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Groupe des parents qui ne vaccinent PAS leur enfants

Auteur Message

Calipso

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 5 décembre 2010 20:35:40 EST  
Sophiebio a écrit
Quand je cites un auteur, c'est que j'épouse entièrement son point de vue, la plupart du temps. Ce n'est pas parce que je ne "pense" pas...



Attention Sophiebio, je ne suis pas en train de dire que tu n'es pas capable de penser par toi même. Je pense au contraire que tu as beaucoup fait de recherches sur la question, mais on ne peut pas faire le même cheminement que toi en quelques pages de forum, c'est impossible.

Il est assez difficile de lire un texte issu d'un livre sur un forum en petit caractère et sans paragraphe. La lecture est ardue et ça ne rend pas bien l'idée générale.
Les citations idéalement seraient mieux intégrée à ton discours si elles n'étaient pas aussi longues. Là j'avoue que je passe par dessus, et pourtant il y a pas mal de points sur lesquels mon opinion rejoint la tienne. Sauf que je ne suis pas toujours d'accord sur la manière de les dire, même si je suis moi-même française et habituée à ce style plutôt 'direct' :o)  

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 5 décembre 2010 18:01:29 EST  
PEACHES: Non, il ne faut jamais tomber dans la position rigide mais OUI, il est possible de rejeter quelque chose complètement, en particulier lorsqu'il s'agit de notre santé.

Cela ne veut pas dire que nous devenons complètement fermés et rigide...Par contre, jusqu'à présent, plusieurs de mes questionnements n'ont trouvés aucunes réponses et ce, même auprès des "spécialistes". Mon chum travaille avec un microbiologise qui lui confirme à quel point il est difficile et complexe de comprendre la réponse immunologique du corps...

Tant et aussi longtemps que je n'aurais pas de réponses claires à mes questions, ma fille restera vierge de toute vaccination !

Il est impossible de dire " j'aimerais seulement une demi dose de vaccin SVP car je suis modéré sur la question de la vaccination..."

C'est OUI ou c'est NON, un point c'est tout. Tu prend l'injection ou tu ne la prend pas.

Pour l'acétaminophène, encore là, il n'est pas non plus question de l'interdire complètement ou de le diaboliser mais seulement d'expliquer en quoi cela peut nuire au processus de guérison pour apporter un confort temporaire.



 

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crystalle

Inscrit le :
17 déc. 2007

Posté le: 5 décembre 2010 12:33:58 EST  
OUfff c'est vrai que c'est un peu pesant comme texte je lis en diagonale SophieBio! Smile CE que tu pourrais faire sans pour autant recopier le texte c'est de mettre une page en lien internet, en nous donnant un petit résumé ainsi les personnes qui désirent lire plus en profondeur iront consulter ton lien! Smile 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 4 décembre 2010 17:29:12 EST  
Callipso ...
Quand je cites un auteur, c'est que j'épouse entièrement son point de vue, la plupart du temps. Ce n'est pas parce que je ne "pense" pas...

Si je cites, c'est parce que cela va faire bientôt 18 ans que j'ai commencé des recherches sur les vaccins, et sur la façon dont fonctionne le monde médical et pharmaceutique. Si je l'ai fait, c'est essentiellement parce que j'ai eu une petite enfance entre 0 et 6 ans lors de laquelle j'ai été éprouvé par plusieurs maladies lourdes et qu'en moyenne, je passais chez les médecin toutes les 3 semaines; lorsque j'ai décidé d'être mère, j'ai voulu comprendre pourquoi j'avais été si malade, toute petite. Je n'ai pas dit que je connais toutes les réponses, mais j'ai de très sérieuses pistes et disons de très forts soupçons. Et si j'ai voulu comprendre cela, tout d'abord, ça a été pour ne pas faire vivre un tel calvaire à mes propres enfants. Sur ce point là, au moins, je peux me féliciter d'avoir réussi.

Maintenant que mes enfants sont un peu plus grands, et ne risquent plus de subir des pressions illégales abusives de la part du corps médical, je me permets de militer pour diffuser le plus possible ce que j'ai appris et compris.

Comme le dit si bien Gala, la recherche et la lecture, ce n'est pas parce que je ferai des résumés que je vous l'épargnerai, vous devrez bien vous en taper une partie afin de comprendre vous à votre façon.

Pardonnez moi de ne pas résumer trop des sujets complexes et ardus, dans la mesure où nous avons tous été considérablement conditionnées pour croire autre chose...  

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Calipso

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 4 décembre 2010 16:10:36 EST  
Mais dans beaucoup de tes écrits Sophiebio, il est bien évident que ce n'est pas toujours toi qui dis ou qui pense, puisque tu cites parfois intégralement les écrits d'auteurs comme Sylvie Simon ou Michel Georget. J'ai lu aussi leurs bouquins, j'aimerais que le débat aille au delà de ces citations parce qu'elles sont très lourdes à lire sur un forum, c'est beaucoup de texte condensé, donc pas très agréable à lire...Peut-être en faire le résumé par rapport à ce que tu en as compris? Il me semble que ce serait plus intéressant... 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 4 décembre 2010 14:47:40 EST  
"Tout mélanger au point de cracher sur l'acétaminophène ( Confused ), rejeter la nécéssité de médication dans les cas de problèmes génétiques, ridiculiser l'importance de certains vaccins/médicaments dans les pays du Tiers-Monde où non, les mesures d'hygiène ne sont pas comme celles du G-20."

1/ Je n'ai jamais nié la nécessité de médicaments dans les cas de problèmes génétiques, contrairement à ce que tu écris. Il s'agit d'une interprétation à laquelle je n'ai pas jugé opportun de répondre.

2/ TOUS Les programmes de vaccinations dans le Tiers monde ont provoqué des désastres sanitaires, tous vaccins confondus. Et à commencer par celui de la variole que l'on nous cite si souvent en référence, mais pour celui aussi de la polio, par exemple.

3/ Oui les labos se font du fric sur le dos des Occidentaux et oui les Africains n'ont pas les moyens de payer, mais j'aimerais alors savoir pourquoi lors de la première famine médiatisée au monde ( le Biafra ) , alors qu'une campagne mondiale de levée de fonds pour aider les Biafrais à ne pas crever de faim, donc clairement pour leur apporter à manger et à boire, plus de 80% des dons recueillis ont servi à acheter des vaccins, alors qu'un Occidental moyen se voit renvoyé chez lui pour un simple rhume si jamais lors de cette visite, il devait faire le rappel de n'importe quel vaccin. Autrement dit, tout l'argent récolté à l'époque a servi à assassiner à petit feu les réfugiés dans les camps ... Et la situation n'a guère changé depuis.

