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AnonymeInscrit le : |
Oursonne ; je ne comprends pas ton dernier message...Tu dis que ton fils a un système immunitaire plus faible et que tu ne peux le faire vacciner...Tu dis «prendre le risque (de le faire vacciner) serait très risqué pour sa santé». Pourquoi donc dis-tu que ce que ce que dis sophiebio peut-être lourd de conséquences? Tu veux dire le fait de ne pas avoir accès aux vaccins à cause de la condition de ton fils? Veux-tu dire que ton fils est à risque de lourdes conséquences reliées aux maladies qu'il pourrait attraper parce qu'il ne peut être vacciné?
Mon fils a un système immunitaire plus faible (pas directement mais indirectement) et c'est un questionnement constant pour moi la vaccination. Je me demande ce que tu veux dire par là! Pourrais-tu éclairer ma lanterne? J'aimerais bien comprendre ton point de vue! Merci! |
AnonymeInscrit le : |
Alors tant mieux pour le type B SophieBio : C'est moi qui vais s'exprimer différemment. Pour la H1N1 ou tous les autres vaccin, on ne dit pas aux personnes qui ont le nez qui coule, qui sont étourdi ou qui vomissent de se faire vacciner... C'est ça que je veux dire... Je comprends que pour la "grippe" beaucoup de gens ont été "appelés" à se faire vacciner. (problème coeur, poumon, poupon,..) C'était des gens plus à risque de développer des complications à la H1N1. Bref, je crois qu'on dit la même chose... Et pour le vaccin de la H1N1 en particulier, je suis tout à fait d'accord que c'est un vaccin beaucoup trop récent (tout comme celui pour la grippe saisonnière et celui de la varicelle) Tu sais, mon fils a la neutropénie (pour faire ça simple, sur 3 sortes de globules blanc, il en a une en très faible quantité) je ne peux pas ne pas le faire vacciner car il attraperait TOUT et en MÊME TEMPS... Prendre le risque serait très risqué pour sa santé, alors j'ai bien de la misère à lire des choses comme : les personnes souffrant de déficience du système immunitaire ( qui sont à mon sens les personnes qui par excellence ne devraient JAMAIS recevoir AUCUN vaccin ) Tu sais, ça peut être lourd de conséquence... mais je respecte ton point de vue. Encore un gros merci pour ton temps, ton respect et toutes ces informations !! |
GalaInscrit le : |
"ceux pour la méningite de type B ne soient pas commercialisés en France..."
Effectivement. Ça n'en dit long... Si le vaccin était si efficace, c'est clair qu'il l'aurait. |
SophiebioInscrit le : |
à propos de la méningite
http://www.alis-france.com/download/tableau_virus_bacterie.pdf Voici un tableau récapitulatif des vaccins possibles pour les différentes maladies, virus ou bactéries. On y voit également le mode de culture et les composants principaux des différents vaccins. Il existe donc différents type de vaccins contre la méningite, mais il semble que ceux pour la méningite de type B ne soient pas commercialisés en France... http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/meningite/sa_8051_meningite_vaccination.htm Cet article de Doctissimo ne nous parle même pas de la méningite de type B. |
GalaInscrit le : |
En passant Sophiebio, j'ai bien aimé l'entrevue avec les allemands sur l'étude qui a été conduit auprès de 18 milles enfants ! Ce n'est pas rien !
Des données qui devraient être prises au sérieux par nos autorités sanitaires si soucieuse de notre bien-être ! |
SophiebioInscrit le : |
Oursonne a écrit SophieBio : Je crois que lorsqu'on n'a un système plus faible, qu'on est fiévreux, qu'on a des problèmes de santé qui apparaissent, on doit éviter la vaccination. Lorsque tu parles de la H1N1 et qu'on a vacciné des bébés et des personnes âgées c'était destiné pour eux, pour le vaccin du VPH (que je citais en EXEMPLE) on ne le donne pas plus aux bébés qu'aux personnes âgées... Tout dépend du vaccin..... J'ai du mal m'exprimer alors parce que j'ai parfaitement compris ce que tu voulais dire sur le fait que quand on a des problèmes de santé qui apparaissent, on doit éviter la vaccination. J'ai bien compris que tu n'as parlé du vaccin VPH que comme exemple. Je prends justement cet exemple de défaillance flagrante de la pharmacovigilance pour expliquer que l'on constate ce type de défaillances sur tous les vaccins, pas que sur le VPH. Et par contre, quand je te parlais des personnes à qui on a recommandé en priorité le vaccin AH1N1, à savoir les personnes âgées, les personnes souffrant d'insuffisance respiratoire les personnes cardiaques les personnes asthmatiques les femmes enceintes les personnes souffrant de déficience du système immunitaire ( qui sont à mon sens les personnes qui par excellence ne devraient JAMAIS recevoir AUCUN vaccin ) , etc... précisément, je suis entièrement d'accord avec toi, on ne devrait pas pratiquer de vaccination quand on est plus fragile, mais alors .... pour le AH1N1, c'est quoi ces recommandations de vacciner précisément les personnes les plus vulnérables, alors que ce vaccin n'en était encore qu'à un stade expérimental et qu'il n'a obtenu ses AMM dans des conditions tout à fait exceptionnelles ???? Qu'est ce que ça peut bien vouloir dire que de recommander un vaccin dont on ne connait à peu près rien des risques et des effets secondaires probables, à des personnes particulièrement fragiles ?? ça ne t'a pas interpellée ça, toi à l'époque ? Si justement , on repousse une vaccination de routine pour un enfant globalement en bonne santé quand il arrive avec un simple rhume, mais c'est quoi ces conneries de recommander un vaccin à peine testé à des femmes enceintes, des personnes souffrant d'HIV et des asthmatiques!! On marche sur la tête! |
GalaInscrit le : |
Voici entre autre un passage tiré de Wikipédia s ur la méningite.
