne comme ça. Ensuite, pour ce qui est des menaces, le grand problème c'est les droits ILLIMITÉS qu'a la Direction de la protection de la Jeunesse (DPJ) au Québec; sous des prétextes de protéger les enfants, si une plainte est formulée à DPJ (et cela peut se faire par n'importe qui de façon complètement anonyme), la DPJ doit intervenir...Elle a tous les pouvoirs; inspection du domicile, interroger l'enfant seul sans la présence de ses parents, retirer l'enfant temporairement pour l'«évaluer». Lorsque la DPJ décide qu'il y a négligence, elle fait une demande au tribunal de la jeunesse (retrait de l'enfant de sa famille, suivi obligatoire pendant x temps par une intervenante de la DPJ, traitement médicaux obligatoire dont les vaccins si un médecin décide que c'est dans l'intérêt de l'enfant, etc.) et n'a aucunes obligations légales de donner une copie des preuves qu'elle présente à l'avocat et/ou aux parents!! Ça ne se passe pas toujours comme ça; la DPJ fait aussi de bonnes choses et souvent elle ferme le dossier si les enfants ne sont pas négligés....Sauf que tout parent est dépendant de la personne qui prend en charge le dossier. Et trop souvent ici au Québec, on croit que les «spécialistes» de toutes sortes savent mieux que les parents ce qui est bon pour leurs enfants. Je suis en contact avec une maman dont la fille a fait un accident vasculaire cérébral sévère (à 4 ans) et qui souhaite faire l'école à la maison à sa fille puisque son entrée à l'école (qui est à 5 ans au Québec soit la maternelle) s'est soldé par 3 hospitalisations dû au grand stress que cela cause à sa fille. Son médecin de famille lui a recommandé de la garder à la maison puisqu'elle risque de refaire un autre AVC selon lui. La direction de l'école l'a «dénoncée» de façon anonyme (la directrice lui a dit elle même que c'est elle qui a contacté la DPJ) et la DPJ a décidé que sa fille DOIT aller à l'école, sur la base d'une évaluation du psychologue de l'école (elle ne savait même pas que l'école avait évalué sa fille) et on lui refuse l'accès à cette évaluation. On vient de lui remttre un document qui l'oblige à mettre à jour les vaccins de sa fille et l'oblige à retourner sa fille à l'école d'ici 10 jours. Elle a demandé une garantie écrite qu'ils assumerait la responsabilité en cas d'AVC ce qu'ils refusent...Cela fait 3 avocats qu'elle consulte qui refuse de prendre son «cas» puisqu'ils savent que c'est difficle de se battre avec la DPJ. Voilà donc le problème; les droits des parents sont bien là, mais si on décide de se battre contre le système, on assume le risque de se voir retirer la garde de nos enfants même si au bout du compte on fini par gagner, quels parents accepteraient de voir ses enfants vivre dans des familles d'accueil sans aucuns contacts pendant un an, deux ans voir plus puisque les démarches légales prennent souvent des années? Pendant ce temps, les enfants sont vaccinés et traités selon les décisions de travailleurs sociaux... http://blogue.quebecmetro.com/2009/03/11/protegez-vos-enfants-de-la-dpj/ http://www.sosquebec.com/fr/ Sur ce site gouvernemental, on indique que l'autorité parental peut être retiré aux parents pour «motifs graves» mais que la loi ne précise pas ce qu'est un motif grave... http://www.educaloi.qc.ca/loi/parents/151/ Ici, la loi au Québec sur la protection de la jeunesse; http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/P_34_1/P34_1.html (si le lien ne fonctionne pas tapez «loi sur la protection de la jeunesse au Québec dans google) On y indique que le directeur de la DPJ décide si la sécurité de l'enfant est compromis...Et Aussi qu'il ne pourra être poursuivi pour des actes commis en toute bonne foi dans le cadre de ses fonctions. Alors l'idée c'est d'accumuler le plus d'infos possibles, de conserver des copies des dossiers médicaux de nos enfants et de choisir des médecins qui seront ouverts et flexibles. Dans notre cas, cela fait un an que j'ai demandé à changer d'endocrinologue pour mon fils, et devinez quoi? Il n'y a QUE l'endocrinologue qui peut transférer le dossier à un autre endocrinologue...Elle a acceptée, mais les deux endocrinologues pédiatriques à qui j'ai fait la demande, ont refusé mon fils sous prétexte que son cas est «trop compliqué», après en avoir discuté avec son actuel endocrino...Et devinez encore quoi? Les endocrinologues qui acceptent de nouveaux patients sont TOUS des anciens étudiants de l'endocrinologue actuel! Il n'y a qu'un seul endocrinologue privé au Québec et il refuse aussi le cas de mon fils. Alors voilà pour les droits médicaux au Québec! Pour ma part, je n'hésiterai pas à déménager dans un autre pays (ou province) si je sens que la DPJ veut se mêler de nos affaires! |
SophiebioInscrit le : |
Au fait ....menace ?