4/ C'est PRECISEMENT parce que les mesures d'hygiène dans le Tiers monde ne sont pas comme dans le G20 que les vaccins tuent encore plus et que les médicaments périmés ou utilisés à des fins expérimentales font plus de mal que de bien dans ces pays là. Les labos sont en partie responsables du taux de mortalité infantile effarant des pays pauvres, alors le discours comme quoi l'espérance de vie a augmenté grâce à la médecine, désolée, mais, moi , j'avale pas du tout. L'espérance de vie à augmenté bien plus grâce aux plombiers, aux électriciens et aux vérificateurs de la qualité de l'eau potable, que grâce aux médicaments et aux nouveaux traitements qui donnent aussi souvent lieu à de nouvelles pathologies que l'on ne sait pas soigner ( par exemple, je pense au scandale de l'hormone de croissance, au scandale du sang contaminé, à l'impasse du SIDA et des soi disants vaccins que l'on ne trouvera JAMAIS pour le prévenir, et ainsi de suite )

Voici un petit condensé pour répondre à vrac à ce paragraphe, ne me faites pas non plus dire ce que je n'ai ni écrit ni dit, ni pensé.
 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 4 décembre 2010 03:16:00 EST  
crystalle a écrit
MErci les filles !

Donc si je comprends bien, le vaccin contre le tétanos dans le fond ne fait absolument rien pour protéger mes petits hommes contre les infections ou les infections suivantes?

Alors je suis mieux de m'en tenir à bien nettoyer les plaies avec un antiseptique et de l'eau.

J'ai fait des études en biologie et je me rappelais à quel point les professeurs nous disaient que c'était important d'avoir le vaccin contre le tétanos surtout lors des dissections car les risques d'infection étaient élevés et de complication, je crois que ca m'a traumatisé Wink 


Tu as tout compris, Crytalle, oui, le vaccin ne protège pas... d'ailleurs, tu parles de tes études de biologie, vaccinés ou pas, cela ne dispensait pas quiconque de se laver très soigneusement avant et après chaque dissection, je me trompe ? Parce que c'est la seule vraie prévention réellement efficace, de l'eau (propre s'entend !) et du savon; l'avantage c'est que ce n'est pas non plus la plus chère!

La preuve, ça fait quelques décennies que l'on vaccine à tour de bras dans le monde entier, Y COMPRIS dans les pays du Tiers Monde, pourtant chez eux, la mortalité par le tétanos est considérable.... donc le vaccin ne sert qu'à faire rentrer des sous pour les labos, pas à soigner les gens ou à les protéger contre quoique ce soit. On ferait bien mieux, au lieu d'aller vacciner les Africains, de leur installer des réseaux d'eau potable, et des réseaux d'évacuation des eaux usées, ça aiderait , en passant à éviter : la polio, les gastro, les dysenteries ( une des premières causes de décès des enfants jeunes dans le monde ) etc... et le choléra.. ( voire aujourd'hui le drame d'Haïti)

Je t'encourage vivement à visionner le film "La constance du Jardinier" , si tu ne le connais pas, et à voir cette courte vidéo :
http://www.dailymotion.com/video/xau85b_dou-vient-le-sida_webcam

( à propos du vaccin contre la polio dans les années 60 notamment et à la vaccination massive des populations au Congo Belge; si tu as la curiosité de te pencher un tant soit peu sur la politique coloniale Belge au Congo au 19 et 2àième siècle, tu verras de quoi nous fûmes capables dans les colonies, en utilisant notamment les vaccins pour se donner publiquement bonne conscience tout en sachant consciemment qu'on assassinait des populations )  

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crystalle

Inscrit le :
17 déc. 2007

Posté le: 3 décembre 2010 20:34:47 EST  
MErci les filles!

Donc si je comprends bien, le vaccin contre le tétanos dans le fond ne fait absolument rien pour protéger mes petits hommes contre les infections ou les infections suivantes?

Alors je suis mieux de m'en tenir à bien nettoyer les plaies avec un antiseptique et de l'eau.

J'ai fait des études en biologie et je me rappelais à quel point les professeurs nous disaient que c'était important d'avoir le vaccin contre le tétanos surtout lors des dissections car les risques d'infection étaient élevés et de complication, je crois que ca m'a traumatisé Wink 

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Anonyme

Inscrit le :
30 avr. 2010

Posté le: 3 décembre 2010 19:15:29 EST  
Surprised Oh! Que je suis contente de faire l'école à la maison à mes enfants! Les profs et directeurs d'école se prennent de plus en plus pour des docteurs...Et les docteurs de plus en plus pour des dieux qui décident de tout pour nous! Surprised
 

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Takhisis

Inscrit le :
02 mai 2006

Posté le: 3 décembre 2010 18:28:10 EST  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 3 décembre 2010 16:31:26 EST  
à Azaouellé
http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9tanos

"L'infection n'est pas immunisante, ce qui signifie qu'il est possible d'être infecté plusieurs fois."

" En cas de plaie, il faut toujours la nettoyer, surtout si elle est souillée (de terre en particulier), avec du savon et si possible avec du péroxyde d'hydrogène (voir l'article bobologie). S'il y a saignement, il y a peu de risques d'aggravation puisque le bacille est strictement anaérobie. Si la plaie est sévère (tissus morts), elle doit être débridée (ablation des tissus nécrosés) puis désinfectée à nouveau. Le traitement utilisé diffère d'un pays à l'autre. Une administration prophylactique d'immunoglobulines anti-tétaniques (250 UI IM en dose unique) et un rappel vaccinal sont impératifs en cas de plaie à risque chez un patient non immunisé. Le vaccin requiert plusieurs jours pour entraîner la production d'anticorps, et ce délai sans protection pourrait suffire pour que la maladie survienne ; c'est pour cette raison que le vaccin ultérieur seul ne suffit pas en cas de plaie souillée, et que les immunoglobulines sont nécessaires."

Le sérum administré , à ma connaissance, est injecté pour toute personne dont la plaie est considérée comme "suspectée d'avoir été souillée" par un composant contenant de la terre ( jardinage, jeux d'enfants dehors, accident etc... ) ou un objet métallique rouillé ou oxydable ( bricolage, mécanique, clou, clôture, métal, carrosserie, etc... ). Cependant, j'ai observé que le personnel demande si la personne a ses vaccins antitétaniques à jour. En cas de doute ou d'hésitations sur ce point précis, le sérum antitétanique est injecté.

http://www.docteurclic.com/traitement/serum-anti-tetanique.aspx

"Les contre-indications :

L'allergie sévère ou lors d'une injection antérieure de sérum de cheval.