"* Vaccins disponibles : pour prévenir les méningites bactériennes à méningocoques trois vaccins sont aujourd'hui disponibles. En France, seul le ménigocoque de sérogroupe C est recommandé et est inscrit au calendrier vaccinal depuis 2009 : o Le vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C ; o Le vaccin contre les méningocoques des sérogroupes A+C ; o Le vaccin tétravalent contre les méningocoques des sérogroupes A,C,Y,W135 réservé aux centres agréés de vaccination. * Recommandations vaccinales (date ?) o En France, les recommandations vaccinales concernant les infections invasives à méningocoques C (hors voyageurs) sont apparues dans le calendrier 2003. Ainsi, le vaccin anti-méningocoque C conjugué est recommandé par les autorités sanitaires pour les groupes à risque suivants : o Les sujets contacts d'un cas d'infections à méningocoque C ; o Dans les zones géographiques où les infections méningocoque C sont fréquentes ; o Les enfants présentant des déficiences immunitaires. * La vaccination contre le méningocoque C a une efficacité de plus de 90 %[ réf. nécessaire]* . Elle se pratique en une seule injection chez les enfants de plus d'un an, les adolescents et les adultes et en trois injections chez les nourrissons de 2 à 12 mois. *RÉFÉRENCE NÉCESSAIRE: Voici ce que cela signifie pour Wikipedia "Cette mention est placée dans un article par le code {{référence nécessaire}} ou {{refnec}} après une information sujette à caution, dont le rédacteur n'a pas cité ses sources, alors qu'il est fortement recommandé de le faire. Cela inclut : * une affirmation qui peut apparaître à certains comme douteuse, incertaine ou fausse ; * un passage évasif, une analyse qui semble personnelle, une opinion ou une citation non attribuées. Pour revenir à nos moutons... Ou est le vaccin contre les méningites du groupe B ? Un autre passage toujours de Wikipedia... "La bactérie Neisseria meningitidis (le méningocoque) est présente dans tous les pays de façon endémique. Des 12 groupes ou sous-types de méningocoques recensés, les groupes A, B et C sont à l'origine d'environ 90% des cas de méningococcie dans le monde. Pour des raisons mal comprises , leur distribution varie de continent à continent. * Le groupe A est présent en Asie, mais il continue de prédominer en Afrique où il provoque la plupart des grandes épidémies dans la ceinture méningitique, causant jusqu'à plus de 85% des cas de méningite à méningocoques observés.[8],[9] * Le groupe B prédomine en Amérique du Nord , en Amérique du Sud, en Australie / Nouvelle-Zélande et en Europe. * Le groupe C se retrouve principalement en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, mais on peut aussi le rencontrer en Afrique. * Le groupe Y se retrouve principalement en Amérique du Nord mais il peut être trouvé occasionnellement en Afrique." Le groupe B présent en Amérique du nord et ils ne savent pas trop pourquoi.... Bizarre... |
GalaInscrit le : |
Oui, j'ai lu cet article.
J'aimerais bien voir leurs protocoles de validation permettant d'affirmer l'efficacité du vaccin Hib contre les souches bactériennes... À savoir... Il y a étrangement eu beaucoup de cas de méningites bactériennes chez des sujet dûment vaccinés...Des enfants... |
AnonymeInscrit le : |
SophieBio :
Je crois que lorsqu'on n'a un système plus faible, qu'on est fiévreux, qu'on a des problèmes de santé qui apparaissent, on doit éviter la vaccination. Lorsque tu parles de la H1N1 et qu'on a vacciné des bébés et des personnes âgées c'était destiné pour eux, pour le vaccin du VPH (que je citais en EXEMPLE) on ne le donne pas plus aux bébés qu'aux personnes âgées... Tout dépend du vaccin..... Gala : Haemophilus influenzae de type b, ou Hib, est une bactérie responsable, selon les estimations, de quelque 3 millions de cas de maladies graves et d'environ 386 000 décès par an, principalement dus à des méningites et à des pneumonies. Les victimes sont presque toutes des enfants de moins de cinq ans, les nourrissons âgés de 4 à 18 mois étant particulièrement vulnérables. Dans les pays en développement, où se produisent la grande majorité des décès dus à Hib, la pneumonie est responsable d'un plus grand nombre de décès que la méningite. Toutefois, la méningite à Hib constitue également un problème grave dans ces pays, où son taux de mortalité est considérablement plus élevé que celui observé dans les pays développés ; elle laisse 15 à 35 % des enfants qui lui survivent avec des incapacités permanentes telles que l'arriération mentale ou la surdité. Contrairement à ce que pourrait évoquer son nom, Haemophilus influenzae ne provoque pas la grippe. Le dilemme du Hib Les infections à Hib sont évitables ? on dispose en effet de vaccins extrêmement efficaces depuis le début des années 90 . Cependant, année après année, des centaines de milliers d'enfants meurent de maladies dues à Hib. Les deux principaux obstacles à la prévention de l'infection à Hib sont d'une part le déficit d'information et de l'autre le manque d'argent . Le déficit d'information est largement dû à la difficulté qu'il y a à diagnostiquer une infection à Hib ? qui emporte la plupart de ses victimes sans même avoir été reconnue. En outre, le vaccin anti-Hib est plus coûteux que les vaccins classiques administrés aux enfants ? au prix offert en 2005 aux nations ayant les revenus les plus faibles du monde, il coûte environ sept fois le prix total des vaccins contre la rougeole, la poliomyélite, la tuberculose, la diphtérie, le tétanos et la coqueluche. Ces deux facteurs ont mis bien des pays en développement dans une position difficile. Ils veulent bien évidemment des preuves de l'étendue des ravages provoqués par Hib avant de décider s'il faut ou non ajouter un vaccin plus coûteux à leurs programmes de vaccination des nourrissons. Les pays en développement peuvent également avoir besoin d'une aide financière extérieure s'ils décident de fournir la vaccination anti-Hib. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), reconnaissant la réalité de ces obstacles, recommande le vaccin anti-Hib là où les ressources permettent son utilisation et où le poids de la maladie est attesté. Les efforts récents consentis par l'OMS et d'autres organisations sanitaires internationales ont porté sur des programmes visant à aider les pays à déterminer la véritable charge de morbidité due à Hib et à trouver les moyens de payer ce vaccin. |
GalaInscrit le : |
Passage d'un célèbre pédiatre américain sur la méningite.
