Fini les régimes et les relations malsaines avec les aliments. L’alimentation intuitive vous incite à retrouver le plaisir de bien manger, de faire de l’activité physique, d’apprécier votre corps tel qu’il est et d’apprendre à gérer votre poids sainement.
La saison de la grippe est à nos portes. Il est possible de faire quelques changements au quotidien à nos habitudes afin de l’affronter et de rester en santé.
L’après-midi va bon train, il fait beau, les enfants s’amusent avec papa, maman se repose avec un bon livre... et peut-être même un petit verre de rosé. La journée s’écoule et on entend finalement les mots que certains parents redoutent : « J’ai faim! »
Connaissez-vous la diversification alimentaire menée par l’enfant (DME)? Il s’agit d’une approche d’introduction des aliments où le bébé s’alimente seul sans passer par l’étape des purées. Comment faire? Par où commencer?
Alors que plusieurs se fixent de nouveaux défis en janvier, ici c’est en mars, lorsque le printemps se fait sentir que j’ai le goût de nous donner, à moi et ma famille, un nouveau départ. Cette année, sans dépenser plus, je veux mieux manger.
Éviter les éléments transformés, réduire les mauvais gras, manger plus de grains entiers… Les conseils nutritionnels pullulent de toutes parts. Pour certaines personnes plus informées que jamais, cette volonté de bien manger tourne à l’obsession.
Nos habitudes de vie ont été transformées durant la pandémie et, pour certains, c’est au niveau du revenu familial que l’adaptation a été la plus grande. Bien nourrir sa famille demeure primordial, mais comment y arriver à petit prix?
Les adolescents font de plus en plus l’objet de campagne pour une saine alimentation. Paradoxalement, les publicités de malbouffe n’ont jamais été aussi présents autour de nous et sur le web.
Plusieurs façons existent pour s’impliquer davantage dans l’achat local. Voici quelques idées pour intégrer les aliments et produits d’ici à notre quotidien.
Il fait chaud. Très chaud. Vous vous échinez à cuisiner de bons petits plats et pourtant rien n’y fait : Mini refuse de manger. Quand doit-on s’inquiéter et comment éviter qu’il ne manque d’énergie ou d’éléments nutritifs?
En tant que parent, l’une de nos principales préoccupations est de veiller à ce que nos enfants mangent bien. On souhaite leur mettre sous la dent des aliments de qualité, nourrissants et… frais!
Tous les enfants n’ont pas le réflexe de boire de l’eau lorsqu’ils ont soif. Pourtant, l’eau est la meilleure boisson qui soit pour s’hydrater de façon saine.
Le sucre est devenu l’ennemi numéro 1 de notre alimentation. Mais qu’en est-il vraiment? Pour démystifier le vrai du faux, nous avons fait appel à Catherine Lefebvre, nutritionniste et auteure du livre Sucre. Vérités et conséquences.
Un enfant qui ne termine pas son assiette, des restes de nourriture qu’on oublie un peu trop longtemps dans le fond du réfrigérateur, des fruits et légumes achetés en trop grande quantité qui finissent par marcher seuls…
De nos jours, nul n’ignore l’importance de bien manger pour être et rester en santé, ce qui, en soi, est une excellente chose, à condition bien sûr de ne pas laisser cette pensée prendre le dessus et contrôler nos vies.
En renforçant notre système immunitaire par une bonne alimentation, on influence positivement notre santé et quoi de plus réconfortant qu’une bonne boisson chaude!
Il y a le « slow food », un mouvement qui nous invite à découvrir les origines et les conditions de production des aliments consommés. Et si on pratiquait aussi le « slow taste », l’art de savourer chaque bouchée?