Chez la femme enceinte :

Il est déconseillé par prudence."

http://www.lepost.fr/article/2009/05/01/1518086_vaccin-serum-antitetanique.html

"Par arrêté du 8 octobre 2001, le sérum antitétanique 25 000 UI Pasteur, 5 ml injectable, a été radié de la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux avec effet au 1er janvier 2002.

L'agence francaise de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a jugé que le service médical rendu était insuffisant. "

Et enfin, sur un autre sujet, je vous transmets ce document que m'a envoyé Sylvie SIMON.
Jugez vous même, et que chacun prenne ses responsabilités, en connaissance de cause.

"Les enfants cobayes de l'ICC à l'heure où les laboratoires sont sur le grill au sujet des scandales financiers et sanitaires qu'ils provoquent, il faut savoir qu'ils sont aussi responsables de drames humains programmés et occultés. Il est notoire que nombre de malades servent de cobayes dans le cadre de la recherche et qu'une partie du corps médical a tendance à les considérer comme du « matériel humain ». Nous savons également que de nombreuses expériences sont conduites dans des pays du Tiers-monde sur des enfants appartenant à des ethnies pauvres. À présent, ces comportements sont devenus tellement courants que personne ne s'émeut plus, d'autant qu'on nous répète que ces essais sont nécessaires à « l'avancée de la médecine et au sauvetage de milliers de malades ». Il faut sacrifier certains pour le bien-être de la majorité. Par là, nous nous apparentons aux civilisations primitives, dites « sauvages », qui immolaient autrefois quelques enfants à leurs dieux. La science ayant remplacé la religion, il est normal que ces habitudes perdurent, sous d'autres noms évidemment, et de manière beaucoup plus raffinée. Récemment, des monstruosités que l'on peut comparer aux abominations commises par les nazis ou autres régimes totalitaires, de Lénine à Amin Dada, ont eu lieu aux États-Unis, pays réputé pour sa défense des libertés et qui s'érige en directeur de conscience de la planète. Ainsi un scandale abominable a été dénoncé le 30 novembre 2004 par des journalistes de la télévision britannique BBC Two qui a diffusé un documentaire appelé « Guinea Pig Kids » (Enfants cobayes) à une heure de grande écoute. Mais la télévision française n'a pas jugé bon d'acheter ce film qui raconte l'histoire de ces enfants, tous issus de familles pauvres de New York et à 90 % d'origine noire ou hispanique, dont certains âgés d'à peine quelques mois, étaient recrutés pour participer à un vaste programme national d'essais à long terme sur des médicaments toxiques contre le VIH. Ils avaient été retirés à leurs mères ? droguées et séropositives ? puis placés dans des centres d'accueil sous la surveillance des autorités locales. D'après les lois fédérales, les parents doivent donner leur consentement pour des essais sur leurs enfants, mais lorsque ces enfants sont confiés aux soins des autorités de la cité de New York et que la famille refuse de signer, c'est l'ACS (Administration for Children's Services) qui signe à sa place. Les services administratifs n'avaient donc pas besoin d'une décision de la Cour pour retirer les enfants de leur foyer et les placer dans un centre d'adoption d'enfants abandonnés afin de poursuivre les expériences. L'ICC (Incarnation Children's Center), situé à Washington Heights, à Harlem, est un ancien couvent. Les fenêtres ont des barreaux et une caméra surveille la porte d'entrée, alors que la brochure de l'ICC signale « un sanctuaire d'amour, un centre de soins semblable à un véritable foyer ». Cette prison est très loin de cette description idyllique. Fondé en 1987 pour recueillir des enfants pauvres issus de mères toxico-dépendantes, il est devenu en 1992 un centre d'expériences sur des orphelins séropositifs au VIH, indirectement sponsorisé par le NIH (Institut National de la Santé) et par des compagnies pharmaceutiques, dont GlaxoSmithKline, Pfizer, Chiron, Genentech et d'autres qui fabriquent les médicaments classiques contre le sida. Bien connus pour leurs effets toxiques et potentiellement mortels sur les adultes, ces produits étaient pourtant administrés « à des doses plus élevées que la posologie habituelle » à de très jeunes enfants dont la séropositivité n'était pas avérée, loin de là. Depuis la fin des années 90, des centaines d'expériences ont été conduites sur ces enfants à l'Hôpital presbytérien de l'université de Columbia dont dépend l'ICC. Le chimiste David Rasnick a étudié les effets de ces drogues HIV sur les patients et particulièrement les enfants et estime qu'elles sont « létales ». « Ces enfants souffrent beaucoup. Ils ont des crampes, des diarrhées et leurs articulations enflent. Ils se roulent par terre de douleur et personne ne peut les aider ». On peut ainsi juger à quel point les malheureux enfants de l'ICC sont victimes de l'arbitraire des responsables de la santé publique américaine. Il faut préciser que ces essais ne permettaient pas de mettre au point le moindre remède, mais plutôt de rechercher des causes de pathologies. On peut en déduire que ces essais ne servent qu'à conforter les laboratoires dans leurs théories, mais surtout pas à guérir des malades. Le rapport positif risque-bénéfice, si souvent évoqué par la médecine chimique, est donc négatif. Jamie Doran, reporter à BBC Two, a interviewé de nombreux parents et proches et a réussi à obtenir quelques dossiers médicaux qui prouvent sans équivoque la participation active des enfants à ces essais. Pendant l'enquête qui a duré neuf mois, la BBC a essayé d'obtenir des explications des responsables, mais personne n'a accepté de répondre. Quant aux dirigeants de Glaxo SmithKline, ils se sont contentés d'affirmer que ces essais, conformes aux lois en vigueur, correspondaient à des standards rigoureux et étaient conduits en accord avec les règles locales. Rien d'autre qui aurait pu ressembler à une quelconque compassion. Mais ce mot n'a pas cours dans le milieu des grandes industries pharmaceutiques. Toutefois, en dehors de tout sentiment humain, le traitement des enfants viole chacune des lois sur l'éthique et les expériences médicales, votées par la Cour internationale après la seconde guerre mondiale. Si ces méthodes sont « en accord avec les lois en vigueur et des standards rigoureux », il est urgent de changer ces lois et standards, comme cela a été recommandé à Nuremberg. Jacklyn Hoerger, infirmière spécialisée en pédiatrie chargée de traiter les enfants, ne savait pas que les drogues qu'elle leur administrait étaient expérimentales et hautement toxiques. « On nous a prévenus que si les enfants vomissaient, s'ils ne pouvaient plus marcher, s'ils avaient la diarrhée ou s'ils mouraient, c'était uniquement à cause de l'infection par le VIH. » En vérité, c'étaient les médicaments qui les rendaient malades et leurs familles ou leurs gardiens ignoraient tout des expériences menées sur ces enfants. Jacklyn découvrit plus tard que ceux qui essayaient de les soustraire à ces pratiques risquaient d'en perdre la garde. Elle en a fait elle-même la triste expérience. Cette infirmière a travaillé pour l'ICC au début des années 90. En 1996, elle s'est engagée dans un processus d'adoption de deux enfants séropositifs qui vivaient au Centre de Harlem. En 1998, Elaine, âgée de six ans, et Liz, quatre ans, sont venues vivre chez elle. Elle leur administra les posologies prescrites « à la lettre » pendant environ un an et fut à même de constater la dégradation de l'état de santé des deux fillettes. C'est alors qu'elle décida d'effectuer des recherches sur les drogues