"LA MÉNINGITE Un des paradoxes assez effrayants de la pratique médicale actuelle est la propension des médecins à traiter avec excès des maladies qui n'en ont pas besoin et, au contraire, à négliger le diagnostic de maladies comme la méningite, qui mériterait tous leurs soins. La méningite est une inflammation des membranes entourant le cerveau et la moelle épinière, les méninges. Les symptômes en sont: une nuque raide (pas toujours), des maux de tête persistants, des vomissements, de la fièvre et des convulsions chez les petits enfants. La maladie peut être causée par des bactéries, des virus ou des champignons. Une des bactéries est particulièrement contagieuse, car on la trouve dans la gorge aussi bien que dans le liquide céphalo-rachidien. La méningite peut être traitée, à condition de faire un diagnostic précoce. Souvent, les médecins passent à côté du diagnostic, parce qu'ils ne prennent pas au sérieux ce que la mère leur dit sur les changements de comportement de son enfant. Bien des médecins ne pensent pas non plus à une méningite si l'enfant n'a pas la nuque raide. Les conséquences possibles d'un mauvais diagnostic ou d'un mauvais traitement d'une méningite sont un retard mental ou la mort. Si votre enfant présente depuis trois ou quatre jours une fièvre sans explications, avec une somnolence, des vomissements, des cris perçants et, éventuellement une nuque raide, suspectez une méningite. Certains de ces symptômes sont aussi présents dans la grippe, mais les deux derniers sont particuliers à la méningite, surtout le cri. Si votre enfant présente ce tableau, insistez pour que votre médecin fasse les examens appropriés, dont une ponction lombaire: dans ce cas, si votre médecin ne récolte pas de liquide à la première ou à la seconde tentative, dites-lui de s'arrêter et appelez un autre médecin. Les antibiotiques ont réduit de 95% à 5% la mortalité de cette maladie. C'est pourquoi un diagnostic correct et précoce est une question de vie ou de mort." |
GalaInscrit le : |
Problème.
Citation de ton passage Oursonne. " Par exemple, au cours des dernières années, la cause la plus importante des méningites bactériennes chez les enfants, Haemophilus influenzae de type b, a connu une importante diminution..." Les vaccins ne peuvent rien contre les bactéries. Les vaccins pour les méningites protègent contre des souches de méningites virale ( les moins dangereuses...) |
SophiebioInscrit le : |
Un élément de réponse Aurais-tu un lien là-dessus ? Oursonne a écrit Faux. En clair, on refuse de reconnaître que le vaccin puisse avec des effets secondaires graves, mais on admet juste des effets bénins. POURTANT VRAI ! Parce que en théorie, les fabricants de vaccins admettent que certains effets secondaires graves puissent arriver, alors qu'en pratique, quand une personne subit des effets secondaires graves, la SEULE et UNIQUE réponse qu'elle obtient des médecins, des services hospitaliers etc.... c'est un DENI absolu. Et là dessus, TOUS LES TEMOIGNAGES DE VICTIMES SONT UNANIMES. L'an dernier au Québec, lors de la campagne de vaccination AH1N1, une femme d'une 40 aine d'années si mes souvenirs sont exacts, est décédée 8 jours après sa vaccination et d'après la version officielle , de la grippe AH1N1. On a dit qu'elle avait donc eu la grippe avant d'être vaccinée, ce qui confirme ce que je dis plus haut et de plus, qui confirme également le fait que AVANT n'importe quelle vaccination, PAS UN SERVICE MEDICAL ne prend la peine de faire des examens pour savoir si il est ou non opportun de vacciner, si cela comporte ou non des risques. Et que lors de la vaccination ou après, on ne met pas les gens sous surveillance ou on ne fait aucun examens pour savoir si la vaccination a été efficace et sans danger. On injecte à tout le monde le vaccin, sans se préoccuper de savoir dans quel état sont les gens avant, et sans aucune distinction de l'état de santé de quiconque. Je trouve ça bien singulier, parce que même les vaccinalistes les plus convaincus du monde médical modulent tous leurs traitements en fonction de l'âge du patient, de son poids, de sa taille, de son état de santé et de toute une série de facteurs qui sont bien uniques à chaque patient. Mais pour la vaccination, nous devenons miraculeusement du jour au lendemain tous immunologiquement identiques. Cette démarche est profondément absurde sur un plan scientifique et médical, qu'on soit vaccinaliste ou pas. Dans le cas de cette femme, SI elle avait bien la grippe avant la vaccination, on aurait pu le savoir par une analyse et c'est parce qu'on ne l'a pas fait que le vaccin lui fut probablement fatal. Si on avait pris cette précaution, elle aurait été diagnostiquée comme étant formellement contre indiquée à la vaccination. Regarde le cas d'Annabelle... suite à son premier vaccin Gardasil, elle fait un accident neurologique majeur, qui est de l'aveu du fabricant , une contre indication majeure pour ne pas recevoir les autres doses. Ses parents ne savaient même pas à l'époque qu'elle avait reçu un vaccin.. Mais son hospitalisation et les causes ont tout de même été signalées au service médical de son école. Cela n'a pas empêché qu'elle reçoive la seconde dose qui devait lui être fatale, exactement dans le même délai dans lequel elle avait fait l'accident neurologique la première fois. Je dis donc que le service de pharmacovigilance n'a fonctionné ni à l'hôpital où pas un soignant n'a demandé si elle avait reçu un vaccin, et pas plus à l'école où on a tenu aucun compte de son premier accident neurologique. Donc, en théorie, Merkx reconnait certains risques avec le Gardasil, et en pratique, pas un soignant ne lève un sourcil quand elle fait un accident neurologique majeur qu'elle n'avait jamais eu dans toute sa vie auparavant. Ce qui fait que les