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SophiebioInscrit le : |
Peut on se fier aux études sur les vaccins ?
http://fr.sott.net/articles/show/2293-Peut-on-se-fier-aux-etudes-sur-les-vaccins- |
SophiebioInscrit le : |
probabilités scientifiques
Oursonne, Je comprends que ça te turlupine cette histoire, mais personnellement, je pense qu'elle a pris toutes les précautions d'usage, parce que ce ne sont que des statistiques... Comme d'ailleurs dans de nombreux domaines en médecine. Toutes les femmes sont supposées avoir un cycle de 28 jours,tu en connais beaucoup toi, qui ont pile un cycle de 28 jours ? Et qui ovulent, bien entendu toutes en même temps le 14 jour du cycle. On sait toutes que ce n'est pas exactement ça, que ce n'est qu'une moyenne. Et pareil, nos enfants sont supposés peser un certain poids et mesurer une certaine taille à tel ou tel âge, mais en réalité, sans que cela ne soit inquiétant médicalement parlant, il n'existe quasiment pas d'enfants taillés sur ce modèle type, qui est construit à partir de données statistiques. En statistiques, on considère un échantillon de la population pour en déduire des généralités sur l'ensemble. Plus l'échantillon est important, plus on aura une idée plus exacte de la réalité, mais ça reste un échantillon. Me semble moi que 18 000 sur 82 millions , c'est pas mal plus significatif que 2000 sur 7 milliards. Question d'échelle. Voilà pourquoi je pense que cette femme prend les précautions d'usage dans sa phrase de présentation. Mais figure toi qu'il existe quantité de disciplines où l'on s'inspire ainsi d'un échantillonnage de personnes en choisissant différentes catégories sociaux professionnelles pour en déduire des généralités. Par exemple, les instituts de sondage pour savoir avant les élections qui sera potentiellement élu. Ils n'ont pas des résultats à 100% fiables, mais souvent ils ne se trompent pas. Et normalement, ils sont toujours supposés te dire sur combien de personnes ils ont effectués leurs sondages. En politique, il me semble que souvent, on ne prend que 1000 personnes pour avoir une idée de comment voteront des millions d'électeurs. Mais pas n'importe quelles 1000 personnes. Ceci étant les statistiques ne sont qu'une science, tout comme la médecine, inexacte, on nous donne une estimation, on prend la température, on regarde une tendance. Pour ce qui est de l'incidence des vaccins sur l'état de santé des enfants, je peux t'assurer que de nombreux médecins par exemple, se sont battus pour que l'obligation légale vaccinale du BCG cesse en France, notamment des pédiatres, parce qu'ils observaient chez leurs jeunes patients vaccinés au BCG plus de pathologies respiratoires et plus de pathologies cutanées, sans pour autant que cela les prémunisse de la tuberculose, d'ailleurs. L'OMS ayant décrété que le BCG n'était pas efficace pour se prémunir de la tuberculose, on comprend que le législateur a du finir par céder sur ce terrain là. Moi ce que je trouve intriguant, par exemple, c'est de voir que les pouvoirs publics se démènent pour légiférer pour tenter de supprimer le formaldéhyde dans l'ameublement, parce qu'il est avéré que ce produit est cancérigène même inhalé simplement sur un meuble qui a été peint , vernis en usine des mois avant, mais par contre qu'une liste pareille de vaccins en contiennent sans que cela ne semble affoler les autorités de santé. Si c'est pas bien bon à inhaler, imagine injecté même à faible dose, ce que ça peut donner.... Ce que je trouve intriguant par exemple, c'est de voir que Santé Canada se décarcasse pour que l'on supprime le thimérosal dans les vaccins, parce que, d'après eux, en cas de vaccination de masse, ça pourrait nuire à l'environnement tout ce mercure, mais que, par contre, ils affirment haut et fort que pour la santé des personnes à qui on l'injecte dans un vaccin, ça n'a aucune incidence. Voyons donc, si ça pollue dans les rivières, pour les animaux etc.... que cela peut il bien faire dans un organisme et sur un système immunitaire d'un nouveau né ou d'un nourrisson ? Lis si tu en as la patience ce long débat, que j'ai eu l'an dernier avec probablement un ponte scientifique à propos du thimérosal. http://www.resterenvie.com/blogue/?p=574 Et puis, des témoignages, encore des témoignages... http://www.resterenvie.com/blogue/?p=702 |
AnonymeInscrit le : |
Je repense au vidéo et... pas sur... On ne voit pas le début, pas la fin. Et j'accroche vraiment sur son "Il y a une grande probabilité pour que les résultats soient scientifiquement correct" Dans ma tête probabilité et scientifique ne vont pas ensemble... Mais je sais que ce n'est qu'un seul vidéo... |
AnonymeInscrit le : |
Oui comme la cigarette... GSK a fait un essai avec environ 2000 cobayes Je ne trouve pas ça mieux non plus |
SophiebioInscrit le : |
18 000 enfants ?
Je pense que c'est assez significatif.. Songe un peu qu'avant de diffuser le vaccin Pandemrix sur toute la planète, GSK a fait un essai avec environ 2000 cobayes. Et c'est de cet essai qu'ils nous ont sorti les chiffres statistiques des risques d'effets secondaires de ce vaccin. Pour moi, il me semble oui, que 18 000 enfants sur 82 millions d'habitants, c'est significatif. Par contre, ce qui serait aussi intéressant, c'est de voir la totalité des questions posées à propos de ces enfants. Par exemple, sur la fréquence des otites, il serait pertinent de croiser ça avec l'alimentation de ces enfants. Peut être que des facteurs autres que la vaccination peuvent jouer un rôle très important également. |
AnonymeInscrit le : |
Très intéressant !! Merci beaucoup.