antirétrovirales et de consulter de nombreuses spécialistes, puis, forte de ces renseignements, elle a commis le crime impardonnable de retirer les drogues aux enfants, ce qui a immédiatement amélioré leur santé et a transformé leur angoisse en joie de vivre. Tout être sensé aurait agi de la sorte. Comme elle avait fait part de ses découvertes à leur médecin, le centre d'aide à l'enfance de New York en fut aussitôt informé, lui retira les enfants et les renvoya dans un home d'accueil. Leur rétablissement était un détail sans intérêt, seul importait qu'ils suivent le traitement. On ne peut se permettre de perdre un seul cobaye pour de simples raisons sentimentales. L'émission Guinea Pig Kids a présenté des témoignages de parents qui craignaient alors pour la vie de ces enfants, comme celui de Mona Newberg, enseignante dans les écoles publiques de New York, titulaire d'une maîtrise d'éducation. Elle a adopté ses enfants, Sean et Dana, alors qu'ils étaient âgés de trois et six ans. Ils avaient été retirés de la garde de leur mère, droguée à l'héroïne. Mona était leur grand-tante et élevait déjà leur frère aîné, qui n'a jamais subi de test VIH, est en pleine forme et sert à présent dans la Navy. Sean prenait de l'AZT depuis l'âge de 5 mois, sur les conseils des médecins de Columbia. En 2002, lorsque Mona a réussi à le soustraire de l'ICC, il était alors âgé de trois ans et n'avalait que des aliments en conserves. Depuis deux ans, il était nourri grâce à un tube relié à son estomac. À l'ICC, les infirmières lui administraient chaque jour de l'AZT et du Bactrim® et jamais personne n'avait changé ce régime. L'enfant était toujours fiévreux, souvent comateux pendant 24 heures, il n'avait aucune envie de jouer et ne pouvait rester debout plus de dix minutes. Il s'affaiblissait de jour en jour. C'est alors que Mona décida de supprimer toutes les drogues et le fit suivre par un naturopathe. En deux mois, Sean récupéra des forces, put jouer avec d'autres enfants et reprit de l'appétit. Elle en fut tellement heureuse qu'elle annonça, comme l'avait déjà fait Jacklyn Hoerger, ce changement à tout le monde, y compris aux médecins et infirmières. Le résultat ne fut pas long à attendre. Des représentants de l'ACC lui rendirent visite et l'obligèrent à aller consulter le Dr. Howard à l'hôpital Beth Israel. Ce dernier ordonna alors que l'enfant soit « soigné » par un nouveau « médicament miracle », la Nevirapine®, pourtant connu pour causer de graves problèmes hépatiques et cutanés. L'effet fut immédiat. La santé de Sean se détériora très rapidement et toute l'amélioration des mois précédents disparut en peu de temps, au point qu'il fut hospitalisé d'urgence six mois plus tard. Lorsque Mona put enfin le ramener à la maison, elle arrêta toute prise de médicament. À nouveau la santé de l'enfant s'améliora, mais comme sa mère adoptive refusait de lui donner des drogues, il fut à nouveau placé de force à l'ICC et Mona dut se battre pendant un an et demi avec l'aide d'un avocat avant de le récupérer. Au cours de ses visites, elle pouvait évaluer l'horreur que représentait l'internement dans cette institution. Lorsque les enfants refusaient de prendre les produits, les infirmières les penchaient en arrière et enfonçaient les pilules dans leur gorge. Le récit de Mona fut bouleversant. « J'ai remarqué que les enfants déambulaient avec des tubes qui dépassaient de leur chemise. Sanglés sur les chaises roulantes, ils étaient nourris ou drogués ? ou les deux à la fois ? avec un liquide lacté dispensé par le tube d'un cathéter qui disparaissait sous leur chemise. Je pouvais deviner la douleur dans leurs regards absents, les yeux perdus dans le vide. » Ces tubes appelés G-tubes ou PEG (Percutaneous Endoscopic Gastronomy) sont placés dans l'estomac par un chirurgien. On branche ensuite une seringue sur le tube que l'on peut refermer avec un bouchon en plastique. C'est net et hygiénique. Mona Newberg poursuivit : « Tous les enfants munis de tuyaux, ceux de trois ans comme les adolescents, absorbaient les produits de cette manière. Je me dis que tout cela ne devrait pas être légalement permis. » Elle énuméra ensuite de nombreux enfants victimes de ces traitements et les téléspectateurs ont écouté avec horreur sa déclaration. Alors qu'elle venait enfin de récupérer Sean, les médecins ont décidé de mettre sa fille Dana sous drogues bien qu'elle ne manifestât aucun signe de maladie. Dana avait passé les quatre premières années de sa vie à l'orphelinat de Hale House, qui participait à une étude sur l'AZT. Depuis son adoption, elle ne prenait plus de médicament, n'était jamais malade, mais les médecins estimèrent que ses cellules T4 étaient au-dessous de la normale et décidèrent de lui administrer plusieurs drogues légales : Viracept®, Epivir®, Zerit®, et Bactrim®. Deux mois plus tard, l'enfant avait mal au dos et à la tête, au point qu'il fallut l'amener au service d'urgence à Beth Israel, où l'on diagnostiqua un Syndrome de Langerhans, sorte de cancer qui endommage les vertèbres. On l'envoya ensuite à l'hôpital presbytérien de Columbia qui confirma le syndrome, associé au HIV. Bien qu'aucun lien ne soit suggéré entre les deux pathologies dans la littérature médicale, les médecins de l'hôpital affirmèrent qu'il s'agissait du sida et la mirent sous une lourde chimiothérapie. Ensuite ils ordonnèrent le Kaletra®, qui lui donna des haut-le-c?ur pendant que son dos s'affaissait. On lui mit alors des attaches pour pallier ce désagrément et l'on continua à la droguer. En janvier 2003, alors que l'enfant était rentrée chez elle, l'hôpital appela l'ACS et leur signala que Mona mettait sa fille en danger en ne lui donnant pas tous les médicaments recommandés. Aussitôt, l'ACS retira Dana de la garde de sa mère et la confia à l'ICC. Les parents adoptifs portèrent l'affaire devant la Cour de justice où le médecin soignant, le Dr Katherine Painter, dut témoigner. Elle énuméra tous les effets secondaires des médicaments, ce qui prouvait qu'elle les administrait en toute connaissance de cause, comme le criminel nazi Eichmann qui se contentait d'obéir aux ordres, sans jamais les discuter. Mais il n'y a pas, pour l'instant, un autre tribunal de Nuremberg pour ce genre de tortionnaire. Le ministère de la Santé envoya alors à l'Institut des inspecteurs qui déclarèrent qu'on ne pouvait forcer les enfants à absorber ces drogues contre leur volonté. Après leur départ, les médecins ont prévenu les enfants qu'en effet, ils pouvaient refuser, mais qu'ils en paieraient alors les conséquences. Comme l'avoua l'un des enfants durant l'émission, les « conséquences » signifiaient la salle d'opération et le tube inséré de force dans le corps. En novembre 2004, Dana, âgée de 16 ans, était toujours cloîtrée au Centre pendant que l'ACS lui cherchait une famille d'accueil payée pour lui faire avaler les drogues, alors que sa mère adoptive essaie de la récupérer malgré ses faibles moyens financiers. Le sang de son frère Sean était analysé régulièrement afin de vérifier s'il absorbait bien ses médicaments. Depuis sa naissance, cet enfant était sous drogues anti-sida. Au moment de la sortie du film, il avait 13 ans, pesait 22 kilos et mesurait à peine plus d'un mètre vingt. Le reportage filmé a également permis de découvrir que ce centre n'est pas le seul qui fonctionne de cette manière. Liam Scheff Liam Scheff, journaliste médical américain, fut l'initiateur de ces découvertes. En juin 2003, alors qu'il travaillait pour le Boston's Weekly Dig et préparait un article sur le sida, il rencontra Mona Newberg et ses enfants, à New York. Elle avait accepté de lui