mises en garde du fabricant ne servent à rien d'autre qu'à remplir du papier, et ce, d'autant plus que la mort d'Annabelle n'est pas officiellement rattachée à son vaccin. Ce qui fait que demain, d'autres Annabelle pourront subir le même sort sans que quiconque n'en soit inquiété. ça, excuse moi, mais ce sont des FAITS INCONTESTABLES et pas une opinion... ( Pasteur a tout au long de sa vie utilisé ce genre de procédé, il s'est approprié des résultats de recheches que d'autres avaient menées, sans jamais mentionner ses sources ... ) Non je n'ai pas de lien, pour la bonne raison que j'ai lu ça dans divers livres. Dont Pasteur, la fin de l'imposture, de Eric Ancelet mais surtout dans le livre de De Brouwer qui détaille précisément toutes ces recherches que Pasteur s'est approprié de façon scandaleuse. Vaccination, erreur médicale du siècle. Il cite précisément toutes ses sources, et il n'est pas le premier à le dire.. Du temps de Pasteur, il fut largement décrié, critiqué etc... Sinon, pire, on considère que, comme tes anticorps n'ont pas encore eu le temps dans les huits jours suivant la vaccination de s'être multiplié pour que tu sois considérée comme "immunisée", alors on te classe dans la catégorie des ... non vaccinés N'est-ce pas plutôt honnête sachant que les anticorps ne se sont pas multipliés, donc pas d'immunité sur le champs ? Honnête ? Dire qu'une personne qui n'a pas développé les anticorps comme on s'y attend n'est pas vaccinée, alors qu'on lui a bien injecté un vaccin, et prétendre ensuite que les victimes sont du côté des non vaccinés, je ne trouve pas ça honnête, non. Je trouve ça mensonger. Parce que ces victimes là quand elles décèdent sont classées comme " non vaccinées". Par la suite on affirme haut et fort qu'il faut se faire vacciner vu que les victimes du côté des non vaccinées sont plus nombreuses... ça s'appelle tordre le bras à la vérité pour qu'elle colle avec des théories qui arrangent ceux qui veulent. |
AnonymeInscrit le : |
Et pour ce qui est de ce que les journalistes disent, et bien tu le dis toi-même, ce sont les journalistes...
Mais là je ne veux pas nuire à votre groupe avec TOUTES mes questions ! Je me retire, vous lis et me forge mon idée... Un gros merci !! |
AnonymeInscrit le : |
Nos vaccins ne viennent pas tous de la France. Oui et non. Je crois encore que non. Pas parce qu'un vaccin (ou une de ses composantes)vient de là qu'ils viennent tous de là non plus.On peut faire dire ce que l'on veut à pas mal tout... Je sais que tu as une très bonne volonté. Par contre je ne trouve rien dans ce que tu me donnes qui satisfassent mes questionnements... Lorsque je dis "Je veux y croire" c'est que je suis ouverte sur je sujet, je voudrais bien croire ce que je lis ,mais ce sont souvent des impressions personnelles (sur les sites aussi) et c'est ça qui me laisse perplexe. Je ne veux pas un avis d'étude, je ne veux pas une analyse de résultats mais bien l'étude... hehe ! MAIS MERCI !!!! Maintenant, puisque tu disais t'intéresser à la France, étais-tu au courant qu'en Janvier (donc ce mois-ci) deux cas de rougeole ont été déclarés à Montréal du à une épidémie en France (plus de 5000 cas en très peu de temps) À part la baisse de la vaccination, à quoi peut-on l'attribuer ? Toujours selon toi ainsi que tes connaissances.. Et si tu en as envie, j'aimerais te lire là-dessus : Avant l'arrivée des vaccins, les maladies infectieuses avaient commencé à diminuer grâce à l'amélioration des conditions de vie. Mais elles n'étaient pas en voie de disparaître. C'est avec les vaccins que certaines maladies infectieuses sont devenues rares et que d'autres ont disparu. Par exemple, au cours des dernières années, la cause la plus importante des méningites bactériennes chez les enfants, Haemophilus influenzae de type b, a connu une importante diminution. Pourtant, les conditions de vie sont restées les mêmes. Ainsi, seule la vaccination peut expliquer cette baisse. Pour des données sur les résultats des programmes de vaccination, vous pouvez consulter le tableau Données canadiennes sur les résultats de certains programmes de vaccination. Ce tableau illustre l'efficacité des programmes de vaccination en présentant le nombre de cas de maladies au Canada avant et après l'introduction de la vaccination. Si nous cessions de vacciner, les maladies infectieuses réapparaîtraient rapidement et se répandraient. C'est ce que nous démontre l'expérience de plusieurs pays. En Irlande, notamment, la couverture vaccinale contre la rougeole est tombée à 76 % après des allégations établissant un lien entre le vaccin et l'autisme, allégations qui se sont révélées erronées. Le nombre de personnes infectées par la maladie est passé de 148 en 1999 à 1 603 en 2000, et 3 enfants sont décédés des complications de la maladie. Parce que l'amélioration des conditions de vie diminue les risques d'infection et de transmission, mais ne les annule pas. Dans plusieurs pays où les conditions de vie sont semblables aux nôtres, les maladies évitables par la vaccination sont revenues en force lorsque le nombre de personnes vaccinées a baissé. Pour établir un lien de cause à effet entre un vaccin et une maladie, les scientifiques doivent étudier rigoureusement plusieurs critères. Ils doivent notamment considérer la relation de temps (le vaccin a précédé la maladie). Cette relation de temps est essentielle, mais non suffisante, sinon les scientifiques en arriveraient souvent à des conclusions erronées. Par exemple, le fait que les premières dents apparaissent souvent en même temps que l'administration de la troisième dose du vaccin contre la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la poliomyélite et les infections graves à HIB (DCaT-Polio-Hib) ne signifie pas que le vaccin entraîne la poussée des dents. De même, le fait que les enfants commencent à marcher peu après avoir reçu le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (RRO) ne veut pas dire que le vaccin en est la cause. Ainsi, les scientifiques doivent aussi vérifier si le problème est plus fréquent chez les personnes vaccinées que chez celles non vaccinées. Les conclusions d'une étude doivent de plus être confirmées par d'autres études. Ouf ! Lol ! |