Puisque je suis en recherche d'informations et que je veux en apprendre davantage, je vous pose deux questions... Je me demande... 18 000 enfants sur une population de plus de 82 millions...Trouvez-vous que c'est bien représentatif ? Et j'accroche sur le "Il y a une grande probabilité pour que les résultats soient scientifiquement correct". J'aurais aimé savoir pourquoi ils ne le sont pas "nécessairement"... Ceci étant dit, j'aimerais bien croire aux résultats mais... J'ai appris concernant le vue et la scoliose. |
SophiebioInscrit le : |
Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé
http://www.dailymotion.com/video/xgnpiw_les-enfants-non-vaccines-en-meilleure-sante_webcam#from=embed Vidéo à voir.... ça peut être une première sensibilisation à la problématique des vaccins. ( avant Silence on vaccin, qui est plus détaillé, long, précis... ) |
SophiebioInscrit le : |
OU SE TROUVE LE FORMALDEHYDE ?
Le formaldéhyde Au mois de novembre, le Haut Conseil de la Santé Publique publiait son rapport sur le formaldéhyde, substance reconnue comme cancérigène, afin de fixer de nouvelles doses à respecter pour mieux protéger les populations. À leur tour, les médecins de l'Association Santé Environnement France qui trouvent ces recommandations obsolètes viennent de publier un petit guide vert du bio-ménage qui donne quelques conseils simples, tous basés sur des études scientifiques récentes, pour nettoyer en préservant sa santé. « En menant cette étude, notre objectif n'était pas d'être exhaustif mais de montrer que dès la naissance nous sommes plongés dans un bain chimique. En tant que médecins, nous voulions prévenir et sensibiliser au maximum à la protection des plus sensibles. Aussi, il nous semble absurde d'exposer les nourrissons à cette pollution alors que nous pourrions l'éviter », a déclaré le Dr Pierre Souvet, Président de l'ASEF. « Avec cette étude, nous espérons inciter les entreprises à mettre sur le marché des produits moins polluants, mais aussi inciter les décideurs politiques à rendre obligatoire l'étiquetage des matériaux d'ameublement afin que le consommateur puisse réellement choisir. En attendant, nous conseillons aux parents de mettre le lit à « dégazer » dans le garage quelques mois avant l'arrivée de bébé... L'objectif étant que demain nous ne regrettions pas nos actes d'aujourd'hui », ajoutait le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l'ASEF. Toutes ces déclarations sont arrivées avant les fêtes de Noël, au moment où les parents achetaient des cadeaux qui pouvaient contenir du formaldéhyde, afin de les mettre en garde contre ce produit. Le formaldéhyde, ou formol, est sans doute l'un des composés chimiques le plus commun et le plus polluant de l'atmosphère de nos habitations. C'est en effet une substance largement utilisée par l'industrie pour fabriquer les matériaux de construction ainsi que différents équipements de la maison. On le trouve également dans de nombreux produits d'entretien, des produits de combustion et des produits cosmétiques et pharmaceutiques . Ses effets sur la santé peuvent aller d'une simple irritation des yeux et de la muqueuse nasale à de sévères réactions allergiques. Mais surtout, depuis juin 2004, il est classé par le Centre international de recherche sur le cancer (CICR) dans la catégorie des cancérogènes pour l'homme (groupe 2 A) avec un risque plus élevé de cancer des sinus, de la gorge et des voies respiratoires, et un cancérogène établi du rhinopharynx pour les personnes ayant travaillé avec le formaldéhyde pendant plusieurs années. Ce poison est impliqué dans des leucémies, cancer du cerveau, du colon, des organes lymphatiques. Il est toxique pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. À ce sujet, dès 1981, le directeur de OSHA (Occupational Safety and Health Administration), le Dr. Peter Infante a signalé que le formaldéhyde avait un pouvoir carcinogène, mais l'Administration a essayé de cacher cette nouvelle et de faire démissionner le Dr Infante, qui écrivit alors au Dr. John Higginson, directeur de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer, pour désapprouver la décision de cacher la nature carcinogène de la substance. Signalons que le Dr Infante, spécialiste de l'évaluation des substances toxiques travaille également pour l'IARC (International Agency for Research on Cancer), le National Cancer Institute (NCI) et fait partie du Comité de Toxicologie de la National Academy of Sciences. Il est ainsi utile d'avoir dénoncé ses dangers, mais parmi toutes ces mises en garde, on s'est bien gardé de nous avertir qu'il est aussi utilisé pour désactiver des toxines bactériennes ou des virus dans le processus de fabrication de certains vaccins, tels le Pentavac, le Tétravac, le DTP de Pasteur, le vaccin H1N1, l'Imovax, l'Havrix, le Vaxigrip, le Mutagrip, et bien d'autres. Il est évident que si le formaldéhyde est dangereux et carcinogène dans notre environnement, il l'est encore davantage lorsqu'on l'injecte directement dans le corps humain, particulièrement dans celui des bébés dès l'âge de deux mois, quand ce n'est pas à leur naissance. Il est primordial de faire circuler cette information qui semble n'intéresser personne, même pas ceux qui dénoncent les dangers de ce toxique, car le domaine des vaccins, de leur sécurité et de leur nécessité est un dogme intouchable. Il est grand temps de prévenir les consommateurs de vaccins qu'il est plus dangereux de se faire injecter ce poison dans le corps que d'en avoir dans les matériaux de construction ou les meubles. Sylvie Simon TOUS CES VACCINS CONTIENNENT DU FORMALDEHYDE : Agrippal (grippe) Avaxim (hépatite A) Celvapan (grippe A-H1N1 2009) DTPolio Sanofi Pasteur MSD (diphtérie, tétanos, poliomyélite) Focetria (grippe A-H1N1 2009) Fluarix (grippe) Fluvirine (grippe) Gripguard (grippe) Immugrip (grippe) Imovax Polio (poliomyélite) Infanrixtetra (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche) Infanrixquinta (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, hiB) Influvac (grippe) Mutagrip (grippe) Pandemrix (grippe A-H1N1 2009) Pentavac (coqueluche, diphtérie, tétanos, poliomyélite, hiB) Previgrip (grippe) Revaxis (diphtérie, tétanos, poliomyélite) Tetagrip (grippe) Tetravac-Acellulaire (coqueluche, diphtérie, tétanos, poliomyélite) Ticovac (méningo-encéphalite à tiques) Tyavax (hépatite A, typhoïde) Vaccin Genhevac B Pasteur (hépatite B) Vaxigrip (grippe) |
SophiebioInscrit le : |
Des médicaments et .... plusieurs vaccins pointés du doigt.