parler après bien des réticences et sous la promesse du plus strict anonymat. À la suite de cette entrevue, il mena pendant trois mois une enquête sur l'Incarnation Children's Center et découvrit les essais pratiqués sur les enfants tout comme la nature des drogues utilisées. La première fois que Liam Scheff a essayé d'interviewer un responsable d'ICC, on n'a pas voulu le laisser entrer, mais on lui a donné une brochure illustrée par des photographies d'enfants drogués, meurtris, le ventre transpercé par un tuyau. À l'intérieur de ce prospectus, il y avait une photo pleine page montrant un plateau truffé de seringues. « On pouvait y lire le programme des soins : ?8 h du matin : Valium®, Lasix®, Prednisone®, Bactrim®, Epivir®, Colace®, Nystatin®, Ceftriaxone®?. La légende plus bas disait : ?Ces médicaments vous donnent une idée de la complexité de la maladie du VIH chez les enfants?. Ironiquement, quelques années plus tôt, un de mes professeurs m'expliquait que si un patient se voyait administrer plus de quatre médicaments, il ferait mieux de changer de médecin. » Liam Scheff est tout de même parvenu plus tard à pénétrer dans cet univers concentrationnaire qu'est l'ICC et son récit fait froid dans le dos. Ses descriptions rappellent les images d'horreur révélées au moment de la libération des camps de concentrations, montrant des êtres hagards, éplorés, véritables loques humaines. En octobre 2003, Liam Scheff téléphona à Carolyn Castro, la directrice de l'ICC, pour l'interroger sur les expériences médicales. Elle lui répondit que L'ICC ne participait à aucune expérience. Quand il lui fit remarquer que le site Internet du NIH mentionnait l'ICC comme participant aux expériences médicales, elle se mit en colère, puis elle raccrocha le combiné. Interrogé alors sur ces pratiques, sans aucun état d'âme ? peut-être n'en ont-ils pas ? les responsables de GSK, le plus grand fabricant mondial de médicaments contre le VIH, ont répondu que les services de santé encouragent les expérimentations pédiatriques afin que ces médicaments puissent ensuite être prescrits aux enfants qui en ont besoin. Les essais cliniques sur les enfants orphelins sont officiellement « légaux et coutumiers tant qu'ils sont conduits sous les standards les plus sévères, et selon les lois fédérales et les règlements des autorités légales pour les mineurs. ». En août 2005, à la suite de la parution d'un nouvel article dans le New York Press, Liam Scheff fut contacté par une ancienne employée de l'ICC, Mimi Pascual, qui a travaillé durant près de dix ans pour l'ICC. Son travail consistait à changer les bébés, aider les enfants à faire leur toilette et les nourrir. Au cours de ses rondes de nuit, à minuit, trois heures et cinq heures du matin, elle réveillait les enfants pour leur distribuer les médicaments et veillait à ce qu'ils les prennent. Très vite elle prit conscience de la souffrance des enfants, mais elle ne pouvait agir sans risquer un renvoi, qui advint tout de même en 2004 car elle était incapable de dissimuler sa réprobation. Elle a confirmé que l'ICC n'avait pas arrêté ses essais en 2002 comme il l'a prétendu, mais qu'il les poursuivait à l'hôpital presbytérien de Columbia et dans d'autres hôpitaux new yorkais. Son témoignage a été corroboré par d'autres membres de l'ICC, anciens et actuels, qui ont confirmé tout ce que savait déjà le journaliste mais en apportant quelques nouveaux éléments. Ainsi, pendant longtemps, les drogues furent administrées par un personnel non médical, des femmes de ménages recrutées dans le voisinage. La thalidomide ? poison mortel comme tout le monde le sait ? faisait partie des produits administrés et Mimi Pascual ainsi que des collègues signalèrent que l'un des enfants mourut dans d'atroces souffrances. En 2005, le New York City Council se réunit pour savoir si L'ICC procédait encore à des essais sur les orphelins. Mimi Pascual confia sa révolte à Liam Scheff : « C'est une plaisanterie. Nous savons tous que des essais sont toujours en cours, les soignantes, les infirmières, les médecins, l'administration. Tout le monde le sait. Si vous demandez aux infirmières, elles disent que ces essais sont normaux et qu'il ne faut pas poser de questions. Si vous demandez aux médecins pourquoi certains enfants prennent de l'AZT et d'autres pas, ils refusent de répondre. Mais nous avons donné ces drogues expérimentales aux enfants, ce n'est pas un secret. » (cf. « Guinea Pig Kids », Hustler Magazine, août 2005). La Télévision Suisse Romande a évoqué le problème mais très brièvement. En France, personne ou presque n'a été informé de ces horreurs car la presse s'est quasiment abstenue d'en parler. Le 6 mai 2005, Libération et Nice Matin ont consacré quelques lignes à ce scandale, Ouest France lui a généreusement octroyé 8 lignes dans son numéro du samedi 7 mai, et Canal Plus dans Lundi Investigation, le 23 mai 2005, ne s'est guère étendu sur l'affaire. Pour résumer la situation : les enfants admis à l'ICC sont utilisés pour des expérimentations sur des médicaments qui sont administrés de force à ceux qui les refusent, souvent à l'aide d'un acte chirurgical, et sans le consentement de leurs parents ou de leurs tuteurs. Connaissant les dangers mortels qu'elles représentent, ces expériences seraient déjà monstrueuses si elles étaient d'une nécessité absolue, ce qui est loin d'être le cas. Elles constituent une violation de toutes les règles qui concernent les expérimentations médicales édictées par la législation internationale depuis la Seconde Guerre Mondiale. Il est évident que ces enfants torturés à mort étaient choisis car ils étaient incapables de se défendre. Tous souffraient à longueur de jours et de nuits, certains devinrent aveugles, d'autres ont subi de longues opérations afin de retirer de leur cou des morceaux de graisse bourrés de drogues médicamenteuses, aucun n'a connu la joie d'une promenade en plein air ou d'un bon repas en famille, aucun n'a eu droit à un peu de compassion, ni d'amour évidemment. Tous vivaient dans la peur et savaient que la mort les surprendrait encore jeunes, lorsque leurs corps ne pourraient plus supporter la souffrance quotidienne. Les bourreaux nazis n'en faisaient pas plus, cela aurait été difficile. On nous parle souvent, à juste titre, de l'holocauste ; parlera-t-on un jour ouvertement de ces martyrs ? Édifiera-t-on un monument en leur honneur et demandera-t-on aux générations futures un « devoir de mémoire » envers la cruauté dont ils ont été victimes ? Enfin, osera-t-on encore affirmer « plus jamais ça », alors que tout le monde ferme les yeux sur ces tortures, exactement comme on les a fermés sur le massacre des Juifs et de Tziganes, car il est dérangeant de voir les autres souffrir, mais plus encore de souffrir soi-même. Aurons-nous besoin d'un autre tribunal de Nuremberg pour condamner sans appel ces pratiques inadmissibles appliquées sur des êtres sans défense et juger les responsables, véritables tueurs en série et tortionnaires qui n'ont rien à envier à ceux des États totalitaires, mais qui sont néanmoins considérés comme des citoyens au-dessus de tout soupçon, écoutés, respectés et même admirés par d'honnêtes gens totalement désinformés ? Si nous voulons que cela cesse, c'est à nous, citoyens, de porter ces faits à l'attention du grand public et de rappeler à l'Establishment médical le principe sacré : « Primum non nocere ». Et n'oublions jamais que lorsque nous achetons des médicaments fabriqués par ces firmes pharmaceutiques, nous devenons leurs complices en contribuant à leur fournir les moyens financiers nécessaires à ces massacres."? 