AnonymeInscrit le : |
Il y a beaucoup d'avis personnel dans ce que tu dis. Et comme je le disais plus tôt, les chiffres des années 40.... selon-moi c'est loin, ce n'est même plus pour les mêmes maladies, les mêmes vaccins, les mêmes normes d'hygiène, etc... Faux. En clair, on refuse de reconnaître que le vaccin puisse avec des effets secondaires graves, mais on admet juste des effets bénins. Les campagnes d'éradication reposant entièrement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas » Ce qui veut dire clairement que la vaccination était inefficace. Sinon, il aurait suffit d'un seul programme de vaccination de masse, simultané dans le monde entier pour éradiquer la maladie Ce ne fût pas le cas non plus... malgré les progrès réalisés dans la fabrication du vaccin et sa large diffusion, la variole persistait dans de nombreuses régions du monde" Une suite logique... ( Pasteur a tout au long de sa vie utilisé ce genre de procédé, il s'est approprié des résultats de recheches que d'autres avaient menées, sans jamais mentionner ses sources ... ) Aurais-tu un lien là-dessus ? Sinon, pire, on considère que, comme tes anticorps n'ont pas encore eu le temps dans les huits jours suivant la vaccination de s'être multiplié pour que tu sois considérée comme "immunisée", alors on te classe dans la catégorie des ... non vaccinés N'est-ce pas plutôt honnête sachant que les anticorps ne se sont pas multipliés, donc pas d'immunité sur le champs ? Pour le VPH je suis entièrement d'accord avec toi... Je le "citais" en exemple... Pour la H1N1 je comprends très bien aussi. Comme on dit des deux "bords" le risque zéro n'existe pas et AUCUNE étude sur la vaccination prétend le contraire... |
SophiebioInscrit le : |
à propos des journalistes qui écrivent des faits inexacts
http://www.ledevoir.com/societe/sante/265779/h1n1-les-femmes-enceintes-auront-le-choix-du-vaccin "Un adjuvant est un composé qui stimule la réaction du système immunitaire au vaccin, permettant d'utiliser de moindres doses pour chaque personne. Le Canada a choisi de s'approvisionner en vaccins avec adjuvant à la suite des recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, qui a suggéré aux pays populeux d'utiliser des techniques de vaccination favorisant «l'économie d'antigènes» afin de maximiser l'approvisionnement mondial. Alors que quelques pays européens utilisent des vaccins avec adjuvant depuis plusieurs années, aucun des vaccins homologués au Canada n'en contient . Et il n'existe aucune donnée sur l'utilisation d'un vaccin avec adjuvant pour les femmes enceintes ? une situation qui en fait hésiter plus d'une à faire usage de toute forme de médicaments ou de thérapies.".... http://www.phac-aspc.gc.ca/im/q_a_thimerosal-fra.php celui ci assure que par exemple le thimérosal soit est inoffensif, soit qu'il n'est pas présent dans les vaccins homologués, alors que ?. http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/07vol33/acs-06/index-fra.php comprend un tableau qui mentionne les quantités de thimérosal contenu dans les vaccins homologués. Je dis donc que cette journaliste ment au grand public en écrivant que aucun des vaccins homologués au Canada ne contient de thimérosal et qu'il est tout de même assez singulier qu'elle n'ait même pas pris la peine de vérifier que ce qu'elle écrit est ou non vrai, avant de publier. ( le tout, en pleine campagne de vaccination AH1N1, alors que c'est un sujet qui est sans cesse à la une des journaux ) |
AnonymeInscrit le : |
Tu te donne beaucoup de peine pour me répondre !!! C'est gentil. J'ai commencé à lire... Attention par contre, lorsque je donne un exemple (ex. VPH) ce n'est pas parce que j'y crois... C'est à titre d'exemple... Tu prends beaucoup de temps... Je lirai la suite tantôt, merci. |
SophiebioInscrit le : |
à Oursonne
http://whqlibdoc.who.int/publications/a41464_fre.pdf Le lien du rapport de l'OMS de 1979 à propos de l'éradication de la variole. http://www.facebook.com/note.php?note_id=193901597291600 mes commentaires sur le rapport de l'OMS à propos de l'éradication de la variole Tu peux lire : "P. 32 : « Les campagnes d'éradication reposant entièrement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas » "p.37 : « la dissimulation des cas et des poussées épidémiques par le personnel sanitaire à différents niveaux posait un problème dans bien des pays. En certains endroits, les vaccinateurs et leurs supérieurs hiérarchiques qui avaient connaissance de la variole dans leur secteur étaient peu enclin à le notifier parce que la présence de la variole était considérée comme de nature à discréditer leur action de vaccination systématiques? » p.10 : "Jusqu'à ce que Jenner montre que l'inoculation de la vaccine protégeait de la variole, il n'existait aucun espoir de lutter contre la maladie. Jenner lui même avait prévu l'éradication de la variole et pourtant 170 ans plus tard, malgré les progrès réalisés dans la fabrication du vaccin et sa large diffusion, la variole persistait dans de nombreuses régions du monde" Je ne crois pas qu'on puisse dire que Jenner avait démontré que l'inoculation de la vaccine était efficace pour une protection de la variole, puisque malgré de nombreuses vaccinations tout au long du 19ième siècle notamment en Angleterre mais dans le monde entier , la variole n'était toujours éradiquée 170 ans plus tard.... D'autres