L'affaire du Médiator, comme la grippe AH1N1, pourrait servir à dévoiler bien des choses, en somme. Parmi cette longue liste, figurent plusieurs vaccins... dont le Prevnar, le Gardasil, le Cervarix. Allez y, faites votre marché parmi ces 59 médicaments sous surveillance ! http://www.resterenvie.com/blogue/?p=1498#comment-7880 |
SophiebioInscrit le : |
à propos du vaccin contre l'alcoolisme...
D'autres vaccins sont en projet, tout aussi farfelus ou délirants que celui prétendument contre l'alcoolisme. Lisez donc ce commentaire de Lina Moreco, en réponse à un article paru dans le Devoir il y a plus d'un an, article plus que critique sur son documentaire. Elle a le mérite de poser les bonnes questions. http://www.ledevoir.com/societe/sante/232179/silence-on-vaccine-la-vaccination-peut-elle-etre-dangereuse Silence, on vaccine Cet article vient tout simplement confirmer ce qui est dénoncé dans le film SILENCE, ON VACCINE soit ; « Il n'existe pas de lieux de paroles pour les vicitmes de la vacination .» On préfère à l'inverse laisser la parole aux organismes de santé publique qui ont tout intérêt à ne pas laisser transparaître les bavures. Alors, pour ceux qui affirment que le film SILENCE, ON VACCINE est un film dangereux, une atteinte à la vaccination, je réponds ceci ; Ce qui est actuellement une atteinte à la vaccination c'est la position : « tête dans la sable » des agences de santé pubique, ? c'est le mépris de biens des médecins devant les familles et les adultes qui développent des malaises graves dans les heures ou les jours qui ont suivi la vaccination ? c'est l'inexistence de protocoles de soins pour les personnes souffrant de réactions post-vaccinales. Dans ces conditions, les experts en santé publique font la vie dure aux vicitmes de la vaccination en répétant sans cesse cette maxime; « il n'existe pas de preuve scientifique établissant hors de tout doute une relation de cause à effet entre la vaccination et les maladies dont les personnes sont affligées». Conséquemment, pour établir le lien de causalité, les personnes malades doivent s'armer d'un avocat, étaler leur histoire en justice, confronter les experts de l'industrie pharmaceutique et du gouvernement et prouver à tous ceux là, que le vaccin a détérioré leur santé. C'est chaque fois le combat entre David et Goliath dont les médias parlent peu. Des procès qui coûtent très cher aux contribuables et aux victimes elles-mêmes. Mais ça non plus, on n'en parle pas. Et pourtant, si des populations entières doivent profiter des bénéfices de la vaccination, n'est-il pas essentiel que la société protège et porte secours à ces victimes qui incarnent l'inévitable pourcentage de risque en principe assumé? Est-il acceptable de continuer à les abandonner sans recherche adéquate, sans recours médical et sans soutien social? Est-il normal que le principe de responsabilité disparaisse quand vient le temps de reconnaître qu'une pratique médicale blesse au lieu de protéger? Ces questions sont essentielles car plusieurs vaccins sont actuellement en développement dans divers laboratoires, entres autres ceux contre contre le sida, le cancer du sein le cancer de la prostate, le cancer du côlon, la leucémie, les mélanomes, la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaques, le diabète, l'asthme, la zona, l'obésité, le tabagisme, la dépendance à la cocaïne, l'hypertension, la grippe aviaire, la dengue, l'infection des oreilles, les caries, les ulcères, la chlamydia, etc. Nous pouvons prévoir que dans un avenir rapproché, les enfants recevront autour d'une centaine de doses de virus vaccinaux et que les adultes pourraient en recevoir tout autant au cours de leur vie . Cet amoncellement de nouveaux vaccins posent une autre question essentielle : Les enfants de demain devront-ils tendrent le bras toute leur vie pour s'immuniser contre les maladies ? Deviendront-ils les esclaves d'une industrie pour survivre ou pour vivre tout simplement ? Tout cela bien évidemment reste sans réponse, puisqu'il n'y a pas de place au débat social en ce domaine de peur de nuire à la vaccination. Lina B. Moreco Le seul vaccin pour lequel ils n'ont pas lancé encore de programme de recherche, c'est celui contre la connerie, parce que il y en aurait des quantités à vacciner, ça, ça pourrait faire un marché florissant A y bien réfléchir, il faudrait aussi un vaccin contre la cupidité.... |