Pour ma part, tous ceux dans la profession médicale qui m'ont menacée ont été menacés à leur tour. Je menaçais par exemple, de les dénoncer à leur ordre professionnel pour n'avoir pas obéit à cette règle de base qui est d'avoir le consentement libre et éclairé d'un patient avant de lui prescrire un remède.... ou menacé de plainte pour non assistance à personne en danger, puisqu'ils me faisaient du chantage parce que je disais clairement que je n'allais pas donner le traitement qu'ils me recommandaient, ou ne pas faire ce qu'on ordonnait de faire. Pour la naissance de mon troisième, la doctoresse trouvait ça dément que je veuille accoucher chez moi, par exemple; et elle avait pris la peine de téléphoner devant moi à mon gynéco pour m'intimer l'ordre de venir accoucher dans sa clinique. Je lui ai dit que j'accoucherais où bon me semblerait et ne viendrait dans la clinique que si il y avait des complications. Ce à quoi elle m'a menacée de me refuser à l'admission aux urgences si j'arrivais dans de telles circonstances, et à quoi je lui ai répondu du tac au tac qu'elle n'oublie pas de mentionner son nom sur mon ordonnance, afin que je puisse déposer plainte contre elle si je venais en urgence et qu'elle me refuse, pour non assistance à personne en danger. Elle était pas contente la madame, que j'ose lui tenir tête. Mais je me rappelle lui avoir dit deux choses : 1/Madame, vous oubliez une chose capitale, ce n'est pas VOTRE accouchement, ni celui de MON gynéco, c'est le MIEN. Et j'en ferais ce que je déciderai, ne vous en déplaise. Mettez vous bien ça dans le crâne. 2/Je suppose que votre profession d'anesthésiste vous fait croire que tous les accouchements sont avec complication, puisque quand on vous appelle en salle d'accouchement, c'est qu'il y a un problème... Je me demande à combien d'accouchements non pathologiques vous avez assisté tout au long de votre carrière (sous entendu je suppose que le nombre exact est ZERO) et j'imagine aussi que vous n'avez jamais assisté à un accouchement à domicile avec une sage femme. Vous pensez donc qu'elle arrive les mains dans les poches et qu'elle se contente de dire à la mère "MAIS POUSSEZ BON DIEU" en hurlant; ce n'est pas exactement ça, et vous devriez avoir la curiosité professionnelle de demander à une consoeur sage femme de vous permettre d'assister discrètement à un tel accouchement ( à domicile ) Son teint était rouge frisant l'apoplexie... mais j'ai accouché parfaitement bien chez moi 10 jours plus tard. avec ma sage femme préférée Les médecins n'ont que le pouvoir que nous voulons bien leur laisser.... ils jouent toujours sur la question de la peur pour prendre du pouvoir sur nous ou sur nos enfants. Les menaces, faut savoir les retourner, ça calme en général. Une de mes amies ne va jamais chez un médecin sans témoin, par exemple.... Il y a donc des possibilités de se faire respecter, entendre et surtout soigner comme nous le souhaitons. |
SophiebioInscrit le : |
Azouellé
Je ne sais pas quelles sont vos obligations sur le plan médical vis à vis de vos enfants, au Québec. En France, en principe, nous avons la liberté de choisir notre médecin, quelque soit sa spécialité et à ma grande stupéfaction, je me suis aperçue à la naissance de mon aînée, je n'étais en RIEN obligée de consulter une ou un pédiatre. Je pouvais faire suivre mon bébé et mon enfant par un médecin généraliste. J'ai bien tenté de voir quelques pédiatres, mais j'avoue humblement que tous ceux que j'ai rencontré ne m'ont ni plu, ni convaincue... Je trouvais qu'ils avaient en commun la capacité de manipuler un bébé de façon désagréable voire douloureuse pour le bébé, qu'ils semblaient totalement insensibles aux pleurs du bébé. Quand ma fille aînée avait 8 jours, je suis allée voir un pédiatre proche de chez moi, parce que je croyais que je devais obligatoirement voir un pédiatre. Mais celui ci voulait revoir ma fille moins d'un mois après pour lui faire le BCG.. il ne m'a jamais revue, d'autant plus qu'il a voulu nettoyer le nombril de ma fille ( qui était parfaitement sain et sec... ) avec de l'alcool à 90°C. Je n'ai pas réussi à le persuader que j'allais le faire chez moi ( ce que bien entendu je voulais bien me garder de faire ..) et alors que je me tournais pour commencer à rhabiller ma fille, il prit un grand coton tige qu'il plongea dans un bouteille d'alcool à 90°C et fit l'acte immédiatement : ma fille se mit à hurler et vira à l'écarlate, il me cria qu'elle n'avait pas mal... ce dont je doutais , la voyant devenir violette tant elle criait fort. Par la suite j'ai tenté de rencontrer un pédiatre plus selon mon coeur, et je me suis fiée au livre du docteur Mendelsohn, qui était préfacé par une pédiatre qui se disait homéopathe, Parisienne, le Docteur DELTOMBE. J'avoue que la première visite m'a aussi bien déçue. Elle nous a fait attendre quelques minutes dans la salle d'attente, le temps pour la maman de son patient précédent d'aller acheter le rappel du DTP pour l'injecter à un garçonnet de 12 ans environ. Pour moi, une femme qui avait lu et préface Mendelsohn et qui faisait ça, c'était incohérent ( Mendelsohn parle à propos des vaccins de BOMBE A RETARDEMENT dans le corps de tous ceux à qui on les administre, ça me semblait clair... ) Deltombe voulait à toutes forces que ma fille prenne du fluor et je ne sais quel autre complément alimentaire ( du Zinc il me semble) alors qu'elle n'était qu'au sein. Les médecins homéopathes généralistes que j'ai croisé par la suite m'ont paru bien plus sages, modérés et cohérents par rapport à ce qu'ils préconisaient pour la santé de mes enfants. Ceci étant, pour le Québec, je crois comprendre que malheureusement vous n'avez pas cette liberté de choix de médecin, dans la mesure où vous avez déjà du mal à en avoir ne serait qu'un seul qui vous prenne dans des délais acceptables.... Alors tout dépend j'imagine de où on habite au Québec, je suppose que dans les grandes villes, il y a plus de possibilités que dans les coins plus reculés.. ? Encore que, on ne sait jamais. |