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Anonyme

Inscrit le :
30 avr. 2010

Posté le: 3 décembre 2010 13:14:14 EST  
Sophiebio ; le sérum antitétanique dont tu parles, est-ce ce qu'on administre aux personnes infectées par le tétanos à l'hôpital? J'ai vu un reportage (malheureusement, je ne retrouve pas la source) dans lequel on parlait d'un médicament qu'on donnait à l'hôpital en cas de tétanos...Est-ce la même chose ou autre chose? Je cherche des infos là-dessus, car on disait que ce médicament était dangeureux.

Je ne sais pas ce que je ferais si on me disait qu'on doit traiter un de mes enfants...Existe-t-il un test pour savoir si effectivement une personne est infectée et si oui, savez-vous si on fait ce test avant de traiter contre le tétanos à l'hôpital?

 

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Calipso

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 3 décembre 2010 12:26:05 EST  
Le vaccin anti-tétanique se donne en combinaison avec 3 autre maladies au Québec: Diphtérie, Coqueluche, Polio: c'est ce qu'on appelle le DCATpolio.
Il est injecté à 2, 4 et 6 mois si je ne m'abuse mais je ne m'en souviens plus, je n'ai pas fait faire les rappels à mes filles, donc ça fait longtemps.
Si tu veux le vaccin anti-tétanique seul, il faut que tu en fasses la demande auprès de la clinique de vaccination de ton CLSC.

Toutefois, je ne comprends pas trop l'utilité d'un tel vaccin puisqu'on ne peut être immunisé naturellement contre le tétanos, comment un vaccin pourrait-il le faire... 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 3 décembre 2010 02:36:20 EST  
à Crystalle
Je ne sais pas si le vaccin seulement contre le tétanos est commercialisé au Canada. Il faudrait déjà que tu te renseignes précisément là dessus auprès d'un (ou plusieurs .. )pharmaciens.

Cependant, je voudrais te faire une remarque :
J'ai fait le même choix que toi ( sauf que mon option fut AUCUN vaccins ) quand j'ai eu mes enfants, et j'avais trouvé un médecin parfaitement au courant à propos des vaccins. Je lui avais demandé ce qu'il pensait du tétanos. Ses propos furent les suivant. Il disait que le vaccin contre le tétanos comme celui contre la tuberculose, sont par excellence des vaccins qui ne peuvent pas fonctionner et qui ne fonctionneront jamais, pour la simple et bonne raison que ces maladies n'immunisent pas elles mêmes contre une rechute. Je m'explique :
La tuberculose ou le tétanos, si par malheur une personne s'en trouve affectée mais qu'elle s'en sort correctement, cela ne la protègera en rien de l'attraper une seconde , une troisième ou une quatrième fois, pas plus qu'une cinquième fois. Il est donc assez étrange que on prétende avec un vaccin arriver à mieux stimuler le système immunitaire que dans l'état naturel des choses, vu que , par exemple, pour toutes les maladies infantiles ( nécessaires au demeurant ... ) rougeole, rubéole, varicelle, oreillons, coqueluche ect... les maladies protègent A VIE, et les vaccins protègent soi disant pour 5 ou 10 ans, au grand maximum.....