SophiebioInscrit le : |
à Crystalle
Pour ta soeur ( je crois ?) qui a ce problème d'épilepsie, elle peut toujours tenter sur une période un régime sans gluten , sans caséine et sans lactose. Certes c'est drastique, parce que si tu veux en avoir réellement des effets, il ne faut pas se permettre un seul écart, mais je dirais que sur une période de quelques semaines, et surtout si cela permet d'améliorer considérablement sa santé, peut être que ça vaut le coup. Question déjà de savoir si elle , elle se sent de tenter l'expérience. Je dirais que au moins, elle ne risque rien en faisant ça. Il faut supprimer tous les produits laitiers ( même chèvre et brebis) et toutes les sources de gluten. ( blé, épeautre, kamut, seigle, avoine, orge ) . Il reste comme céréales possibles riz, millet, quinoa, sarrazin, amaranthe, et elle peut aussi consommer des farines de lupin, pois chiche, châtaigne, lentilles etc.. En fait, la suppression du gluten est plus drastique, parce que cela suppose tout simplement de ne plus consommer de produits que l'on ne cuisine pas soi même, plus de pain, pizzas, gâteaux, et d'une manière générale, cela veut dire de se méfier de tous les produits transformés. Tu peux retrouver des traces de gluten ou de lait dans une multitudes de produits ( saucisson, chocolat, glaces, sauces, etc... ) . A faire ce régime, autant le faire à fond, parce que de simples très petites quantités de ces produits peuvent mettre en échec le résultat. Je pense à ça, parce que la maman de l'enfant autiste mentionne que certains parents ont constaté que leur enfant autiste avait eu une très sensible amélioration de sa qualité de vie et de santé en suivant ce régime à la lettre. Il va sans dire que le premier achat à faire quand on décide une telle chose est un livre de cuisine avec des recettes sans gluten pour apprendre à faire du pain sans gluten, des pâtes à tarte ou à pizza, des gâteaux et biscuits etc... Personnellement, j'avais supprimé les laitages depuis longtemps dans mon alimentation, et c'est à la suite d'une consultation chez un ostéopathe pour ma fille qui se plaignait de douleurs dans le dos, qui m'a suggéré de tester le régime sans gluten. Ma fille a senti très rapidement la différence mais ce qui m'a le plus étonnée dans cette expérience, c'est que, pour simplifier la vie de ma fille et de la famille, j'ai également mis tout le monde au régime sans gluten ( moi compris ) Or, six mois ont passé ainsi, et un jour, alors que j'étais invitée, j'ai mangé un peu de pain. Ma surprise a été de constater quel effet cela avait pour moi. Depuis je poursuis pas de manière hyper stricte, mais disons le plus que je peux le régime sans gluten. Franchement, ça fait une différence au niveau intestinal qui me fait dire que cela peut bien jouer un rôle dans de nombreuses pathologies. |
crystalleInscrit le : |
Merci les filles pour les réponses je trouve la coïncidence vraiment bizarre! Je vais essayer de pousser mais bon même s'il n'y a rien à faire dans son cas c'est le fun de pouvoir mettre un doigt sur un peut-être coupable!
Vaccin contre l'alcoolisme: Ok là vraiment ca frôle le ridicule! |
AnonymeInscrit le : |
Vaccin contre l'alcoolisme???
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AnonymeInscrit le : |
Merci beaucoup Yin & Yan
Sur cyberpresse cette semaine; -on veut créer un vaccin contre l'alcoolisme!!! http://www.cyberpresse.ca/sciences/genetique/201101/07/01-4357935-des-chercheurs-travaillent-a-un-vaccin-contre-lalcoolisme.php |
AnonymeInscrit le : |
très intéressant ! Merci des infos... je ne m'y connais pas encore dans tout ce que tu as écris...
