Histoires d’amour paternel
Tant de pères m'émeuvent dans les gestes d'amour qu'ils posent pour leurs enfants. Puissent-ils, tous et chacun, trouver ici un hommage à leur amour paternel si bouleversant, et pourtant si rarement raconté.
Tant de pères m'émeuvent dans les gestes d'amour qu'ils posent pour leurs enfants. Puissent-ils, tous et chacun, trouver ici un hommage à leur amour paternel si bouleversant, et pourtant si rarement raconté.
Quand Luce s’est présentée dans mon bureau, affolée parce que son adorable petite fille refuse de dormir la nuit et ne joue jamais avec les autres enfants à la maternelle, j’ai senti son désarroi devant ces comportements « anormaux ».
Annie a perdu son bébé mercredi dernier. Sa sœur n’arrête pas de lui dire qu’elle n’a pas perdu de bébé. Elle a perdu un fœtus. C’était une fausse couche. Ça arrive souvent, on n’en fait pas un drame!
C’est à ce temps-ci de l’année qu’on voit sortir les enfants des maisons; en même temps que les vélos sortent du cabanon et les culottes courtes du garde-robe.
Il y avait Michel qui était en train de se fâcher parce que son fils de six ans n’avait pas l’air vraiment reconnaissant de recevoir des cadeaux d’anniversaire.
Dans le coin droit, pesant trois enfants de 9 à 15 ans, on trouve un père-deux-fins-de-semaine-sur-trois, séparé depuis quatre ans et qui a eu deux ou trois amoureuses depuis le jour J. Dans le coin gauche, pesant trois enfants de 11 à 18 ans, une mère-en-garde-partagée, séparée depuis seize petits mois de rien du tout.
Il y a les jours où tout semble à sa place pour Louise. Des jours où elle se dit qu’elle a fait ce qu’il fallait; que les progrès de Max sont réels.
Martine raconte que toute la parenté venait de passer au salon. Max, son bébé de quatre semaines, trônait dans les bras de grand-maman.