paragraphes de cette page sont aussi intéressants, puisqu'il est reconnu que malgré des vaccinations de masse répétées à plusieurs reprises sur deux ou trois ans, certains pays ne connurent pas d'amélioration sensible du nombre de cas de variole. Ce qui veut dire clairement que la vaccination était inefficace. Sinon, il aurait suffit d'un seul programme de vaccination de masse, simultané dans le monde entier pour éradiquer la maladie. Entre 1948 et 1977, les campagnes de vaccinations ont été répétées dans certains pays, ce qui veut dire qu'il a fallut tout de même pas loin de 30 ans... en terme d'efficacité, il y a mieux. D'ailleurs dans d'autres pages plus loin dans le rapport, il sera fait mention d'autres stratégies que la vaccination qui elles, se révèleront réellement efficaces ( ces stratégies ne mettront pas, même dans les pays les plus rudimentaires au niveau des structures administratives, logistiques et médicales, 30 ans pour fonctionner et réussir, elles.... ) . En fait , il est clairement dit dans cette page que les seuls pays dans lesquels la vaccination semble avoir été rapidement efficace, ce sont en gros les pays occidentaux. Autrement dit, des pays dans lesquels les infrastructures d'hygiène publique existaient dans ces années là ou se sont mises en place dans ces années là. Ce qui veut dire qu'il est fort probable pour que ces éléments aient aussi joué un grand rôle dans le fait que les cas de variole ont disparu, indépendamment de la vaccination. p.11 : Il est dit que , étant donné que l'éradication de la maladie est effective, et que la vaccination peut entraîner des complications graves, tous les pays ne peuvent plus exiger de certificat de vaccination et les seuls chercheurs susceptibles d'être encore au contact de la maladie, parce que travaillant dans les rares laboratoires détenant encore des souches , doivent continuer d'être vaccinés. Des complications graves, oui on a vu... effectivement. Cela ne justifie donc aucunement le maintien de l'obligation vaccinale pendant encore plus de 2 ans après la publication de ce rapport par la France. |
SophiebioInscrit le : |
à Oursonne
Tu dis dans ton livre à toi... je te répondrai, oui les livres c'est bien, c'est la théorie ( même en médecine ) mais après il y a la pratique. Et la seule chose qui soit constante en médecine, c'est que chaque cas est un cas particulier. Que chaque élément bouge et peut changer en biologie. La médecine n'est pas une science exacte comme les mathématiques, la physique ou la chimie. C'est par définition une science inexacte. Et heureusement. Parce que sinon, cela voudrait dire que nous sommes tous semblables ( et nous savons précisément que c'est le contraire qui est vrai, nous sommes tous singuliers.) Et cela voudrait dire aussi que les théories du passé n'auraient jamais été remises en question.. donc que, on continuerait comme au 19ième siècle à faire des saignées aux malades pour un oui ou un non, ça voudrait dire aussi que les médecins ne jugeraient pas opportun de se laver les mains continuellement. http://www.medarus.org/Medecins/MedecinsTextes/semmelweis.html Lis un peu comment Semmelweis fut traité par ses propres pairs... quand il a affirmé que les étudiants en médecine devaient se laver les mains après avoir participer à des séances de dissection, et avant d'aller accoucher des femmes qui mourraient pourtant comme des mouches. Semmelweis, en passant a fait cette découverte moins de 20 ans avant que Pasteur ne se prétende l'inventeur de la vaccination ( avec la rage) , alors qu'en réalité, il n'avait rien inventé du tout, il s'est inspiré de ce que Jenner avait fait pour la vaccine de la variole, sans bien entendu le mentionner. ( Pasteur a tout au long de sa vie utilisé ce genre de procédé, il s'est approprié des résultats de recheches que d'autres avaient menées, sans jamais mentionner ses sources ... ) Tu écris ensuite : Nos vaccins ne viennent pas tous de la France. Oui et non. Quand GSK a commercialisé le Arepanrix pour la grippe AH1N1 l'an dernier, si on se donnait la peine de lire la composition attentivement, on s'apercevait que c'était le frère jumeau du Pandemrix commercialisé en Europe par GSK. Donc, il se peut parfois que des noms commerciaux différents recouvrent des préparations identiques. ( j'imagine qu'il doit y avoir de sombres raisons de brevet, ou de droits ... ) Ensuite, comme je te le disais plus haut, le Père de la vaccination est bien Pasteur dans l'inconscient collectif, et Pasteur était français. L'institut Pasteur a ses racines en France, et bien des entreprises pharmaceutiques parmi les plus importantes ont leur succursales en France ou en Europe ( GSK , Meyrieux, Sanofi, Farben, etc... ) Si tu trouves des chiffres de France, il se trouve que en tous cas, étant moi même française, je m'intéresse à ce qui se passe en France, mais je trouve des chiffres dans le monde entier, et dans tous les pays, et toutes les données que je trouve sont concordantes. A propos de la vaccination contre la variole, le cas des Philippines est exemplaire, également le Brésil, et l'Inde. Pour la polio, le cas de Madère au Portugal est intéressant également parce que c'est une île. Je trouve des chiffres pour l'Australie, pour la Suède, la Finlande, la Norvège, la Chine etc.... Ensuite tu écris " depuis ne lit on qu'un résumé ou une conclusion d'étude avant d'informer la population ?" Je peux te citer au moins deux exemples qui sont contradictoires avec ce voeux pieu que tu fais. On claironne de partout que la variole a été éradiquée grâce à la vaccination. Aussi j'ai voulu en savoir plus sur cette maladie et les campagnes de vaccination qui ont eu lieu sur la planète et ce, d'autant plus que toutes les campagnes de vaccination de masse en cas de pandémie se sont