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SophiebioInscrit le : |
Oursonne
J'ai manque de temps la semaine dernière pour répondre à ton questionnement. Mais je pense que le but est ici de s'échanger des informations. Parce que tous les parents n'ont pas exactement le même point de vue, certains refusent tous les vaccins, d'autres refusent certains vaccins, mais pas tous, etc... Donc vu que nous sommes déjà au moins interpellés sur le bienfondé ou non d'une vaccination, il est assez naturel qu'entre nous, nous ayions besoin de nous poser des questions, de faire nos recherches, et de les partager. En passant, je ne sais pas si tu le perçois, mais le ton employé dans le dernier lien que je viens de poster sur un possible rapport entre l'épilepsie et le vaccin contre la coqueluche, me semble très étrange. Pourquoi si ce vaccin n'a aucun rapport avec l'épilepsie ont ils besoin de le préciser ? C'est sans doute que la question s'est posée régulièrement. De plus, ils précisent à la fin de l'article : "De même aucun lien n'a été établi entre diabète et vaccination anti-haemophilus influenzae, ni entre sclérose en plaque et vaccin anti-hépatite B." C'est faux... Au moins une victime en France a réussi à ce que sa sclérose en plaques soit reconnue comme directement liée à l'Engerix , et GSK a été condamné (en appel et après 10 ans de procédure...) à lui verser la petite somme de 396 000?. Je te laisse imaginer le nombre de victimes qui tentent de se battre à propos du vaccin hépatite B pour obtenir une reconnaissance et une indemnisation. http://www.alis-france.com/download/temoignages_hepatiteB02.pdf Tu pourras trouver sur ce site bien des témoignages. ( site d'ALIS http://www.alis-france.com/temoin.php ) cette association a été créée par des victimes des effets secondaires des vaccinations qui se sont rassemblées en france pour tenter d'être mieux entendus. Donc quand je lis "De même aucun lien n'a été établi entre diabète et vaccination anti-haemophilus influenzae, ni entre sclérose en plaque et vaccin anti-hépatite B." je considère que c'est de la désinformation pure et simple.. |
SophiebioInscrit le : |
Crystalle
http://www.epilepsie-france.com/index.php/comprendre/epilepsie-et-vaccination/vaccin-anti-coquelucheux.html Voici un lien que j'ai trouvé qui parle de ce sujet. Apparemment, d'autres personnes ont déjà mentionné des crises d'épilepsie suite au vaccin contre la coqueluche, vu que ce site semble dédié à l'épileptie et qu'un chapitre est consacré au vaccin contre la coqueluche. |
SophiebioInscrit le : |
Crystalle
Franchement je n'en sais rien , faudrait faire des recherches pour savoir. Ce que je sais par contre c'est que le vaccin contre la coqueluche, celui contre l'hépatite et celui contre la grippe ont été reconnus comme neurotoxiques... Alors, cela a t il un lien ou peut il en avoir un avec l'épileptie, je dirais possible. Lis le lien qu'a redonné Yin Yang plus haut, donnant un texte écrit par une maman d'enfant autiste, à propos des conséquences des vaccins. Peut être trouveras tu des pistes. Voici deux textes que je vous propose aujourd'hui : de Sylvie Simon LES SCANDALES SANITAIRES NE FONT QUE SE SUCCÉDER « Aujourd'hui, avec un dossier comme celui de 1961, la thalidomide ne passerait sans doute même pas la phase I du processus de demande d'autorisation de mise sur le marché », a déclaré le Dr Anne Castot, de l'Afssaps ». Ignore-t- elle les scandales récents qui concernent des médicaments qui ont été retirés de la vente après avoir généré de graves effets secondaires et de nombreux décès ? Tous, pourtant, avaient obtenu leur AMM (Autorisation de mise sur le marché), tous les services de santé avaient donné leur garantie qu'ils étaient efficaces et sans danger, mais ils ont tué et personne n'a jamais été considéré comme responsable de ces décès. Bien après le scandale de la thalidomide, le diéthystilb?strol, commercialisé et prescrit à grande échelle sous le nom de Distilbène®, fut employé pour éviter les avortements spontanés. La FDA en interdit l'usage dès 1971, car il pouvait provoquer des cancers de l'utérus chez la mère et des malformations de l'appareil génital de l'enfant, mais en France, on continua à l'administrer pendant six ans supplémentaires, connaissant tous les risques encourus par son utilisation. Et c'est seulement en 1988 qu'on s'est avisé chez nous de faire une étude sur les effets à retardement du Distilbène® pour découvrir ce que les Américains avaient prouvé dix-sept ans plus tôt ! Mais on ne pouvait revenir en arrière, le mal était fait, et en 1992, on apprenait qu'environ 80 000 jeunes Françaises risquaient d'avoir des grossesses difficiles, des malformations de l'utérus, du col utérin ou des trompes, parce que leurs mères avaient pris, vingt ans plus tôt, cet ?strogène de synthèse sur les conseils de leurs médecins, avec la garantie des fabricants. Les problèmes génitaux ainsi que les problèmes de stérilité posés par ces enfants devenus adultes représentent actuellement un authentique problème de santé publique, dont on parle bien peu, et pour cause. Toutefois, ces problème ne sont pas les seuls car, le 9 mai 2006, le journal Le Parisien signalait que « selon un rapport édifiant, le Distilbène® serait aussi à l'origine d'une véritable série de suicides ». En 2006, la justice a demandé une expertise scientifique, car « aucune recherche approfondie n'avait été lancée sur ce sujet ». On peut ainsi voir combien les effets secondaires des médicaments sont décelés avec de gros retards, et que la liste initiale de ces effets est rarement exhaustive et peut être remise en cause à tout moment, même des dizaines d'années plus tard. Certaines victimes ont été dédommagées, mais bien peu encore. Il a fallu plus de 1 000 morts et environ 30 000 handicapés, aveugles ou paralysés, pour attirer l'attention sur la nocivité du clioquinol, responsable d'une grave maladie du système nerveux dénommée SMON (neuropathie myélo- optique subaiguë), qui causa les mêmes dégâts en France, au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, en Allemagne fédérale, au Royaume-Uni, en Italie et au Japon. Depuis les années soixante-dix, le tamoxifène est utilisé comme adjuvant pour prévenir et soigner les tumeurs mammaires, malgré les risques énormes dérivant de ses effets secondaires. Et, vingt ans plus tard, il a été choisi à l'échelle mondiale pour un programme de recherche sur les tumeurs mammaires. Dans de nombreux pays, on a alors sélectionné des femmes en bonne santé mais considérées comme sujets à « hauts risques » du fait de leurs antécédents familiaux. Pendant cinq années consécutives, ces femmes, toutes volontaires, devaient avaler un comprimé de tamoxifène par jour pour démontrer que ce médicament « prévenait » le cancer du sein. Le 8 décembre 1995, le journal Science a révélé qu'après quatre années d'absorption de tamoxifène, un nombre majeur de