Ce médecin me disait que si des personnes venaient à son cabinet pour se faire vacciner contre le tétanos, alors, il les vaccinait , tout en leur disant que le vaccin ne les protégeait pas et que cela ne les dispensait pas de NETTOYER soigneusement toutes les plaies susceptibles de provoquer un tétanos ( notamment jardinage, bricolage, métal rouillé ou terre en contact moindrement avec la plaie ) et ce, le plus vite possible après s'être blessés. Et de plus, je lui ai demandé que faire quand on vous propose le SERUM antitétanique suite à une plaie, quand on a un doute sur la proximité du dernier rappel du vaccin. Il m'a répondu que il n'administrait pas le sérum, qui est fabriqué à base de sérum de cheval, parce que il s'est avéré que suite à l'injection de ce sérum, il y a aussi des accidents dus au sérum lui même, qui ne protège pas plus contre le tétanos que le vaccin d'ailleurs.

En France, pour autant que je sache, il n'existe pas le vaccin anti tétanique seul. Il est toujours combiné avec au moins 4 autres vaccins, ( diphtérie, polio, coqueluche, méningite, par exemple ) dans des vaccins pentavalents ou hexavalents. Je serais toi, si j'allais au CLSC, je serais TRES méfiante sur le fait qu'on pourrait administrer à ton enfant un vaccin de ce type, en t'assurant qu'il ne s'agit QUE du vaccin antitétanique, mais que rendue chez toi, en relisant attentivement les papiers, tu t'aperçoives qu'on l'a vacciné contre 5 ou 6 maladies différentes en même temps.... Ce genre de choses s'est déjà vue, et plus d'une fois.  

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crystalle

Inscrit le :
17 déc. 2007

Posté le: 2 décembre 2010 20:15:25 EST  
Bonjour les mamans!

J'ai pris il y a plusieurs mois de ca avec mon conjoint la décision de ne pas faire vacciner nos enfants, cependant il y a un vaccin que je crois important de donner et c'est le vaccin contre le Tétanos!

Ma question est-ce que je peux appeller au CLSC et demander à ne faire vacciner mes enfants que contre le tétanos? Ou je dois absolument aller dans une clinique privé? 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 2 décembre 2010 16:24:09 EST  
OUFFF !!! Mais que ce passe t-il ici ??? Surprised

J'en n'ai manqué pas mal mais j'ai lu grosso modo les prises de becs et chicanes des derniers jours et je dois admettre qu'il y a eu des dérapages qui sont, selon moi, dû en grande partie à la peur.

Peur de la maladie, peur des vaccins, peur des jugements, peurs de se tromper, peur de faire souffrir inutilement, peur d'avoir peur !! :lol:

***

SOPHIEBIO: BRAVO pour l'énergie que tu mets sur le sujet ! C'est tout un boulot et il est clair que cela doit parfois te causer des maux de tête ! Laughing Je suis en accord avec tes dires en bonne partie. Par contre, je ne crois pas en l'homéopathie. Je crois en l'herboristerie par contre mais il est clair que nous ne pouvons pas non plus nous passer totalement de la médecine non plus. La force des médecins, c'est la traumatologie, certainement pas l'immunologie !! Je suis soulagé bien honnêtement que la médecine moderne existe et je n'hésiterais jamais à consulter pour un problème qui dépasse mes compétences.

***

Les mamans qui ne savent toujours pas sur quels pieds danser avec la vaccination, il faut que vous acceptiez l'idée que vous ne pourrez JAMAIS protéger votre enfant à 100 % de tout ! La vie est un risque en soi. C'est ainsi. Si vous hésitez encore sur les vaccins, c'est qu'il vous manque de l'information mais malheureusement, nous en pourrons pas ici sur un forum reproduire en intégralité les ouvrages et recherches que nous avons fait pour en arrivé à être pleinement confortable avec notre décision. Vous n'aurez donc pas d'autre choix que de vous procurez les livres en questions et lire encore et encore jusqu'à ce que vous ayez réponses à tout vos questionnement car vous ne pouvez pas exigez de nous que nous vous convainquions en vous faisant dans un petit résumé. Vous devrez ensuite vous faire confiances dans votre choix. Car c'est à vous de choisir, pas aux autres.

J'aimerais revenir sur l'emploi d'antipyrétiques dans le traitement de la fièvre...

Comment fonctionne les antipyrétiques ( acétaminophène=tempra ) ?

Les antipyrétiques BLOQUES la fabrication des pyrogènes qui seront libérés dans l'organisme grâce à l'action de la fièvre.

À quoi servent les pyrogènes ?

Les pyrogènes servent à produire les globule blanc nécessaires à la destruction des virus ou bactéries nuisible qui attaquent le corps.

Que fait-on lorsque nous bloquons la fièvre ?

Nous empêchons la production de globule blanc... Rien de moins !

Pour chaque degré d'élévation de la fièvre, le corps DOUBLE sa production de globule blanc.

Je pense que le Dr.Mendelshon à été cité ici...

Le Dr.Mendelshon à vue des dizaines de milliers de patients fiévreux au cours de sa longue pratique en médecine familiale...

JAMAIS il n'a vu une fièvre s'élever à plus de 41 degré dans le cas d'infection bactérienne ou virale.a seule chose qui peut faire en sorte que vous aurez une fièvre plus élevée que 41 degré sera soit une intoxication alimentaire ou une insolation.

Une fièvre élevée n'est pas nécessairement synonyme de maladie grave. Une rougeole ( maladie bénigne ) peut donner une fièvre très élevé alors que la méningite ne peut qu'occasionner une légère fièvre.

Plus un enfant reçoit des antipyrétiques, plus les fièvres seront improductives. L'enfant ne fera plus de "pics" salutaires de fièvres...

Une fièvre par contre fatigue l'organisme et doit faire l'objet d'une consultation si elle n'est pas redescendu au bout de 4 jours .

Sinon, il n'y a aucune bonne raison valable de donner quoique ce soit à l'enfant pour faire baisser sa fièvre, même si il est maussade et chigneux ou qu'il se plaint...Le tempra remet l'enfant sur pied et celui ci ira s'épuiser au lieu de se reposer et donner le temps à la fièvre de faire son travail. Il faut hydrater au maximum, ouvrir un peu la fenêtre de la chambre et mettre au repos l'enfant. Ne jamais insister pour que l'enfant mange si il n'a pas faim. Offrir des bouillons et des tisanes.