calquées sur l'Exemple de la variole. Donc je suis allée lire le rapport de l'OMS datant de 1979 qui est intitulé " l'éradication de la variole". Et qui fait 135 pages tout de même. Quand tu lis ce rapport en détail, tu t'aperçois que les résumés du début et les conclusions disent haut et fort que c'est grâce à la vaccination que l'on a éradiqué la variole mais quand tu vas dans le détail des 135 pages, je t'assure que ce n'est pas le même son de cloche. Il est écrit noir sur blanc que dans un certain nombre de pays, malgré des campagnes de vaccination de masse répétées, la maladie continuait de faire des ravages et que l'OMS a du mettre en place une autre stratégie pour venir à bout de la maladie. Stratégie de détection des malades en proposant même des primes de 1000 $ à toute personne qui signalerait un cas ( parce que dans certains pays les infrastructures médicales, administratives, logistiques étaient telles que la communication était difficile, certains villages n'étaient accessibles que par des pistes dans un état plus que précaire, par exemple) et stratégie d'isolement des malades pour éviter la contamination. Et pour finir dans ces pays, c'est bien cette dernière stratégie qui fut payante. Les pays en question sont rien de moins que l'Inde, le Brésil et en gros, une bonne partie des pays d'Afrique noire. Pire, dans ce rapport on lit que même suite à des campagnes de vaccination et des revaccinations, on constatait une recrudescence des cas suite aux campagnes ( comme à Manille aux Philippines, qui avant la première vaccination ne connaissait pas la maladie ) Second exemple, plus récent de désinformation. Lors de la crise de la grippe AH1N1, un article est paru dans le Devoir à propos de la sortie récente du documentaire Silence on vaccine de Lina Moreco. Et la journaliste a écrit dans son article, un véritable démontage du documentaire, puis noir sur blanc qu'aucun vaccin homologué au Canada ne contenait de thimérosal. Il se trouve que je suis allée vérifier sur le site de Santé Canada. Cette affirmation est purement et simplement un mensonge, puisque sur 66 vaccins homologués au Canada, 11 contenaient bel et bien du thimérosal. Je dis donc que cette journaliste n' a pas fait son travail correctement et qu'en plus, elle ne donne pas une information exacte. Et là, il ne s'agit pas d'interprétation plus ou moins capilotractée, mais de faits avérés. IL ne s'agit pas de croire ou pas quelqu'un , il s'agit d'aller vérifier par soi même ce que je t'écris là. On n'est pas au cours de catéchèse, on est dans le concret, le palpable... La blouse blanche a remplacé la soutane, et c'est ça qui est dramatique. La population croit dur comme fer ce qu'un médecin leur dit, mais je t'assure que quand tu te donnes la peine d'aller regarder par derrière, d'aller vérifier les affirmations assurées de certains médecins, tu t'aperçois que les choses ne sont pas si simples qu'on veut bien nous les présenter; et même que parfois on te ment carrément. A propos du vaccin VPH, encore une fois, le fabricant nous ment délibérément. Il nous affirme que le vaccin protège à 95% contre le cancer du col de l'utérus. Or, le vaccin VPH est un vaccin contre le virus du pappillome humain, dont il existe plus de cent souches, mais le vaccin n'en contient lui que 2 ou 4 selon les fabricants, et de plus, on sait d'après tous les tests PAP que le vaccin ne dispense d'ailleurs pas de faire, que plus de 90% des femmes parviennent à se défendre très correctement contre ce VPH. Alors, c'est quoi cette histoire d'aller vacciner 100% de la population, pour une infection qui RISQUE de provoquer peut être un cancer du col de l'utérus pour seulement 10% d'entre nous ??? Cette histoire, il faut bien le dire, c'est une histoire de gros sous... parce que le vaccin contre le VPH suppose trois doses par personne au prix modique de 135$ la dose... ça rapporte si tu vaccines tout le monde, tu imagines un peu ? Moi je suis tout de même assez interloquée de voir que le législateur français a cru bon d'interdire la publicité pour le Gardasil au prétexte que l'efficacité de ce vaccin n'est pas démontrée scientifiquement alors que de l'autre bras, le remboursement de ce vaccin fort cher est toujours d'actualité en France, qu'il n'est pas pour autant retiré du marché .. Au juste, il faut combien de milliers de victimes pour que l'Etat prenne ses responsabilités et retire ce vaccin du marché, comme pour le Médiator ? Il faut attendre combien d'années et combien de victimes qui portent plainte ??? Tu dis, à juste titre, le vaccin pour le VPH n'est pas pour les bébés. Oui on se propose juste de l'injecter à partir de 9 ans à toutes les filles et les garçons, pour prévenir le fait qu'ils puissent être vecteurs du virus. Mais alors dis moi, pourquoi propose t on le vaccin contre l'hépatite B aux nouveaux nés ???? Je ne savais pas que les bébés pouvaient être toxicomanes, ou potentiellement à partenaires sexuels multiples. Là où, encore une fois, les faits me font bondir... quand tu écris que "ceux qui se font vacciner savent qu'ils ne doivent pas y aller si ils ont un problème de santé "... ha oui ? Je ne suis pas du tout certaine qu'ils le sachent précisément, et c'est bien au corps médical de les prévenir qu'ils ne doivent pas recevoir de vaccin au cas où ils ont un problème . Mais dis moi, si ma mémoire est bonne, dans la campagne de vaccination pour la grippe AH1N1 et pour la grippe saisonnière , à qui conseille t on le plus et en priorité s'il vous plait, d'aller se faire vacciner ??? Les cardiaques, les personnes âgées, les femmes enceintes, les diabétiques, les asthmatiques, les insuffisants respiratoires, etc.... Alors que pour ce vaccin AH1N1, précisément, on en était encore au stade expérimental quand il a été mis sur le