tumeurs du sein a été constaté chez ces cobayes volontaires en comparaison avec un groupe témoin de femmes également définies comme à « hauts risques » mais qui avalaient seulement des placebos. Au mois de février 1996, un groupe de dix-sept chercheurs réunis sous l'égide de l'OMS publiait des conclusions alarmantes sur le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l'endomètre, muqueuse qui tapisse l'utérus. Quant au Panorama du médecin du 4 mars 1996, il signale que le tamoxifène favoriserait le cancer du sein, c'est-à-dire le type de tumeur dans lequel on le conseille à la fois en traitement et en prévention. Il est non seulement encore sur le marché, mais remboursé à 100 %. Quant au Bactrim®, toujours prescrit dans les infections dues aux germes sensibles, d'après le Sunday Times du 27 février 1994, il serait responsable de plusieurs centaines de morts, mais en France l'information a été ignorée par la plupart des médecins qui continuent à recommander le produit seize ans plus tard. De même le Roaccutane®, prescrit dans les cas d'acné résistant aux médicaments classiques, n'a pas été retiré du marché alors que les spécialistes savent qu'il est hautement tératogène. Le Dr Godfrey Oakly, ancien directeur du CDC d'Atlanta, a déclaré, il y a plusieurs années : « Ce produit a les mêmes conséquences que la Thalidomide ». Mais les malformations provoquées par le Roaccutane® sont encore plus graves et sa prise est déconseillée aux femmes en âge d'enfanter. En outre, il génère de graves troubles psychologiques. Le laboratoire La Roche a nié tout lien de cause à effet dans quatre-vingts cas de suicides parmi les patients soignés avec ce médicament, mais il a accepté d'inscrire le risque de dépression sur la notice du produit vendu aux États-Unis, et uniquement sur celle-là. En France, le Vidal signale quelques effets secondaires bénins (irritations cutanées) et le déconseille seulement pendant le premier trimestre de la grossesse et de l'allaitement. Cependant, la notice d'emploi signale que ce produit nécessite un suivi médical et des examens biologiques réguliers. On peut se demander pourquoi puisque les effets secondaires sont « bénins ». En outre, détail comique, cette notice précise que « le risque de surdosage est quasi inexistant avec Roaccutane® ». Aussi, on ne peut être que surpris lorsqu'on lit que « si les doses prises sont supérieures à celles prescrites, il faut contacter immédiatement le centre antipoison le plus proche ». Heureusement, ce poison est délivré seulement sur ordonnance, ce qui limite sa consommation. En 2001, le Staltor® et le Cholstat®, deux médicaments anti-cholestérol de la famille des Cérivastatines, ont été brusquement retirés du marché. On avance le chiffre de 52 décès causés par ces médicaments et de 1100 personnes présentant de graves atteintes musculaires. On peut s'interroger sur les raisons exactes du retard dans la décision de retrait du marché de ces produits car, plusieurs mois auparavant, les autorités scientifiques et sanitaires de différents pays, la FDA, l'Afssaps, et l'EMEA, Agence Européenne des Médicaments, étaient informées des complications graves survenues après la prise de ces deux médicaments. Je ne parlerai pas longuement du scandale du Vioxx®, qui a été choisi en 2003 comme « médicament de l'année » par plus de 6 000 généralistes dans le cadre du Medec, mais il est bon de le rappeler car nos pouvoirs public semblent l'avoir déjà oublié. Ce médicament considéré comme le médicament le plus « performant » de l'année sur le plan de la santé était tellement performant que moins d'un an plus tard, tandis qu'il était utilisé par environ deux millions de patients dans le monde, il était retiré du marché, car on estimait alors qu'il était responsable d'environ 28 000 attaques cardiaques et décès depuis sa mise en vente en 1999. Un mois plus tard, certains chercheurs estimaient qu'il avait causé le décès de 55 000 personnes. À cette époque, j'ai appris que plusieurs médecins français n'étaient pas avertis de ces décès et estimaient qu'en France, il y avait eu au maximum deux ou trois accidents, ce qui ne motivait pas ce retrait. Évidemment ! Mais l'hécatombe ne s'arrêta pas à ces chiffres car, en janvier 2005, à la suite d'une recherche menée sur la Kaiser Permanente, organisme d'assurance- maladie californien, le Dr David Graham, épidémiologiste à la FDA, a révélé dans le Lancet que le nombre d'accidents cardiaques, attaques ou décès, pourrait s'élever à près de 140 000, rien que dans son pays. Les décès concerneraient 30 à 40 % d'entre eux. Étant donné que 84 millions de personnes, dont 20 millions d'Américains, en ont consommé depuis sa mise sur le marché en 1999, on peut mesurer les risques potentiels liés à cette consommation massive, mais il est très difficile de faire le décompte exact des accidents et la seule certitude est qu'il ne peut qu'augmenter. Tout cela pourrait être imputé à des erreurs involontaires, donc pardonnables, si on n'avait pas appris que le laboratoire avait donné à ses visiteurs médicaux des renseignements mensongers. Les résultats d'un procès qui a eu lieu en 2000 ont bien prouvé la collusion de Merck et de la FDA qui connaissaient l'existence des attaques cardiaques, mais la FDA n'a rien fait pour changer la notice du médicament pendant plus de deux ans, alors que Merck poursuivait la publicité pour son produit le soir à la télévision. En France, à l'époque, l'Afssaps a déclaré que « le risque de complication cardiovasculaire reste cependant faible et n'apparaît qu'à long terme. » Nous constatons ainsi que le décès de dizaines de milliers de personnes est considéré comme « un risque relativement peu élevé ». Ainsi, chez nous, les accidents sont rares et le Vioxx® a perdu sa toxicité en passant les frontières. Nous sommes habitués à ce genre de protection depuis le désastre de Tchernobyl. Jusqu'à combien de morts le risque reste-t- il « faible » ? En outre, en ce qui concerne le long terme, l'Agence s'est voulu rassurante, mais elle n'ignore pas que ce type de médicament est souvent prescrit dans des pathologies chroniques qui peuvent durer plusieurs années. Pour démontrer cette importance, le Dr David Graham, médecin épidémiologiste employé par le Bureau de sécurité des médicaments de la FDA, a comparé le nombre d'accidents qui égale en nombre les dégâts occasionnés par neuf cents avions qui s'écraseraient au rythme de près de quatre par semaine et cela pendant cinq ans. Il est évident que dans ce cas les journaux n'auraient parlé que de ces accidents, alors que la situation sanitaire a été occultée pendant un laps de temps à peu près identique. On conçoit pour quelle raison l'information n'a pas été diffusée plus tôt lorsqu'on apprend que, pour l'année 2003, le Vioxx® a généré à lui seul un chiffre d'affaires de 2,55 milliards de dollars, soit 11 % du chiffre d'affaires de Merck, son fabricant. Or, malgré