L'une des choses les plus difficiles que l'on vit en devenant parent, c'est l'impression de se perdre pour ses enfants. Au fil du temps, la routine et les obligations parentales peuvent nous drainer physiquement et mentalement, surtout lorsqu'on n'a pas de répit une fois de temps en temps.
Lorsque notre enfant parfait reçoit un diagnostic de développement atypique, on est submergé par des idées préconçues et un cocktail d’émotions. Pour n’importe quel parent, c’est le désarroi! Suivent le doute, la douleur et l’incompréhension.
Vous l’aimez. Il vous aime. Votre histoire d’amour aurait pu s’arrêter là, mais il a des enfants. Du coup, vous devenez « belle-mère » et votre couple prend une tangente familiale. Prête?
Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois, dit-on. Pourtant, dans un monde où tout est conçu pour les familles de quatre, avoir trois enfants peut s’avérer un peu plus compliqué…
Quand on est prêt pour un autre amour et qu'on veut jumeler les deux familles, comment mettre toutes les chances de notre côté pour que la nouvelle cohabitation soit harmonieuse?
En matière d’autisme, on entend souvent parler du manque de ressources, des listes d’attente interminables… Mais concrètement, pour un parent, que se passe-t-il lorsque le diagnostic tombe?
Il paraît qu’il y a 24 heures dans une journée : et pourtant, vous ne les voyez pas passer! Pas toujours facile de trouver le temps de tout faire lorsqu’on est seule. C’est pourquoi il faut apprendre à s’organiser.
Janvier marque normalement le mois des résolutions et pour bien partir l’année, pourquoi ne pas offrir aux familles recomposées de voir les choses autrement quand ça ne va pas comme elles le souhaiteraient?
L’animatrice Valérie Robert a rencontré l’homme de sa vie, le chef Martin Juneau, en 2015. Elle est du même coup devenue la belle-mère de Simone et Léonie, âgées de 2 et 5 ans.
Les familles recomposées sont les nouvelles familles de notre époque. Des beaux-parents, des enfants co-éduqués, parfois des demi-frères. Les gardes partagées demandent toute une organisation. Cela génère beaucoup d’émotions.
Chacun vit à sa façon la tempête que représente la COVID-19. En l’espace de quelques jours, et même parfois de quelques heures, tout peut chambouler. Monoparentale, célibataire et avec la garde exclusive à temps plein, on m’annonce cette semaine que je perds temporairement mon emploi. Seule au monde?
Hors norme? Décalées? Faisant un pied de nez aux conventions? Les familles nombreuses font exception dans le flot des familles québécoises. On les dit « nombreuses » dès qu’elles comptent trois enfants ou plus.
Le nombre de familles monoparentales dirigées par des hommes au Québec est en constante progression, mais le phénomène demeure très peu connu du grand public.
De plus en plus de pères décident de rester à la maison avec les enfants ou, du moins, de profiter du congé parental pendant la première année de bébé, à la place de la mère. Exception ou nouvelle réalité?
Cette phrase, un enfant qui reçoit présentement des traitements de chimiothérapie me l’a confiée, mercredi dernier, lors du vol du Père Noël organisé par Air Transat et la Fondation Rêves d’enfants.
De nos jours, lorsqu'il y a séparation, la garde partagée est presque la norme. Mais il ne faut pas oublier ceux et celles qui vivent seules avec leurs enfants qui ont un conjoint ou une conjointe qui voyagent énormément.
Devoir célébrer Noël loin de ses proches peut se révéler une triste expérience. Mais quand ce sont des barreaux de prison qui séparent les familles, la honte et une certaine confusion rendent l’événement singulier.
Trouver l’aide dont ils ont besoin. Les parents avec des enfants à besoins particuliers n’y arrivent pas toujours. C’est plutôt sur le web que ces parents trouvent leur compte.
Demi-soeur, beau-père, nouvelle conjointe de papa... les familles s’élargissent, mais ajoute-t-on des branches à l’arbre généalogique? Non, car seuls les liens de sang comptent.
Se loger, lorsqu’on a un seul revenu et des enfants, n’est pas toujours facile. C’est entre autres pourquoi, dans les grandes villes, certaines familles monoparentales décident d’habiter en colocation.
L’arrivée d’un enfant handicapé, c’est la fin d’un rêve, une grande déception, une catastrophe, quelquefois même un tremblement de terre. Chacun décrit ce moment douloureux de façon différente.