marché.. ça ne t'a pas chatouillée toi, qu'on dise aux femmes enceintes de se faire vacciner en priorité ? Moi si. Parce que les mêmes nous disaient aussi que déontologiquement il n'est pas possible de faire des essais cliniques sur des femmes enceintes. ( mais par contre, il est déontologique de leur dire d'aller se faire vacciner en priorité avec un vaccin qui en est encore au stade expérimental ??? ) Alors je relis bien, on fait donc des essais cliniques sur 21 jours sur 2000 sujets parfaitement sains, 7 en meurent mais bon, on les balaie sous le tapis et zou, en avant , on commercialise un vaccin que l'on conseille en priorité de donner à toutes les personnes les plus fragiles. Ya pas un truc qui te gratouille quand tu lis ça ? C'est pourtant strictement ce qui s'est passé l'an dernier... Lis donc ces témoignages, tu verras si les professionnels de santé avertissent les gens des risques avant la vaccination ... http://www.resterenvie.com/blogue/?p=702 Et ça, ça t'inspire quoi au juste ? http://www.resterenvie.com/blogue/?p=1526 http://www.resterenvie.com/blogue/?p=574 Le tout dernier lien te donne accès avec les commentaires en dessous à un long et passionnant débat avec un monsieur qui me contredisait sur ce que j'avais affirmé à propos de Santé Canada et du manque de professionnalisme d'une journaliste au Devoir, si tu as la patience de tout lire. Et enfin pour finir, Oursonne, quand tu écris "J'voudrais bien y croire J'ai réellement l'impression qu'on joue avec les mots, les pays, les échantillons, les années,... " tu as raison, on joue avec les chiffres , les statistiques, les faits, mais pour te présenter juste la face de la médaille la plus favorable à te faire vacciner. Figure toi que j'ai appris par exemple, que, on conteste que suite à un vaccin contre la grippe, tu puisses dans les 8 jours qui suivent avoir une grippe causée par le vaccin, mais on admet que dans les 24 ou 48 heures qui suivent le vaccin, tu peux avoir le bras légèrement douloureux au point d'injection. Si ton bras est paralysé, ça ne se peut pas que ça soit à cause du vaccin. Et si tu as la grippe une semaine après, ma foi, c'est que tu avais le virus avant la vaccination, c'est pas possible autrement. En clair, on refuse de reconnaître que le vaccin puisse avec des effets secondaires graves, mais on admet juste des effets bénins. Sinon, pire, on considère que, comme tes anticorps n'ont pas encore eu le temps dans les huits jours suivant la vaccination de s'être multiplié pour que tu sois considérée comme "immunisée", alors on te classe dans la catégorie des ... non vaccinés ! Tout simplement. Alors avec ce genre d'entourloupes, ne t'étonnes pas si les statistiques officielles te prétendent que les vaccins sont sécuritaires. Et encore un fois Oursonne, il ne s'agit pas de "croire". Il s'agit de se faire une opinion solide d'après des FAITS, des CHIFFRES et une REALITE. Je ne suis pas en train de faire mon possible pour que tu me croies. Va vérifier par toi même si ce que je raconte est ou non des niaiseries. Tu n'es pas à l'église à devoir "croire". Vérifies, recoupe par toi même, compare, va à toutes les sources d'information possible, remonte tes sources pour savoir d'où les gens tiennent leurs informations etc.... |
AnonymeInscrit le : |
Merci pour les infos...
Je comprends bien les "statistiques" c'est que dans mon livre à moi, le mot scientifique est rarement teinté de doute, de statistiques, de sondages, c'est plutôt du concret.... Les articles qui parle des méfaits du vaccin se ressemblent tous. On prend des chiffres d'il y a 10-11 ans, des chiffres de la France (nos vaccins ne viennent pas tous de là....) et on n'a jamais de lien, de nom, de nom d'étude, et si on a tout ça, bien l'étude a été faite que pour faire ressortir les risques, il y a quand même un facteur qui protège... J'ai un peu de difficulté avec le ton que prenne les articles "contre-vaccination". Exemple, dans ton dernier lien, on dit Nombre d'« études scientifiques » sont littéralement absurdes. Ça marche des deux bords... toujours selon moi. Il n'est pas rare de lire le résumé d'un document majeur vantant l'innocuité ou les avantages apparents d'un vaccin, et de découvrir en examinant le document réel, qui inclue des détails importants, que le vaccin est indiqué dangereux et peut, par-dessus le marché, avoir une piètre efficacité *. Par exemple, une étude décisive publiée dans Pediatrics [2003;112:1039-48] a conclu que l'exposition cumulative aux vaccins contenant du thimérosal « est associée d'une manière affirmative importante à des tics » et à un « risque accru de retard au langage. » Depuis quand on ne lit qu'une conclusion ou un résumé à une étude avant de faire un article ou d'informer une population ? Personne, de ceux qui vaccinent, n'a nié les risques, c'est faux de prétendre que "personne" le sait... je trouve qu'on traite les gens en "nono". Il concluait que le vaccin « est hautement efficace » bien que les données de l'étude montraient que son efficacité atteignait à peine 17% contre de dangereuses lésions du col utérin . On compare deux choses. L'efficacité global d'un vaccin en est une et l'efficacité contre de dangereuses lésions en est une autre... Par exemple, les trop jeunes, trop vieux, enceintes, malades, ou ceux avec d'autres problèmes de santé préexistants. Encore là, ceux qui se font vacciner savent qu'ils ne doivent pas y aller s'ils ont un problème de santé, de la fièvre (même minime) ou même la fatigue... Un vaccin (exemple) pour le VPH n'est pas pour un bébé... C'est parfois juste normal..... J'voudrais bien y croire J'ai réellement l'impression qu'on joue avec les mots, les pays, les échantillons, les années,... Mais JE SAIS que je ne fais que commencer mes "recherches". Je suis encore ouverte... |