ses mensonges et manipulations, le laboratoire Merck est toujours considéré comme un partenaire fiable par les instances de santé mondiales qui, non seulement lui achètent le Gardasil® ? n'oublions pas que si le Gardasil® est commercialisé par Sanofi Pasteur MSD, il est fabriqué par Merck ?, mais se fient à ses déclarations d'efficacité et d'innocuité pour vacciner en masse les petites filles de 12 à 14 ans. Pour toute personne « normale » un menteur invétéré restera toujours un menteur, mais les pouvoirs de santé sont très loin de fonctionner « normalement ». Sylvie Simon à propos de l'utilité ou non du dépistage : Très important : Si vous désirez faire circuler cet article, soyez aimable de signaler qu'il est paru dans le journal Nexus numéro 71 de novembre-décembre 2010 et demander à vos correspondants d'en faire autant. Le « dépistage » Tout le monde devrait savoir que l'essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l'escroquerie et que les grandes organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent. Linus PAULING Prix Nobel de chimie 1954 Prix Nobel de la paix 1962 Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d'autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n'éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu'il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures. Mais le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein. À travers les medias, toutes les instances de santé incitent les femmes à faire, chaque année, une mammographie pour éviter ce cancer, mais personne ne signale à toutes celles qui vont se conformer à ces examens qu'ils comportent de nombreux risques. Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l'efficacité de leur pratique en s'appuyant sur l'argument non vérifiable qu'un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait : « Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu'elle n'en dépiste. » D'autres médecins partagent ce point de vue. « Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le National Cancer Institute, et l'American Cancer Society. » Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l'Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l'Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent. Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements. Déjà, en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la Prévention du Cancer, Médaille d'Or de l'Académie de Médecine Albert Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d'articles scientifiques sur le sujet, profitait d'une journée nationale de mammographie organisée le 18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique qui, pour lui, n'a jamais fait la preuve de son utilité. Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n'est pas un vrai cancer, mais qu'en revanche, un cancer sur quatre n'est pas détecté. Les années passées depuis cette époque n'ont pas changé son opinion et, douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article intitulé « Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en pré- ménopause ». « Quoique l'on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d'attraper un cancer. » (cf. le Huffington Post, 2 septembre 2010). En effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l'endroit où furent larguées les bombes atomiques sur le Japon. Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l'effet carcinogène des radiations ». La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d'après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l'une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non- fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement. L'article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ». Le Pr Epstein est loin d'être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués. Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D'après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine. Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n'étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses. Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. » Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l'espoir des cancérologues qui croyaient alors qu'en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu'en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ». Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies. Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n'auraient pas mis la vie de la patiente en danger ». Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d'un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d'Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu'une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l'organisme. Cela n'est pas vraiment un diagnostic précoce ». À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l'un des principaux responsables est l'industrie du cancer elle-même. Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu'il n'existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l'Institut National du Cancer de Toronto, l'ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os. D'après Diana Hunt, diplômé du centre médical d'UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d'une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ». La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l'âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l'âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l'heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads. Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu'aux États-Unis environ 10 000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer. Ces recommandations ont été confirmées par la Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu'à l'âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s'est jointe à ces conseils qui s'appuient sur l'augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances. Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur f?tus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l'âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l'introduction des mammographies, l'incidence d'un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %. Le Dr William John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l'école de médecine de l'université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes. Quelques mois avant sa mort en 2007 à 88 ans, le Dr Gofman a publié une étude de 699 pages sous l'égide du comité For Nuclear Responsibility qui conclue que les effets de ces appareils de détection, combinés avec une mauvaise nourriture, le tabac et l'usage de la pilule, vont causer, aux États-Unis, 100 millions de décès prématurés durant la prochaine décennie. Il considérait que les techniques de détection sont parfois nécessaires, mais uniquement dans certains cas où il était impossible de s'en passer. « Il n'existe pas de dose saine. Un seul atome radioactif peut déclancher une mutation permanente dans des cellules génétiques », et ces accumulations peuvent provoquer un cancer entre 5 et 50 ans plus tard. La prise de ces risques pourrait se comprendre si le bénéfice était certain, ce qui est loin d'être le cas. Ainsi, les chercheurs danois Peter Gøtzsche et Margrethe Nielsen ont découvert que si 2 000 femmes se font régulièrement dépister sur une période de 10 ans, une seule d'entre elles évitera ainsi de mourir d'un cancer du sein. En revanche, parmi ces 2 000 femmes examinées, 10 seront victimes d'un surdiagnostic et ainsi traitées inutilement pour un cancer. Toujours parmi ces 2 000 femmes, 200 subiront inutilement non seulement des biopsies, des opérations et des traitements inutiles, mais aussi de graves répercussions psychologiques. D'autre part, nombre de cancérologues insistent sur le fait que la compression du sein durant l'examen, surtout chez les femmes jeunes, peut permettre à un petit cancer non détectable de se propager. À son tour, le Pr Anthony Miller, qui met en garde les patientes contre le danger des radiations, précise également que des cellules cancéreuses risquent d'être écrasées et répandues dans le sang sous la pression des appareils de détection. Il dénonce également le danger des biopsies. D'énormes sommes investies En Allemagne, le dépistage généralisé ? dont les mammographies ? a été promu cause nationale et le ministère allemand de la Santé a ouvert un site, sur lequel des personnalités du monde du spectacle et de la politique déclarent qu'un diagnostic précoce peut parfois éviter le développement de maladies, comme si ces gens étaient qualifiés pour avoir une idée exacte des bienfaits du diagnostic précoce. Heureusement, tout le monde ne partage pas cette euphorie et le magazine Der Spiegel du 20 avril 2009 fut bien loin d'abonder dans ce sens. « En 2005, les caisses d'assurance maladie ont dépensé pour les dépistages 890 millions d'euros, en 2008, cela leur a coûté 1,2 milliard d'euros. Aucun autre poste de l'ensemble des dépenses maladies, ni même celui des médicaments, ne connaît une progression aussi spectaculaire », a précisé Der Spiegel, qui a publié une analyse remarquable résumant tous les aspects du problème de ce genre de « prévention ». Selon le journaliste Markus Grill, la détection précoce des cancers du sein, de la prostate et du col de l'utérus n'est pas une garantie de préserver la vie, encore moins sa qualité. Pourtant, la population croit encore à ses bienfaits, car selon un sondage, la moitié des personnes interrogées pense que 60 femmes sur 1 000 sont sauvées par le dépistage du cancer du sein et un tiers des personnes interrogées avance même un taux plus élevé, soit 100 à 200 femmes sur 1 000 ! Les chiffres sérieux sont bien différents. « Tous les sondés ignoraient les chiffres réels : une à deux personnes sur 2 000 profiteraient véritablement du dépistage ». Quant aux médecins, ils n'en savent pas plus que la population générale. Et le magazine cite une enquête menée auprès de 160 gynécologues auxquels on a posé la question : « Quelle est la probabilité qu'un résultat positif de la mammographie indique la présence effective d'un cancer du sein ? » « Ils auraient dû répondre ?10 %?, mais la moitié des spécialistes questionnés a répondu : ?90 %? ! Un gynécologue sur 5 connaissait la bonne réponse. » Dans son article « Alarm und Fehlalarm » (Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l'Allemagne, l'une d'elles appartient à un groupement de radiologues. Coût de l'investissement : 400 000 euros, dont 200 000 pour l'appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l'équipement spécialisé génère un chiffre d'affaires de plus d'un million d'euros par an. L'intérêt économique est évident pour les radiologues. » Et il pose la question qui dérange : « Mais l'intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? » Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d'un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l'intérêt financier. » Telle est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l'IQWiG (Institut allemand de la qualité et l'efficacité du système de santé), qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d'une médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non les simples « avis d'experts ». « Pour l'individu lambda, la probabilité d'échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1 000 à 2 000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l'une d'entre elles sera sauvée. » Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l'Institut. Cela n'a rien de surprenant car l'industrie pharmaceutique allemande s'est plainte à maintes reprises du comportement de l'Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché. En outre, Peter Sawicki s'évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n'est pas « médicalement correct ». En Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le reste de l'Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer beaucoup plus souvent que dans d'autres pays. Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d'un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés. Tout ceci nous prouve bien que la réalité médicale n'a rien à voir avec la propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les médias. En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance- maladie. Sous la plume d'Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous prévenait : « Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. » Les syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot s'est réjouie du succès des Capi. On savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu'un médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n'ont pas fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de leur nocivité. Sylvie Simon Article paru dans le journal Nexus numéro 71 de novembre-décembre 2010 |
crystalleInscrit le : |
J'ai une bonne question pour vous!?!
Ma soeur fait des crises d'épilepsie, ces crises ont commencé lorsqu'elle avait 13-14ans, on ne sait pas encore la source de ces crises, les médecins n'arrivent pas à trouver son foyer épileptique. Au québec, le vaccin de la Dcat et donner entre 14 et 16 ans dans les écoles. J'ai entendu dire et j'essais de trouver des renseignements sur le sujet ce soir, que le vaccin de la coqueluche aurait eu comme effets secondaires de créer l'épilepsie chez des personnes ayant recu le vaccin, plus principalement dans les années 70. Avez-vous déjà entendu parler de tout ca!?!? ou c'est vraiment loin d'être la vérité. |
AnonymeInscrit le : |
Tu as raison. Les gens ne veulent pas savoir le pourquoi. Ils se mettent la tête dans le sable et parle toujours du complot pour ne pas parler des vraies raisons. Mais j'ai espoir qu'à force de pression, on en parlera davantage !!
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