Retenez qu'un enfant en santé fait de grosse fièvre et que c'est souhaitable !C'est l'enfant qui ne fait que des petites fièvres légères qui s'éternise qui doit inquiété...Oublier les histoires de peurs des convulsions fébriles...Elles sont, pour la plupart, totalement inoffensives et ne doivent faire l'objet d'un suivi que si elles se répètent dans un temps rapprochés.

Alors voilà. J'espère que cela aura répondu à l'essentiel des questionnements sur la question. Pour la vaccination, faites vos devoirs et aller vous cherchez les livres suggérés ici car il y a de très bonnes suggestions, car vous ne serez jamais pleinement satisfaites des réponses d'un forum X ou Y.

Gala

* Je mets un bémol pour le nourrisson de moins de 6 mois. La fièvre doit être surveillée de plus près et l'usage de Tempra peut être indiqué.    

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Anonyme

Inscrit le :
30 avr. 2010

Posté le: 2 décembre 2010 12:43:51 EST  
Yin & Yan ; j'ai bien précisé que ce n'est pas son opinion qui m'a dérangée; je suis d'accord avec plusieurs choses qu'elle a dit. C'est surtout des tournures de phrases qui semblaient dire que je «choisissais» de croire que mon fils pouvait mourrir sans les médicaments, que TOUT pouvait se soigner par des méthodes naturelles et qu'elle sous-entendait que c'est les compagnies pharmaceutiques qui «s'arrangent» pour qu'on soit malade pour que nous soyons dépendant d'eux. C'est ce que j'ai compris. Peut-être parce que ses propos ont touché une corde sensible pour moi, vu ma situation. Je trouverait dommage aussi qu'elle ne revienne plus.

Je suis aussi allé voir quelques-uns de ces liens et c'est tellement choquant! Je suis en train de lire le livre du Dr. Mendelsohn «Des enfants sains sans médecins» et vraiment, j'aurai de la difficulté à faire face au pédiatre de mes enfants la semaine prochaine...Mon plus jeune de 16 mois a un rendez-vous et elle me parlera sûrement encore des vaccins...J'ai l'impression que ça ne sert à rien de tenter de s'expliquer...Que dans le fond, leurs cerveaux sont complètement lavés à ce propos! 

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Anonyme

Inscrit le :
19 janv. 2010

Posté le: 1 décembre 2010 23:16:41 EST  
Ouf.... C'est tellement pas drôle un enfant malade.

Merci des explications. Je te demandais pour l'hyperglycémie car je sais que la cortisone a souvent cet effet. Mais c'est vrai que dans ton cas, c'est en remplacement, alors les effets ne sont pas les mêmes. J'imagine qu'en vieillissant il va tellement bien se connaître qu'il sera presqu'en mesure de se prescrire lui même ?? loll!
Est-ce génétique via les parents? ou un défaut génétique tout court? Tes autres enfants n'ont rien, tu as dû être soulagée.

C,est vrai que c'est souvent des problèmes de santé qui nous pousse à nous questionner et changer nos habitudes.   

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Anonyme

Inscrit le :
30 avr. 2010

Posté le: 1 décembre 2010 19:29:46 EST  
b]tortue020 ; les problèmes qu'il a sont relié au fait que la cortisone qu'on lui donne doit «remplacer» ce que son corps ne produit pas. Comme on ne peut immiter à la perfection les sécrétions d'hormones qui varient à chaque minute selon les maladies à combattre (on doit doubler ou trippler ses doses en cas de maladie, de fièvre ou de gros stress émotif par exemple), le stress et même la période de la journée, tous les effets secondaires reliés à la cortisone peuvent se produirent (surtout que c'est une hormone synthétique). Alors dès qu'il a un virus quelconque, il peut faire une chute de glycémie ou une déshydratation du à une chute du taux de sodium...Mais dès sa petite enfance il a de lui même «géré» ça en fractionnant ses repas, en mangeant plus salé certaines périodes. Sinon on doit réagir rapidement avec des doses d'hydrocortisone pour lui éviter les hospitalisations.

D'ailleurs, pour en revenir au sujet du forum Wink C'est grâce à ce diagnostique que nous avons changé nos habitudes de vie, que ce soit côté alimentation, produits naturels, médicaments et vaccins! Lui il les a presque tous reçus parce qu'on était pas informés et que les docs nous on mis encore plus de pression qu'ils le font en temps normal (si c'est possible Rolling Eyes ), mais grâce à lui, son frère n'en a eu que quelques-uns et mon dernier ainsi que futur bébé aucuns! Very Happy C'est une bataille de chaque instant et si vous aviez vu le branle-bas de combat lors de notre rendez-vous à Sainte-Justine l'automne dernier! Rolling Eyes Ils VOULAIENT qu'on se fasse tous vacciner contre la H1N1...Mais quand je leur ai demandé pourquoi pas juste Thomas ils m'ont répondu que le vaccin n'était pas efficace à 100% et que plus on serait de personnes vaccinées plus on n'aurait de «chances» de ne pas l'attraper...Surtout que c'était une grippe EXTRÊMEMENT contagieuse... Rolling Eyes Bénit soit ma tête de cochon! Je l'ai eu la fameuse grippe à Noël et ni mon bébé allaité ni mon chum ni mes deux autres enfants ne l'ont attrapé (malgré une abondance de bisous!!!)...Par contre, tous ceux que je connais qui se sont fait vacciner l'ont eu une semaine après...Mais eux, c'était «parce que le vaccin n'avait pas eu le temps de faire effet» Rolling Eyes

Et pour répondre à ton autre question torue020 ; on a été soulagé du diagnostique à deux semaines de vie parce qu'il dépérissait depuis sa naissance (il a survécu grâce à mes hormones qui étaient encore dans son sang), et qu'on nous annonçait que le traitement lui permettrait de vivre normalement...Et aux soins intensifs dans le lit à côté de celui de Thomas, il y avait une fillette de 6 ans qui avait été écrasé par un autobus...Elle souffrait le martyr et on a vu les docs défilés un à un dire à la mère tout ce qui était «scrap» (reins, bassins, vagin, utérus, intestin, etc.). Mettons qu'on s'est trouvés chanceux!!

 

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Anonyme

Inscrit le :
19 janv. 2010

Posté le: 1 décembre 2010 15:13:36 EST  
Merci Azouelle pour les précisions Laughing
Je ne connaissais pas cette maladie. C'est vraiment pas drôle tout ça. Bon courage.. Oh que ça devait être difficile au début. J'imagine que tu l'as su dès la naissance, gros choc ça du être. Maintenant s'il prend sa médication, il est bien si j'ai bien compris??
A-t-il des problèmes de glycémie du a la cortisone??
Rolling Eyes  

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